~Emily Young [terminé!]~

Je t'encourage pour la physique

*Pense qu'il faudrait peut-être qu'elle bosse, a pas envie ------> Dodo*

allez courage ma chérie !! fais attention tu va bientôt rattraper Keithaa XD

grave moi aussi il faudrait que je bosse, mais j'ai trop eu une journée de merde et 7 heures de cours, donc voilà, pas trop la motive pour bosser... XC

Elliana Berry a écrit:

fais attention tu va bientôt rattraper Keithaa XD

Comment ça?

Toi aussi bon courage ma choute, pour ton boulot... =S

en retard our poster une fche, je pense que tu sais qu'elle a été validé au moins deux semaines avant d'avoir finis son histoire à chaque fois ><""

merci chote, je m'en sors pour l'instant U__U

Ah oui oki...

L'Histoire de votre personnage :

Partie 1:

Commençons par le commencement...

Je suis née à la Push, près de Forks, dans l'état de Washington. Cette réserve est en fait habitée par un clan d'indiens appelés Quileutes.
Ma mère, Effie Deborah Young, est fille, petite-fille, arrière-petite-fille de Quileute, et ses ancêtres ont toujours habité la réserve. Ce qui en l'empêcha pas de s'enticher d'un jeune-homme
de Port Angeles au cours d'une de ses sorties arrosées en boîte, au point de vouloir s'enfuir avec lui à l'autre bout des Etat-Unis et de planter là toute sa famille. Le garçon est question s'appelait Jason McDasen; il devait avoir une vingtaine d'années. Ma mère était aussi jeune et délurée que lui, elle tomba enceinte par accident. Bien entendu, en apprenant la nouvelle, Jason prit ses jambes à son coup et abandonna lâchement ma mère à ses ennuis...
Quant à ma famille maternelle, choquée et offensée d'un tel déshonneur, elle se mit en froid avec Effie. Celle-ci prolongea son séjour à la Push jusqu'à son accouchement, à savoir le 4 février 1986, car elle n'avait nul part où aller. Après cela, elle plia bagages et m'emmena avec elle au fin fond de l'Utah.
Nous nous installâmes dans une petite ville au bord du Colorado. Ma mère, malgré son immaturité, a toujours été débrouillarde. Elle trouva un emploi de serveuse dans un petit restaurant, et nous dénicha aussi un studio.
La vie suivait son cours, la routine s'installait, c'était le calme après la tempête...

***

J'avais huit ans lorsque ma mère se maria. Après toutes ces années entre filles, une présence masculine à la maison me fit très bizarre.
Mon beau-père se nommait Callum O'Brian, c'était un irlandais d'une trentaine d'années. Avec Effie, il ouvrit un restaurant dans la petite ville où nous vivions, désormais dans un pavillon. Les talents culinaires de ma mère alliés au sens inné du contact de Callum; tout cela fit de leur petit restaurant un immense succès.
Je m'entendit à merveille avec Callum. C'était un homme d'une rare bonté et compréhension, un modèle de calme et de sagesse. Il remplaçait le père que je n'avais jamais eu. Effie était ravie: elle avait beau être le total opposé de cet homme, elle en était folle.
Enfin, après tant d'années, nous redevenions une famille complète et unie.

***

"Leah!"

A peine la porte ouverte, je me jetai dans les bras de ma cousine pour l'embrasser. Leah ne semblait pas surprise, elle était pour ainsi dire habituée à mes accueils enthousiastes...
A chaque vacances, c'était pareil, nous nous voyions. Lorsque j'étais plus jeune, j'allais passer quelques semaines à la Push avec Effie, chez ma tante Sue. J'adorais cet endroit, sauvage et beau à la fois, les immenses forêts où nous nous perdions pendant les jeux de cache-cache, la mer si bleu et si froide, les falaises immenses et inaccessibles...
Mais maintenant, avec le restaurant, ça devenait de plus en plus difficile de s'y rendre. C'était donc Sue, son mari Harry, ainsi que leurs enfants Leah et Seth, qui venaient nous rendre visite dans l'Utah. C'était inévitable de toute façon: ma mère adorait sa soeur Sue et exigeait de la voir plusieurs fois par an.

"On va dans notre coin?"

Leah avait prononcé ces mots avec un regard brillant de malice.

"D'accord, allons-y!"

Elle attrapait ma main et nous filions vers le fleuve, échappant aux mondanités d'usage.
Notre coin, c'était un énorme chêne creux de la forêt longeant le Colorado. Nous y passions des heures à discuter, à chacune de nos rencontres: c'était un peu une tradition.
Leah avait 11 ans, un an et demi de plus que moi donc. C'était toujours elle qui commandait; ma grande soeur en quelque sorte.

Aujourd'hui était un jour un peu spécial, je le sentais... Et comme pour me le confirmer, Leah sortit quelque chose de sa poche: deux fins bracelets de fil tressé aux couleurs flamboyantes.

"Regarde, c'est moi qui les aient faits! babilla-t-elle. Ce sont des bracelets d'amitié! Crois-moi ou pas, mais si on arrive à les garder sans les retirer une seule fois pendant un an , alors notre amitié sera éternelle!"

J'ouvrais des yeux fascinés et surexités:

"Il faut absolument qu'on essaie!"

Nos bracelets furent noués et notre amitié scellé à jamais. Nous échangeâmes un regard amusé. Au fond, nous n'avions pas besoin de ça pour savoir que nous serions toujours amies.


==> voilà donc le début de l'histoire d'Emily!^^
Bon pour le moment, c'est pas super palpitant, mais vous inquiètez pas après ça devient mieux!

Bon je dois faire quelques modif' sur ma fiche, et après dodo!

Partie 2:

Le temps filait...

Je passais du collège au lycée sans même m'en être rendue compte.
Bien que l'adolescence soit pour beaucoup d'entre nous un passage difficile, ce ne fut pas mon cas. Je me sentais toujours aussi heureuse de vivre, pleine de joie et de dynamisme. Mon entrain servait pour deux: je passais beaucoup de temps à parler
aux gens, à les aider, à les écouter et à les consoler. J'aimais ça, parce que j'avais vraiment l'impression d'être utile!
J'avais beaucoup d'amis grâce à cela, et qui plus est je m'entendais à merveille avec mes parents: je passais beaucoup de temps à travailler au restaurant, ma mère m'avais appris des tas de choses dans le domaine culinaire.
Je ne voyais pas Leah aussi souvent que je l'aurais voulu, pourtant. La séparation était difficile, mais je me consolais avec la certitude que nous nous retrouverions à la fac de l'état de Washington, comme nous nous l'étions promis.
Quand j'étais seule - et je détestais cela - j'avais besoin de m'occuper l'esprit de manière totale. Le meilleur moyen? Dessiner. J'adorais ça, plus encore que faire la cuisine ou lire. C'était toujours une belle aventure que de s'absorber dans une oeuvre, un paysage, un portrait, au point d'oublier le temps...

***

La chance semblait décidément de mon côté, dans cette vie si paisible qui commençait.
Mais, sans que je m'en doute, les choses allaient changer d'ici très peu de temps...

***

Le jour où l'on rencontre l'homme de sa vie, c'est rarement quelque chose que l'on oublie... Je n'ai pas échappé à la règle.
La première fois que je le vis, je fus immédiatement persuadée d'avoir trouvé ma moitié. Jamais un regard ne m'avais paru aussi physique, jamais mon coeur n'avait battu avec autant de force. Bien sûr, à la vue de cet homme, j'aurais dû fondre de joie, de bonheur et de gratitude. A la place de cela, je plongeai dans une abysse de terreur et de frustration. Pourquoi fallait-t-il donc que l'homme de ma vie soit précisément celui qu'il ne fallait pas? Pourquoi fallait-t-il que cet homme soit Sam Uley, le fiancé de Leah?...

***

Après l'obtention de mes diplômes, à la fin des années de lycée, je choisis comme prévu la fac de Seattle, afin de me rapprocher de La Push et du reste du clan. Je pliais bagages en juin, car j'avais l'intention de passer mes trois mois de vacances chez Leah. Quel plaisir, enfin, de retrouver l'endroit que j'avais tant aimé dans mon enfance!
Bien évidemment, c'est à cette occasion que je rencontrais Sam, le soir de mon arrivée chez les Clearwater. Cette rencontre fut pour le moins étrange et déroutante... Il entra, posa d'abord un regard chargé d'affection sur Leah. Nos yeux se croisèrent, et c'est comme si tout ce qui avait pû exister avant n'avais pas la moindre importance. Enfin, c'est l'impression que son regard me fit: une impression d'illumination.

***

Le destin semblait se mêler à nos deux sorts. En effet, trois jours plus tard, Leah m'annonça qu'elle devait partir pour quelques semaines rendre visite à des cousins éloignés du Minnesota. Je restais donc à la Push, tandis que la maisonnée Clearwater s'embarquait pour Minneapolis.
Premier jour de solitude. Il était à peine huit heures quand la sonnette retentit. Je courus jusqu'à la porte, échevelée et à demi endormie.

"Bonjour." Fit une voix de basse aux riches intonations. Sam!

"Oh! Bonjour..."

"Je peux entrer?"

"Oui... Oui, bien sûr! Tu tombes bien, j'étais en train de préparer le petit-déjeuner."

Nous passâmes ce matin-là un incroyable moment de béate complicité, qu'aucun nuage de culpabilité ne vint ternir.


==> bon comme personne n'a l'air d'avoir lu la première partie, je sais pas si ça vous a plu... XD
Tant pis, je poste la suite, mais j'aimerais bien quelques avis quoi...
Bon, promis, la prochaine partie va y avoir de l'action!^^

Partie 3:

Très vite, la routine s'installa.
Tous les matins, Sam venait prendre le petit-déjeuner à la maison, puis il partait travailler. A midi, j'allais le retrouver et nous partions pique-niquer sur la plage. S'ensuivait une longue ballade sur la grève: giflés par les vents, arrosés par l'écume, ennivrés par l'air du large, nos discussions n'en devenaient que plus passionnés. L'après-midi était toujours interminable, et je tâchais de me concentrer sur mes révisions ou sur un de mes dessins afin de m'occuper l'esprit. Nous nous retrouvions chez moi pour le diner, et nous passions la soirée ensemble, à regarder les étoiles, à nous ballader, à visionner un film, ou tout simplement à discuter. La séparation était difficile, et il n'était pas rare que Sam finisse sa nuit sur le canapé du salon.
Nous évitions toujours soigneusement de nous toucher, ou d'avoir un quelconque contact l'un avec l'autre. C'était notre façon de nous persuader que nous ne faisions rien de mal, que nous n'étions pas en train de trahir Leah.
Car, sous couvert de relations amicales, c'était beaucoup plus qui nous unissait évidemment: jamais une amitié n'aurait pu se construire de manière si spontanée, si brutale, et avec autant de facilité.

Durant cette période de tête à tête perpétuel avec Sam, je passais si souvent du rire aux larmes. A peine était-il parti, et dès que je me retrouvais seule, la culpabilité, l'impuissance et l'angoisse se ruaient sur moi, me faisant endurer mille maux.
Je trahissais la personne qui avait toujours le plus compté dans ma vie... Je savais que Leah adorait Sam, et je ne pouvais imaginer sa réaction si elle apprenait nos sentiments. Elle serait brisée, et anéantie, sans nul doute.
Sam et moi? Moi et Sam? Notre relation n'avait pas le moindre avenir...
Mais alors, que faire, quand je savais qu'une vie sans lui n'aurait jamais aucun sens?

***

Les jours passaient, les semaines aussi... Le retour de Leah était prévu pour le lendemain.
Notre dernière soirée seuls.
Tou au long de l'après-midi, j'avais réfléchis à la manièred'aborder le sujet de notre séparation. Il était 19 heures, et je n'avais toujours rien décidé.
Ce soir pourtant, tout devait être parfait. J'avais sorti le grand jeu: chandelles, argenterie, plats préférés de Sam, ...
Je m'était même changée! J'avais enfilé un long jupon noir, un haut bustier doré, et des créoles en or empruntées à ma mère. mes cheveux, d'habitude attachés, tombaient ce soir en cascades brunes sur mes épaules.
La sonnette venait de retentir. Après un dernier coup de cuillère dans la casserole, et un rapide coup d'oeil au miroir, je courais à la porte.


===> bon j'ai la flemme de continuer, le passage tragico-romantique sera pour demain!

ahhhhhhhh hooooreeur moi je veuuuuux la suiiiiiiiite viiiiiiiiite ou je meurs !!! tu auras ma mort sur le conscience si tu te dépêches pas de continuer ton hiistoire !!!!

Elli t'aurait pas pû me faire plus plaisir!

**est trop contente**

En plus je viens de recevoir mon bulletin ==> 14,8 de moyenne!
Avec ça, mes parents me laissent crédit illimité de PC, je suis sûre!

Bref, je me met au boulot!

dis, la prochaine fois, demande-moi un minimum mon avis, avant ^^
Je suis concernée, moi aussi...

Ah pardon Llevanou...

Tu veux que je t'envoie la suite?

veut bien, please...

Partie 4:

Comme à chaque fois que je voyais Sam, sa beauté me causait un choc.

"Bonsoir..." Ma voix était tremblante et mal assurée.

"Bonsoir." La sienne était beaucoup plus calme et rassurante.

Bon sang! Ne pouvait-il pas s'empêcher d'être aussi attirant? Les mains crochetées à la poignée de la porte, je résistais avec difficulté au désir de me jeter dans ses bras. Non, ça n'était vraiment pas le moment de tout gâcher. les choses étaient faites pour se passer autrement: Sam devait épouser Leah...

"Tu es ravissante, ce soir, dis-moi."

"Merci! et toi, tu es... Comment dire?... Parfait!"

Il sourit, amusé par ma remarque (qui était cependant tout ce qu'il y a de plus sérieux.).

"Allez, rentre vite! Je nous ai préparé un repas si copieux qu'il vaut mieux s'y mettre tout de suite."

La soirée filait à une vitesse folle, et nous arrivâmes au dessert alors même que la soirée ne nous semblait que commencer...
Il y eu quelques instants de silence. Prenant mon courage à deux mains, je lançais:

"Leah revient demain matin."

Il leva vers moi des yeux surpris.

"Je sais ça... Tu croyais vraiment que je l'ignorais?"

"Non, bien sûr que non, mais..."

Il gardait le silence; l'attente était trop insupportable:

"... Mais j'aimerais savoir ce que tu comptes faire. Est-ce que tu veux qu'on continue à se voir, ou bien ... tu préfère carrément qu'on coupe les ponts?"

Après l'étonnement, ses yeux reflètaient maintenant une terreur non dissimulée. Apparement, nos projets pour le futur ne concordaient pas.

"Emily... Tu sais, tout a tellement changé dans ma vie depuis quelques semaines... Et celà, grâce à toi. Je ne sais plus vraiment où j'en suis, mais il y a au moins deux choses dont je suis sûr. Premièrement, je t'aime... Tellement, tellement plus que tout ce que j'avais pû m'imaginer sur la force de l'amour."

Il avait attrapé ma main. Jamais on ne m'avait dit des choses si douces. Je n'avais même pas la force de résister. J'avais beau m'accrocher aux berges, le courant de la tentation m'entraînait avec lui.

"Et deuxièmement, je voudrais passer le restant de mes jours à tes côtés. Je vais rompre avec Leah le plus tôt possible, c'est la seule solution."

Dans un sursaut de lucidité, mon rêve devint cauchemar.
Oh, mon Dieu! Rompre avec Leah? C'était impossible, il ne pouvait pas faire une chose pareille! Il allait briser sa vie. J'allais briser sa vie. Jamais elle ne s'en relèverait, elle nous haïrait tous deux, sa vie ne serait plus qu'un torrent de rancoeur et de haine.
Non! Je ne pouvais pas laisser faire ça, Sam le regretterait forcément un jour, et ce jour il m'en voudrait, il me détesterait, il se détesterait...
Mon esprit embrumé par la douleur s'affolait, cherchait en vain un moyen d'empêcher cette catastrophe.
Brusquement, je retirais ma main de la sienne.

"Je ne penses pas que ça soit une très bonne idée, Sam... Je suis désolée, mais... je ne t'aime pas."

Les mots avaient franchi le seuil de mes lèvres si facilement...
J'avais choisi de mentir, il fallait que j'ailles jusqu'au bout maintenant. Même si le regard effaré de Sam me brisait le coeur. Même si je n'étais pas sûre de pouvoir encore un jour me regarder dans un miroir.

"Va-t-en, s'il-te-plaît..."

Soudain, tout se passa très vite.
Un lueur de désespoir féroce éclaira les yeux de Sam. Sa main serrait si fort le verre à pied qu'il explosa en milles morceaux. Puis il se mit à trembler, avec une force inoui. Mes yeux clignèrent, rien qu'un instant, mais quand je les rouvrai Sam avait disparut. A sa place, se trouvait un immense loup noir aux terrifiantes pupilles jaunes. Je n'eus même pas le temps de hurler, que déjà la créature bondissait, frappait mon visage d'une coup de griffe, si fort que la peau de ma joue sembla s'arracher et que je fus projetée à travers la pièce. Ma tête vint heurter le mur de la salle à manger.
Et puis tout devînt noir...



==> suite dès que je peux! XD

llllaaaaaaaaaaaaaaa suiiiiiiiiiiite mainnntenant ou je pique ma criseeeeeeeeeeeeeeee !!!


*lol Elli qui pique sa crise ça fait peut j'vous jure T_T*

Maiiiiiiiiiiis...

**est terrorisée**

... l'ai pas encore écrite... XD

eh ben tu l'éécriis amintenant au lieu de ouiner allez zou !!

*veuut la suitte à tout prix !!*

Et je dois d'abord l'envoyer à Llevanou de toute façon!

^^

on parle de moi ?

Et oui, chuis une V.I.P., Moi... :afro:

ouaiiiii c'est vrai ça !! on veut la suiiite !!

Oho! Tu tombes bien, encore quelques lignes et j'ai terminé!

mwa, jla connaiiiiiis !!!!!!!

*content*

VIP powaaaaa !!!!!

Sam te la joue pas hein!



Bref, encore désolée du retard, j'ai voulu faire un truc bien parce que c'est un perso du livre, mais mauvaise idée, vu que j'écris à la vitesse d'un escargot... XD