Anna Denali (FINIT ! *O*)

Character

Comment me définir… Alors, pour commencer, comme je me suis souvent retrouvée seule quand mon ancien père n’était pas là, et par la suite, j’ai appris à être autonome, mais j’ai maintenant peur de la solitude. J’en ai trop souffert par le passé. Le silence, ce n’est pas pour moi, je suis obliger de me mettre de la musique dans les oreilles, pour me rassurer, c’est pour moi la seule façon que j’ai de pouvoir rester seule quelque minutes. Je sais bien que je dois ennuyer les autres avec ça, mais je me sens si angoisser quand il n’y a personne autour de moi.

Autrement, je suis très maladroite, ne me demander pas de porter votre vaisselle en porcelaine, vous la retrouverez en morceau, excusez-moi d’avance… Malgré ce petit point désagréable, les gens qui me connaissent pourront vous dire que je suis de nature joviale, mais je déteste par-dessus tout qu’on me fasse remarquer mes défaut, ou que l’on me dise que je suis petite à cause de mon âge, c’est vraiment désagréable. Je n’ai pas choisit quand et où je naitrais et vous non plus à ce que je sache, donc chuuut ! J’aime découvrir les choses, car je sais que qu’il me reste tant à apprendre, mais j’aime aussi faire des farces, mais sans graviter bien sur.

Physical appearance

Je ne suis pas ce que l’on pourrait appeler plus communément : grande ! Loin de là, mais je ne suis pas un lutin non plus. Mon corps est fin, sans allez jusqu’à l’anorexie, comme appelle se phénomène les humains. J’ai la peau couleur de pêche mais surtout, j’ai une toute petite poitrine, à peine apparente, et cela m’énerve beaucoup, quand je regarde Maman ou mes tantes, je suis vraiment jalouse, c’est injuste ! Je n’ai rien fait pour mériter cela ! J’ai de petite mains toutes douces, avec lesquels je peux faire n’importe quoi, demandé, et vous serez servit.

Pour parler un peu de mon visage, je vais commencer par mes cheveux, ils sont mi-longs et blonds, chatoyant au soleil. J’adore me les peigner, sa me les rend doux, et après je suis heureuse pour la journée. Mes yeux sont gris, et ça au moins, j’en suis fière, mon ancien papa, m’a souvent dit que j’avais les mêmes couleurs d’yeux que ma mère, et j’ai l’impression que comme ça, je suis un peu plus proche d’elle. J’ai un nez fin ainsi que des lèvres douces et bien dessiner.

Passions

J’aime… Matt, ma mère, et bien sûr ma nouvelle famille. Mais je ne pense que ce soit une vraie passion. Mais il compte vraiment beaucoup pour moi, et j’adore être avec eux, je suis d’ailleurs tout le temps avec eux. Par exemple, j’adore regarder ma mère danser, elle est encore plus belle dans ces moments là. C’est magique, j’aimerai bien savoir danser comme elle, mais à vrai dire, je suis assez… maladroite. Soit je tombe, soit j’écrabouille les pieds de quelqu’un. Alors du coup, je pose me pose sur une chaise, et je regarde maman virevolter, ou alors je la dessine, oui depuis que j’ai rencontré Matt, j’aime dessiner, au début je ne faisais que des gribouillons, mais maintenant, je dessine correctement.

Et pis avec mon papa, j’adore joué à tout et n’importe quoi, c’est le meilleur ! Il m’apprend plein de choses, comme le faite que j’avais un don, bien que je m’en sois rendu compte le jour où je me suis enfuie, j’avais pensé à un miracle, mais non, tout vient de moi ; je peux transformer l’eau en glace et la glace en eau. Je trouve ça trop bien, et papa m’aide à le contrôler. Du coup, j’en profite pour apprendre à patiner, car je trouve trop beau les gens qui savent faire des figures avec des patins.

Story

Qui suis-je ? Annabeth. Suis-je juste cela ? Je ne sais pas, je ne suis pas normal, je ne suis pas humaine, je suis…

…Dans le ventre de ma mère.

Il fait noir, j’ai chaud, je suis heureuse. Ma mère prend bien soin de moi, je l’aime, et réciproquement, je le sens. Chacune de ses pensés m’appartiennent. Nous ne faisons qu’un. Mais je sais, que malgré le faite que je l’aime plus que tout, je la tue petit à petit. Je me nourris d’elle, de son sang, de son âme. Mais je ne peux pas faire autrement, comment survivre si non ? Mais ne t’inquiète pas maman, quand je serais dehors, je te rendrais tout ce que je t’ai prit.

…Né.

Rien ne ce passe comme je l’avais souhaité. Maman elle pleine de cette chose rouge qui sent si bon, j’y ai même gouté pour sortir du tunnel tout noir. Mais je n’ai pas le temps de la regarder plus. Un homme me prend et m’éloigne de celle qui me fait vivre. Je crie, je mords cet homme, je me prends une tape sur la main. J’ai mal. Je cris encore plus. Pourquoi m’éloigne-t-on d’elle ? Pourquoi ne bouge-t-elle pas, alors que quand j’étais dans son ventre, je savais qu’elle en avait été capable ?

…Dans la maison de mon père.

Maintenant je vis avec mon père. Je l’aime, mais ce n’est pas pareil qu’avec maman. Lui, il n’est pas toujours là pour moi. Quand j’ai peur la nuit, que je fais un cauchemar, je dois me débrouillé toute seule, car il est partit chez une femme. Et puis, pourquoi ne suis-je pas comme les enfants que je peux voir à la télé ? Eux, ils mangent de ces choses qu’ils appellent nourriture, moi, je me nourris de leur sang. Papa… aide moi…

…Entrain de visiter la ville.

Lui, c’est Matt. Il n’est pas comme… moi. Papa m’a pourtant formellement interdit de sortir, et encore pire de parler à un humain. Mais moi, je m’ennuyais toute seule à la maison. Alors je suis sortie, me balader en ville. C’est la première fois que je voyais des humains vivants, d’habitude papa me les amenait mort pour que je les mange. Ça me faisait tout drôle. C’est alors que je suis tombée sur ce magasin. Pendant tous ses moments que j’avais passé seule à la maison, j’ai eu le temps d’apprendre à lire, comme les humains de la télé, et je sus donc que c’était un magasin pour matériel de dessin.

…Là à le dévisager.

Comme hypnotiser, je suis entrée. C’est alors que je le vis. Entrain de ranger des crayons de papier 2B. Il c’est tourné vers moi m’a sourit, et selon les critères humains, je sus qu’il devait avoir approximativement 14 ans, c'est-à-dire 10 ans de plus que moi. Il c’est approché et m’a demandé :

« Bonjour, que puis-je pour toi petite. »

C’est alors que je me suis renfrognée, avant de lui répondre :

« Je suis pas petite, j’ai 4 ans d’abord ! »

Il m’a regardé surprit, puis m’a répondu en rigolant :

« Ahah ! Très marrant. Je t’en aurais pourtant donné 13 ans. »

Je le dévisageais, curieuse. C’était le premier humain que je regardais réellement, et je dois dire qu’il était plutôt pas mal. Nous avons parlé cinq minutes, puis je suis ressortit rouge du magasin. Mon cœur battait à tout rompre.

…Toujours entrain de rêver de lui.

Matt, Matt. Je t’aime. Est-ce possible d’aimer quelqu’un à mon âge, si peu avancé ? Moi en tout cas, je t’aime. A chaque fois que je viens te rendre visite chez le magasin de tes parents, mon cœur s’emballe. Tu m’apprends la vie. Je ne sais pas si tu en prends conscience. Mon père me trouve bizarre, et comme je suis sa seule fille, il pense que c’est une étape de ma croissance accéléré. Mais moi je sais bien pourquoi je suis ainsi. C’est grâce à toi.

…Prête à lui dire la vérité.

« Matt, je… Je suis… »

Il me prit dans ses bras, et je fermai les yeux. Étais-ce la dernière fois que je le voyais ? Je me collais à lui avant de l’entendre dire :

« Je sais, ne t’inquiète pas… »

Surprise, je m’écartais, et le regardais dans les yeux, à moitié furieuse qu'il puisse dire des absurdités pareille, et à moitié rassurer, allez savoir pourquoi :

« Non, tu ne sais rien… »

« Allons, Anna, je te connais mieux que personne, je vois bien que tu es différente. Tu grandis beaucoup plus vite que les gens normaux, et à mon avis, tu me caches beaucoup plus de choses que ça. »

Je détournais le regard. J’aurai du le savoir. Cela faisait maintenant 6 moi que je le connaissais ; il avait du s’en apercevoir.

« Dis moi Anna, je suis prêt, ne t’inquiète, pas je ne partirais pas, j’ai confiance en toi. »

« Je… Je suis un vampire, ou du moins, un demi-vampire… »

Il fit un pas en arrière, puis il me prit de nouveau dans ses bras :

« Je t’aime Anna. »


…Victime d’un cauchemar.

Il est mort… Matt est mort ! C’est impossible ! Comment une chose pareille a-t-elle pu se passer… Mon père. Il se tenait victorieux, le cadavre de mon bien aimé dans une main, ma gorge dans l’autre :

« Qu’as-tu fait petite sotte ? Tu as faillis nous tué en révélant notre identité à cet humain. Pourquoi as-tu fait cela ? Je t’avais pourtant dit de rester à la maison, NON ! »

Il me lança à l’autre bout de la salle, et j'attéris sur le mur. Je ne pouvais plus bouger, j’avais trop mal. Lui me regardait avec ses yeux rouges sang. Il allait me tuer, j’en étais sûr. Autour de moi, la maison était en ruine, de l’eau coulait d'un peu partout, provenant des robinets cassés par mon père. Mais qui s’en occupait ? Moi. J’allais bientôt mourir, et mon père allait sûrement partir loin, me laissant dans l’oubli, et moi j'étais intéressée par l'eau. Suis-je folle ? A mes yeux, l’eau semblait être différente, vivante, doter d’une âme. Je sentais qu'elle me parlait.

C’est alors qu’une chose que je n’aurais jamais imaginé se passa. Alors que je continuais à regarder cette eau, mon corps se glaça, jusqu’à descendre en dessous des zéro degré, puis un vent glacial se propagea, sortant de mon corps, et glaçant toute l’eau sur son passage. Mon père eu les pieds congelés, et il ne put plus bouger. Il me regardait avec stupéfaction, ne comprenant pas ce qu’il se passait. Pour ma part, je me dégageais tant bien que mal, et partait en courant le plus loin possible.

…Seule dans les rues de Venise.

Je ne veux plus tué d’humains. J’aimais trop Matt pour ça. Lui qui m’avait tant apprit, je ne pouvais pas le décevoir, encore maintenant, bien qu’il soit partit. A force de courir, de garder toujours les mêmes habits, ceux-ci tombent en lambeau. Je n’ai pas de toit pour dormir, j’ai froid, j’ai soif. Pour me nourrir, me mange les quelques rats qui ont le malheur de passé en travers de mon chemin. J’ai mal. Matt je t’aime, reviens moi ! Je divague, je deviens folle. Peut être est-ce normal pour une enfant de 6 ans, qui ne se nourrit pas normalement et qui n’habite pas sous un bon toit bien chaud, de devenir folle. De temps en temps, je parle toute seule, c’est mauvaise signe. Et je sens, que si je continue comme ça, je vais bientôt avoir des puces, les démangeaisons sont là. J’ai peur. Matt, aide-moi…

…Dans les bras de Dieu ?

Qui est-ce ? Je ne l’ai jamais vu, et je suis sur que c’est réciproque. Alors pourquoi m’emmène-t-il ? Que me veut-il ? Au secours. Mon cri ne fut que silence, je ne pouvais plus parler. J’aimerai tellement le mordre pour lui faire comprendre qui je suis, il aurait du me laisser mourir en paix, là où il m’avait trouvé, mais je n’ai plus assez de force pour me battre, respirer me devint difficile. Je sombrais.

…Dans une bibliothèque.

Où suis-je ? Je n’ose pas ouvrir les yeux. Tout n’est que silence dans la pièce. Et pourtant, je sais que je ne suis pas seule. Qui est là ? Je me sens muette, comme paralyser. La personne présente dans la pièce me fait comprendre sa présence en tournant une page d’un livre. J’ouvre les yeux. Autour de moi, il n’y a presque que de ça, des livres et encore des livres. Je suis allongée dans un grand fauteuil, mais je n’eus pas le temps de m’émerveiller plus qu’une voix se fit entendre :

« Tu es enfin réveillée ? »

Je me crispais. C’était la voix d’un homme adulte, et j’eus peur que ce fut mon père. Je tournai lentement la tête vers mon interlocuteur, et le dévisageais. Je sus tout de suite qu’il était un vampire, mais ses yeux, je n’en avais jamais vu de tel.


« Qui êtes-vous ? Où suis-je ? Pourquoi suis-je ici ? Que me…»

Avant que je n’eus le temps de poser une autre question, il mit son doigt sur mes lèvres pour m’empêcher de continuer :

« Chut… calme, tu es à l’abris ici. Je ne te veux aucun mal. Je m’appelle Eleazar Denali, et tu es chez moi. »

…Enfin heureuse.

Cela fait maintenant 1 ans que je suis chez les Denali. J’aime ma nouvelle vie. Mes parents sont fantastiques. Eleazar et Carmen s’occupe vraiment bien de moi, je suis au paradis. Tout les jours, je bénis Dieu de m’avoir mit sur la route de cet homme qui m’a sauver d’une mort certaine. Je ne les remercierai jamais assez. Mais il n’y a pas qu’eux ; il y a aussi Tanya et Matthew (ils sont très amusants tous les deux), Kate et Garett. Tous sont tellement gentils avec moi, et je me demande souvent, ce que j’ai fait pour mériter ça…

Writing

«Non, non et non ! Anna ! Combien de fois va-t-il falloir que je le dise, un COI répond à la question, à qui ou a quoi de qui et de quoi ! Ce n’est pas bien compliquer ! »

Je soupirai. Il était deux heure, l’heure à laquelle Tatie Tanya me donnait deux trois cours, pour me pas être perdu quand je devrais aller à l’école. Mais j’avais encore le temps. Papa et maman, ne voulaient pas que j’y aille tant que je n’avais pas terminé ma croissance, pour éviter de me faire remarquer par les humains. En attendant, j’allais encore passer deux bonnes heures à essayer de comprendre de la grammaire bien compliquer, avant de pouvoir aller m’amuser, à moins d’un imprévue…Ce qui devrait arriver dans trois, deux, un, maintenant !

Dans le couloir, des bruits de pas se firent entendre, et un sourire apparu sur mes lèvres. Tonton Matthew. Toujours là pour me tirer d’un mauvais pas. Sans même frapper à la porte, il entra dans la pièce, et regarda Tatie avec son sourire malicieux :

« Ahhh Tanya ! Justement je te cherchais. Tu n’imagineras jamais, ce à quoi j’étais entrain de penser. »

« Non, et à vrai dire, je m’en contrefiche. Maintenant, si tu pouvais partir, j’ai un cours à donner. »

Tatie me tournait le dos pour parler avec Tonton, et j’en profitais pour regarder ce dernier, il avait l’aire de vraiment s’amuser, notre plan marchait à merveille. Maintenant j’avais peut être une chance de pouvoir partir sans faire mes devoirs. Matthew s’approcha de Tanya, la saisit pas les hanches, et lui souffla dans l’oreille :

« Je pensais à toi… »

Elle se dégagea en un instant, et posa sa main sur le torse de Tonton :

« Matthew, franchement, je n’ai pas le temps pour ses enfantillages, revient me voir plus tard. »

Je regardai Tonton avec peur, et lui me fit un clin d’œil, cela ne me rassura pas pour autant. Il l’a souleva et l’allongea dans le fauteuil.

« Personne ne me dicte d’ordre, tu es à moi maintenant ! »

Je sentais Tanya se débattre, et j’eus un peu peur pour elle, mais je savais aussi que c’était ma dernière chance de partir. Discrètement sur la pointe des pieds, je partis. J’entendis Tatie gronder Tonton, mais ce n’était déjà plus mon centre d’intérêt. Je me glissai de pièce en pièce, essayant désespérément de les trouver. Passant une énième fois la tête derrière une porte, je les trouvais enfin. Maman était assise sur les jambes de papa, et ils discutaient tranquillement. Alors je courais jusqu’à eux, et sautais sur les jambes de Maman. Ils me regardèrent surprit l’un comme l’autre, et c’est papa qui prit la parole le premier :

«Tu ne devrais pas être entrain de faire tes devoirs avec Tanya ? »

Je les regardais avec innocence :

« Non, Tonton Matthew s’en occupe… »

Ils se regardèrent puis rigolèrent, avant de me serrer dans leurs bras. La mission du jour avait été un franc succès, mais je savais très bien que je ne pourrais plus utiliser Tonton pour distraire Tatie pendant les devoirs. Demain, j’allais devoir trouver quelque chose d’autre…

Behind the screen

Ton p'tit nom (ou surnom ou pseudo) : Héhé, impossible à deviner.
Comment t'as connu le forum ? Je m'en souviens plus >.<.
Tu le trouves bien, dis ? Non, il est pas bien, il est génial.
Et c'est quoi le code ? Yes/edit V.
Avant qu'on se quitte (ou qu'on se trouve ! \o/) tu veux rajouter un petit mot ?Euuuh... Don't Worry, I'm Happy ?.