James Taylor, Vampire. (terminé)

FICHE DE PRESENTATION :




Nom :

Taylor

Prénom(s) :

James A. William

Age :

17 ans depuis 1923

Lieu de résidence :

États-Unis

Statut :

Vampire

Classe sociale :

Classe Moyenne

Famille :

N'en a plus depuis ses 17 ans

Caractère :

James est un personnage assez captivant. De part sa longévité il a eu tout le temps d'apprendre l'histoire à travers les âges. Plus particulièrement pendant la seconde guerre mondiale car il la vécu et il y combattit avec ardeur contre les nazis. On peut dire que c'est une bonne personne car combattre le nazisme n'est pas donné à beaucoup de gens et surtout d'en sortir vivant après un superbe carnage. En effet, C'est un homme fidèle à ses devoirs militaires: il aime la guerre. Combattre est sa passion. L'arme blanche etc... Il est violent et parfois agressif. C'est un homme brisé qui n'a pas choisi sa situation et qui tente de le vivre comme il peut se cachant derrière un masque de haine. Taylor est souvent froid avec ses camarades de classe. Silencieux, arrogant mais après tout quand on possède une force hors du commun autant en profiter non? James est donc au premier regard une personne détestable sous tous les angles mais il sait parfois être poète, romantique ou charmeur. C'est un passionné de poèmes et de musique classique même si de nos jours c'est plutôt "Marilyn Manson" ou "Cradle of Filth". Pour en savoir donc plus sur lui et percer la coquille qu'il c'est forgé pour cacher sa peine il faut savoir l'aborder prudemment car il ne dévoilera pas tous ses secrets d'un coup!

Description physique :

James pèse 1,75 kg et mesure environ 1,80 mètres. Sa peau est assez blanche mais il s'arrange pour qu'elle ne le paraisse pas trop avec du maquillage ou d'autres artifices. Ses yeux sont noirs, d'un noir profond comme celui de ses cheveux qui descendent jusque sa nuque dans une courte queue de cheval. Quelques uns en bataille viennent devant son visage parfois cacher ses yeux qui inspirent une grande crainte tellement leur regard est dur et froid. Il est vêtu d'un pantalon en cuir noir couvrant ses bottes également en cuir avec des bouts de fer donnant toujours l'impression d'avoir un être de métal parcourant le couloir à cause du bruit qu'elles produisent. James porte une veste en cuir sans manches noir et en dessous une chemise noire et grise raillé à la verticale. Sous cette chemise il porte une seconde blanche et autour de son cou James a une cravate noire. Aux mains il porte une bague argenté représentant un crâne avec une rose entre les deux. Autour de son poignet gauche Taylor a un bracelet à piques. Dans ses poches il a deux gants noirs également en cuir, étant relié pour chaque doigt à un fil très fin peu visible à l'œil nu et extrêmement coupant. A sa ceinture se trouve un étui à couteau que James peut lancer ou utiliser comme une sorte de dague. Sur son nez le vampire a des lunettes ovales et à a son oreille droite un piercing en forme de pic. Ses lèvres sont parfois couvertes de noir à lèvre ainsi que les dessous de ses yeux. Dans sa poche gauche Taylor a un paquet de cigarette et il n'hésite pas à fumer dans les endroits interdits.

Loisirs :

Il passe pas mal de temps sur son ordinateur à écouter de la musique, à jouer à des jeux vidéos ou encore à dessiner.

Aime :

James aime la sensation de liberté et de fraternité qu'il peut exister dans une école même s'il n'apprécie guère qu'on lui pose des questions. le vampire adore regarder les nuages ou le soleil lorsqu'il le peut sans se faire repérer mais ce qu'il idolâtre par dessus tout c'est sentir le corps du vampire ennemi se briser entre ses fils mortels. Ah, et aussi les Marlboro Light.

N’aime pas :

Le tueur de vampires n'aime pas ceux de sa race qui tuent des humains, les questions embarrassantes ou qu'on se moque de lui pour son physique et son style vestimentaire. James n'apprécie pas non plus qu'on traite mal ses parents, qui sont mort pendant la seconde guerre mondiale. Il prétend vivre seul pour ne pas éveiller les soupçons. Il déteste le goût Ajja17.

Avatar pris:

personnage fictif. Walter C Dorneaz de Hellsing.


HJ:

Votre âge IRL :

17 ans

Code :

Ok/edit Evi


Je souhaiterais comme rang: L'ange de la mort.

Je souhaiterais comme Logement une simple petite maison pour 1 personne.

L’histoire de votre personnage :

La fumée me brûle les poumons et les narines. Je peux sentir le contact des gouttes d'eau qui perlent encore mon visage, couvert de crasse et de sang. J'entre-ouvre les yeux, malgré l'intense noirceur de la nuit pour essayer de percevoir mes compagnons d'armes. J'aperçois la lumière des projecteurs et le son des sirènes n'explose les tympans, mais cela ne couvre pas le son provenant du magnétophone à quelques pas de là. On peut encore entendre Carl Maria Von Weber dans l'une de ses œuvres les plus connues: Der Freischutz. Je m'appuie d'une main sur les briques brisés isolés sur le parquet de la baraque en ruine et de l'autre j'attrape le morceau de meuble en bois afin de me relever. J'ouvre complètement les yeux et parmi les décombres je cherche mes lunettes que je retrouve rapidement heureusement indemne. Je peux enfin voir ce qui a provoqué l'explosion du toit et d'une partie du mur de la maison. Une troupe de soldats allemands venait de bombarder à coup de bazooka. Mes compagnons d'armes sont au sol, la tête défigurée ou les membres arrachés par les pierres qui avaient volé en éclat.

Mein Sohn...

Je me baisse afin d'éviter un coup de fusil qui me fût porté, et je ramasse l'arme de mon frère au sol, me cachant derrière les sacs de sable qui maintenaient autrefois une mg-42. Je soupir un coup, et avec une main tremblante je saisie une cigarette dans ma poche. Je l'allume avec mon vieux zippo qui sentait abondamment l'essence puis je tirai une bouffé afin de récupérer le contrôle de moi même. Bordel, que j'aimais ses saloperies.

Nur Mut...

Attendant que les tirs cessent, je me relève et je tire en pleine face d'un soldat allemand alors que celui-ci venait de recharger leur seul bazooka. La balle traversa son casque provoquant une explosion de sang en plein visage de ses autres compères. Ni une Ni deux, je fis de nouveau mouche avec deux balles, mettant à terre les deux mitrailleuses qui n'eurent le temps que de crier, sentant la balle passer entre leurs omoplates.

Wer Gott vertraunt, baut gut!

Alors que le morceau s'enchaînait dans une frénésie incontrôlable, je sautai par dessus le bout de pierre du premier étage pour atterrir dans la petite cour ou gisait les corps calcinés de deux officiers et une mitrailleuse en morceaux, encore fumante. Je me baisse pour ramasser leurs grenades et je les dégoupille les deux avec mes dents afin de les lancer par la suite dans les deux directions par lesquelles ont me tirait dessus. L'une défonça un arbre sans feuilles qui s'abattit sur le véhicule blindé de transport des soldats. La seconde éclata aux pieds d'une petite troupe, ne la voyant que trop tard dans le noir obscur de cette nuit sans lune.

Jetzt Auf! In Bergen and Klüften, tobt morgen der freudige Krieg!

Der Freischutz. Pour information la chanson parle d'un soldat allemand qui fait un pacte avec le diable pour que la balle de son mousquet touche un ennemi à chaque fois. C'est un morceau de nombreuses fois adaptés au théâtre. C'est bien entendu une chanson allemande.

Das Wild in fluren... Der Aar in wolken und Lüften...

Il ne restait que quelques soldats. Ils me tirèrent dessus mais d'un mouvement de feinte puis avec un demi-tour rapide, je ne reçois que deux balles dans le ventre, évitant une rafale en pleine face. C'est alors que je sorti mes gants, mon chargeur étant vide. La lumière de la lune se dégagea parmi les lueurs de la nuit, faisant briller de mille-feux les fils invisibles qui me servait en général à jouer entre mes doigts. J'ai traversé les troupes ennemis d'une traite, évitant les coups de baïonnettes qui se perdirent entre eux et d'un mouvement sec entre mes dents et entre mes doigts les fils qui avaient entourés leurs jambes ou leurs têtes se tendirent rapidement, tranchant net la chair et les os.

Ist unser, unser der Sieg, und unser der Sieg! Und unser der Sieg! Und unser der Sieg!

La douleur dans mon ventre est insupportable, me poussant à poser un genou au sol. le sang coulait abondamment. Et merde, j'avais un poumon touché. Le goût de la fumée se mêlait à celui du sang que je régurgitais par mes petits crachats. Putain, vais-je donc mourir ici? Si près de mon objectif... le poste de commandement était à deux pas et les renforts devaient avoir des informations sur les lignes ennemis avant d'arriver! Mais trop tard... Ma tête se brouille, le bruit des avions passant au dessus de moi couvrant les autres bruits de la campagne nocturne. Derrière moi, le seul son que j'entends est l'explosion de la maison et le cri final du chanteur allemand sur le vieux cd.

Quelques heures plus tard.

- Eh, Eh!!! James, réveille-toi!!

La lumière de la lampe me brûle les yeux.

- Argh... P.. Papa? Qu'est..ce que tu fais... là?

Il m'aide à me relever, la douleur de mes blessures m'étant très dur à supporter.

- Fils, tu dois venir avec moi, les supérieurs voudraient des informations sur ce qui c'est passé. Ou sont donc tes hommes, et ton frère?

Un silence de mort s'installa dans la petite infirmerie. Finalement on me conduisit aux officiers qui commandaient nos troupes. L'interrogatoire fût long mais on prêtait attention à mes réactions car les blessures que j'avais le faisaient souffrir. Pour ne rien laisser paraitre, je pris une cigarette que j'allumai sans gène. On me posa donc des questions sur les troupes présentes ainsi que sur l'étrange découverte des cadavres découpé net comme du beurre ramolli. Sur ce dernier détail, Je ne répondis rien simulant l'homme traumatisé... Ah, je suis bon acteur après tout! Je leur révélai ce qu'ils devaient savoir et finalement le conflit fut régler rapidement. Parmi les officiers cependant, je pouvais remarquer un homme qui me fixait d'un regard meurtrier, non plutôt un regard affamé. Je sentais le sang à des kilomètres à la ronde alors qui aurait put croire qu'aucun vampire n'allait se trahir? mais il ne me sauta pas dessus. Je n'avais pas prêté attention à lui alors je retournai dans ma chambre accompagné de mon paternel. Il était tout seul à m'élever depuis que maman était morte en couche. Alors ce vieux grigou me chérissait comme la prunelle de ses yeux. Une fois dans ma chambre, je m’allongeai pour dormir mais dans la nuit, un intrus me réveilla. Il s'agissait du jeune officier.

- Que... Que voulez vous, Lieutenant?

Je me relevais avec un peu de peine, mon père dormant encore. Le vampire s'approcha de moi, les yeux grands ouverts, et son souffle saccadé qui signifiait son manque de sang depuis un moment. Bouffer des hommes sur le champ de bataille aurait semblé suspect non? Celui-ci se mit au dessus de moi sur le lit, me faisant rougir et me bloquant dans mes phrases.

- Je... je... hem... Lieutenant que faites v...

Le lieutenant m'embrassa tendrement, me paralysant totalement. Je n'avais pas d'attirance particulière pour les hommes mais là, son parfum étrange m'embrouillait l'esprit, je ne pouvais plus faire le moindre mouvement. Il saisit alors mes bras qu'il fit passer au dessus de lui, puis il descendit sa bouche jusque dans mon cou et là, il me mordit à pleine dent. la douleur fût telle que je poussai un cri qu'il n'eut pas le temps d'arrêter avec sa main. Mon père se réveilla en sursaut et sortit son revolver. Il tira à plusieurs reprises le touchant au cœur, mais celui-ci semblait y résister. Un vampire coriace! La créature sauta sur mon paternel, le frappant d'un violet coup de poing, lui brisant le nez. Moi, je sentais mon corps mourir de l'intérieur avec l'action du poison dans mes veines, impuissant. Mon père rendu l'âme rapidement avec le nombre fou de coups qu'il reçu et je fût sauvé de la fin de la créature par une attaque miraculeuse de mes amis. Ils le descendirent à coup de mitraillette le faisant tomber parmi des bidons d'essence. Les balles firent exploser l'un des bidons le carbonisant. Moi, je venais de me transformer en vampire suite à la morsure... Une fois réveillé de cet état de douleur insupportable je tranchai la toile de la tente pour m'enfuir parmi les sous-bois.

...

- Eh, James!! Réveille-toi!!!

le chauffeur de camion me secoue, me forçant à retrouver mes esprits. Je somnolais sur le siège passager, une clope encore en bouche et celle-ci en était déjà au filtre.

- Humm???

- Nous voilà en ville! Jvous dépose ici! Si vous cherchez un appart' y'a des ptits logements à louer ou acheter ah, et inscrivez vous à l'école. Vous me semblez bien jeune, hum?

- ouais ouais...

Je descendis du camion mon sac à la main. Rah, quel temps de merde... encore de la pluie. Comme ce soir là. j'avais une page de journal ainsi que quelques documentaires en main. certains relataient des meurtres ayant eut lieu il y a longtemps maintenant et aussi le décès étranges d'animaux avec des marques de dents non connues. Forcément l'action de vampires. Les meurtres avaient cessé depuis longtemps mais je devais m'en assurer. Et puis s'ils tuent des animaux - je suppose qu'ils sont plusieurs, ce sont probablement des vampires civilisés... Peut être un foyer pour moi, qui me sent seul depuis une bonne paire d'années maintenant? Cela fait au moins plus de 50 ans que je n'ai pas eu de camarades de mon âge. A 17 ans un ado à souvent des amis non?

Voici donc mon arrivé dans la ville de nos héros, Forks. Ce rêve étrange est bien l'histoire de mon passé d'être humain. Car oui je suis un vampire. Je suis âgé de 17 ans depuis 1940. Ma famille vivait en France lorsque j'étais petit. Juste avant la seconde guerre mondiale. Nous étions originaires des Etats-Unis. La mère est morte en couche alors mon père dût m'éduquer du mieux qu'il pouvait. rapidement j'ai montré mes talents de tueur, voulant exercer cette profession très lucrative plus tard. Mais la guerre envahit la France rapidement. Engagé de force dans l'armée, mon père et moi avons tenté de percer les lignes allemandes. Nous avons failli créer une faille, mais l'aviation allemande était redoutable. Après ce qui se passa donc (relaté dans mon rêve) je m'enfuis, transformé en vampire par l'un de mes officiers. La découverte de mes dons fût surprenante et je remarquais aussi cette envie de sang qui me démangeait de plus en plus chaque jour. Mais ne voulant pas tomber dans la même folie que mon "maitre" je préférais dévorer des animaux. Et je découvris enfin ce que je voulais faire de ma vie. D'abord retourner aux Etats Unis afin de fuir la guerre dévastatrice qui se propageait. Je m’enrôlai dans les marines et je participai au débarquement allié, aidant à la victoire écrasante de mon pays. Ce n'est pas cette euphorie des décorations militaires et remerciements qui me détournèrent de mon véritable but. Tuer tous les vampires tuant d'autres humains, afin que mon calvaire ne puisse perdurer dans le monde. Une faim insatiable de sang pour l'éternité et la vie de solitaire que j'ai maintenant... Je ne veux pas la transmettre... Alors je la détruis. Peu importe ce que pense ceux de ma "race" aujourd'hui, je n'ai pas changé d'avis. Je ne tuerais pas ceux qui comme moi savent se contrôler mais honte à ceux qui deviennent des animaux comme mon "maitre".

Mes facultés de vampires devinrent plus intenses avec le temps. Mes capacités physiques dépassaient largement celle des humains et même parmi les vampires les miennes étaient très redoutables! Notamment ma rapidité extrême me permettant d'utiliser les fils à la perfection mais aussi une puissance de frappe assez grande. Le don spécial à chaque vampire qui se révéla en moi fût d'avoir un certain contrôle sur les animaux sauvages, les insectes, les mammifères marins... qui obéissent à tous mes désirs. Certaines choses irréalisables ne peuvent être accomplies, mais si je demande à certains animaux doté de certains instincts, je peut facilement retrouver un vampire et le suivre à la trace. Ce que je trouve vraiment dommage dans toute cette histoire, c'est que ma technique des fils est toujours incomplète. Même avec mes pouvoirs vampiriques, les capacités physiques de sa réalisation sont toujours hors de portée pour moi... seulement quelques coups peuvent être utilisés avant que cela ne m'épuise. Dommage... Cette technique je la ferais vivre à travers mes dessins, car je suis avant tout un artiste.