[55%] Carmen Denali

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Carmen Denali

Nom : Denali

Prénom : Carmen

Date de naissance et âge : Carmen naquit dans les années 1600 à Barcelone, en Espagne. L’année exacte, elle ne s’en souvient plus, et préfère d’ailleurs ne pas y penser. Elle a donc dans les 500 ans, mais est figée dans le corps d’une jeune femme de 22 ans.

Lieu de résidence : À Denali, en Alaska. Le froid, le gris du ciel ainsi que l’absence des humains font de ce lieu un endroit idéal pour vivre en toute liberté.

Statut : Vampire.

Classe sociale : À priori riche, dirions-nous ? Aucuns d’entre eux ne manquent de quoi que ce soit.

Emploi : Ne travaille pas.

Famille : Carmen a rejoint le clan Denali il y a quelques décénnies de cela, en compagnie de son époux, Eléazar. Les sœurs Denali, Irina, Kate & Tanya, les ont immédiatement acceptés, leur offrant la possibilité de porter leur nom. Cependant, nous passeront le sujet de la défunte Irina, décédée dans de tragiques circonstances. Disons qu’elle n’a su garder son sang-froid, si j’ose dire.

Pourrions-nous considérer le clan des Cullen comme une famille seconde, un lieu où se ressourcer ? Sans doute, vous répondront-ils. Tous sont liés d’une manière ou d’une autre.

Caractère : Si je devais la comparer à autrui, je désignerai sans doute Esmé Cullen. Carmen est quelqu’un de très doux, de très pacifique, patient, généreux. C’est quelqu’un de très discret, qui sait parler quand il le faut, et qui sait se retirer lorsqu’il est nécessaire de le faire. Cependant, elle n’est pas que crème et guimauve ; Carmen possède une grande force de caractère, et sait se montrer très persuasive ou impressionnante. C’est quelqu’un de motivé et de sérieux, qui aime la légèreté, la douceur, et surtout, l’amour. C’est une amoureuse inconditionnelle de l’Amour, avec un grand A. Toutes ses pensées ne sont tournées que vers Eléazar, pour qui elle donnerait tout ce qu’elle possède.

Description physique : Carmen est grande et fine, a de longs cheveux bruns, encadrant un joli visage très bien dessiné. Son teint est plus mat que les autres, et elle parait par ce fait plus humaine que ses semblables ; qui eux sont très pâles. Elle a un regard très profond, très fin, qui sait vous captiver. Ses yeux sont bien évidemment de cette teinte dorée et singulière, et prennent la couleur de l’enfer lorsque la faim devient trop dure à supporter. Elle aime mettre son corps en valeur, en soulignant ses formes de jolies robes, ou par de jolis décolletés (qui, au passage, ne cessent de rendre fou le pauvre Eléazar). Comme Alice ou Rosalie Cullen, elle a une certaine attention pour ses vêtements. Elle a beau être immortelle, cela n’empêche en rien de garder sa part de féminité, n’est-ce pas ?

Loisirs : Ses loisirs sont malheureusement assez restreints ; elle ne sort que peu, ou alors lorsqu’elle est certaine de ne trouve personne à l’entour. Les rares fois où elle prend plaisir à aller à l’extérieur, c’est pour emmener l’un de ses livres préférés en haut des montagnes. Elle s’y pose pour des heures, et bouquine tranquillement. Autrement, il est évident qu’elle apprécie la chasse, comme tout vampire qui se respecte. Elle passe beaucoup de temps dans les boutiques, et a un certain intérêt pour la décoration d’intérieur ; ce qui lui fait, une fois de plus, un gros point commun avec Esmé. Carmen apprécie, autrement, beaucoup de partager du temps avec son époux. Tous deux sont très liés, deux vraies âmes-sœurs. Chaque minute à ses côtés sait lui faire oublier sa vraie nature.

Aime : Comme dit plus haut : lecture, chasse, shopping, décoration. Ce n’est cependant pas tout. Carmen aime beaucoup aller rendre visite à ses différents amis : beaucoup sont en Europe ; mais les principaux sont plus au sud, dans l’Etat de Washington. Les Cullen sont ses plus proches amis, et elle passe les voir dès que possible. Elle est très attachée à Esmé et Renesmée. Esmé premièrement, pour leurs ressemblances évidentes. Renesmée pour sa différence, sa maturité avancée, et son intelligence flagrante. Elle aimerait connaître plus Bella, et compte désormais sur le temps pour réaliser ses souhaits. Autrement, il est évident qu'elle aime sa famille, la sienne. Ses sœurs, avec qui elle partage énormément. Tanya et elle sont très complices, elles se content tout, dans les moindres détails. Mais c'est cependant avec Eléazar qu'elle se sent le mieux. Mais cela me parait évident, après tout.

N’aime pas : Comme les autres Denalis, elle porte un certain dégoût pour la famille Volturi. Elle les trouve immoraux, vils, et malhonnêtes. Elle a également une certaine réticence pour les ours, dont le sang a pour elle un goût amer, et une odeur repoussante. Elle n’aime pas se regarder dans le miroir et réaliser que ça fait plus de 400 ans que son visage n’a pas évolué ; qu’aucune ride n’est apparue, qu’aucun de ses cheveux n’a terni, ou qu’aucuns de ses os n’a rétréci. L’immortalité à ses défauts, comme toute chose existant en ce monde.

Code : Ok/edit Vlad

Carlisle de retour ! Je me suis enfin décidée, je jouerai désormais Carmen. Je laisse donc aux admins la liberté de remettre Carlisle en tant que libre dans les postes vacants, et m'attèle à la fiche d'une nouvelle Denali.

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Histoire

Débuter par le commencement me semble être la meilleure chose à faire. Carmen naquit au début du XVIIème siècle, dans ce qui est actuellement la ville de Barcelone. Elle fut la dernière d'une famille de quatre enfants; deux filles, deux garçons. C'était une époque où les mariages arrangés régnaient, et où le chemin du Futur n'était tracé que par les parents. Carmen serait domestique au château voisin, et épouserait Pedro, digne fermier. Le frère de Pedro, Juan, était lui-même marié à Maria, la sœur de Carmen. Histoire compliquée; ces deux familles étaient liées depuis des décennies.

Un lourd soir d’été, elle se rendait dans la ferme de son mari, afin de lui apporter l’aide qui lui était nécessaire. Elle boitait, parce qu’elle s’était emmêlée les pieds dans une branche d’ortie quelques jours avant. Alors, elle trébucha, et se retrouva face collée au sol, s’égratinant la joue avec une roche. Elle n’eut pas le temps de réaliser qu’elle souffrait ; elle fut tout aussi immédiatement frappée par un douleur bien plus déchirante. Elle se sentit subitement soulevée de la terre, et était collée à quelque chose de froid, sans odeur, dur comme de la pierre. Elle ne voyait rien, elle sentait son âme s’envoler. Et puis, le noir. Rien, plus rien.

Allez combien savoir combien d’heures, de jours, voire de semaines s’étaient écoulées, entre le moment où elle s'était évanouie, et le moment où elle avait rouvert les yeux sous cet arbre mort. Elle ne savait pas où elle était, elle ne se rappelait de rien, et l’endroit ne lui disait rien non plus. Jamais elle n’avait croisé champs si délaissé, terre si abattue, ciel si gris. Et puis… bon sang, où était passée la chaleur ? Habituellement, elle transpirait toujours. Là, elle se sentait simplement vide. Uniquement remplie d’une faim incroyable. Mais tout… tout semblait tellement plus différent. La sensation de la terre contre ses doigts n’était plus la même. Elle ne sentait plus vraiment le vent sur sa peau. Elle sursauta même au cri d’un corbeau, tant le son lui semblait fort. Où était-elle ?

Elle se releva, hésitante. Elle regarda une nouvelle fois autour d’elle, et fut soudainement prise d’une affreuse douleur. Sa gorge semblait traversée de milliers de graviers ; elle avait l’impression que sa trachée était en état de décomposition, et qu’elle allait rapidement exploser si jamais quelque chose ne la soulageait pas. Ce « quelque chose », étrangement, fut très clair dans l’esprit de Carmen. Elle flaira une odeur qui l’intéressa, et la suivit, inconsciemment. Elle n’était plus réellement maîtresse d’elle-même, après tout.

Elle arriva rapidement au village voisin du sien, et sentait de plus en plus brutalement la violence de cette soif soudaine. L’effluve se faisait plus proche, elle y était, ça y est. Et là, tout bascula. Elle ne se contrôla plus du tout, et sauta sur une enfant qui cueillait quelque chose dans un petit bois, derrière une maisonnette. Tout se fit très rapidement ; Carmen lui sauta bestialement dessus, enfonça sans répit ses crocs dans la gorge de la victime, et aspira tant qu’elle le pouvait. C’était donc ça, que réclamait son organisme. Du sang humain. Elle s’enfuit tout aussi vite, choquée d'elle-même, et alla se poster près d’un lac. Elle se contempla, au fond de l’eau. Ce qu’elle y vit la rendit si folle de douleur qu’elle était persuadée qu’elle en mourrait ; une seconde fois.

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Reservé (au cas où x)

Aaah supeeer ! =3

Invité

J'ai débuté l'histoire, je pense qu'elle arrivera bientôt... (:

Une Carmen \o/
Va plus manquer que Kate et on sera au complet hahah!
Juste dommage pour Carlisle :'(

Invité

J'aurai aimé qu'on se mette d'accord pour nos histoires. Fais-moi signe.

Invité

Hiii, j'veux la suite, superbe commencement Wink

J'en attendais pas moins de toi ^^

Invité

Merci =)
Je suis désolée d'être si lente, mais en ce moment je suis un peu out, et j'ai pas mal de mal à écrire. Je ferai de mon possible. I love you

Invité

Il n'y a pas de problème Wink

Prend ton temps Very Happy

Même si j'suis pressée de voir les Denalis au complet xD

Invité

Carmeeen

Je veux la suite xD

Moi aussi xD Je crains que si d'ici une semaine nous n'avons pas eu de nouvelles, ta fiche ira dans "fiches abandonnées". Et au pire, si tu nous reviens après, on ira la rechercher là-bas ! =p

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