{RP:Nom : Thomas
Prénom(s) : Neil
Age : 17 ans
Lieu de residence : Houston, Texas, quartier noir.
Statut : Humain
Classe sociale : Moyenne. Ses parents ne roulent pas sur l’or mais, ayant tous deux un travail, ils vivent dans des conditions relativement bonnes.
Emploi : Neil est en Terminale.
Famille : Madame Thomas est une femme douce et aimable qui travaille comme aide-soignante dans un petit hôpital Texan. Son fils s’entend mieux avec elle qu’avec son père. A vrai dire, monsieur n’a guère de temps à consacrer à son fils, plus à sa boulangerie qu’il ne quitte pratiquement jamais. Neil n’a pas de frères et sœurs.
Caractère : Neil est un garçon qui ne se laisse pas faire, ce comportement étant né des trop nombreuses railleries et moqueries des blancs de son lycée. Il n’hésite pas à répondre aux attaques, et depuis quelque temps il lui arrive d’insulter un camarade à la peau claire simplement pour voir sa réaction. Il commence ainsi à adopter le même comportement que ceux qui l’abordent méchamment, le même comportement qu’il avait toujours déploré et haït. Il sort les poings dès qu’il le peut : cogner est devenu son seul moyen de se faire respecter. Il a à plusieurs reprises mis dans un salle état quelques blancs qui avaient osé le regarder de travers, dont Peter June maintes fois – ce garçon est un des seuls qui, après s’en être pris plein la tronche, revient toujours à l’attaque.
En classe, bien que ce soit sa dernière année, il ne fait plus beaucoup d’effort et passe la plupart de son temps à cogner son punching ball. Le sport est devenu pour lui bien plus important que ses études, au grand dam de ses parents qui déplorent de le faire revenir sur le droit chemin.
Malgré ce comportement de rebelle fini qui ne pense presque plus qu’avec ses poings, Neil est un garçon intelligent, qui brillait en classe il y a quelques années. Lorsque son masque de grand dégouté et haineux de la vie tombe de son visage, il peut faire preuve de beaucoup de sympathie et d’humour à l’encontre des gens amicaux. Il a un grand cœur et se bat souvent pour ses amis plutôt que pour lui, ne supportant pas qu’on insulte par pur racisme.
Description physique : Neil, malgré sa taille qu’il aurait voulu un peu plus haute, possède une carrure assez intimidante en raison de la masse musculaire qui roule sous sa peau caramel. Nous pouvons dire que sa pilosité n’est pas très abondante, ce qui lui fait la peau très douce [putain mais je dis que des conneries xD]
Ses yeux sont noirs et ses cheveux également, qu’il garde ras. Généralement il se rase la barbe, mais il arrive qu’il la laisse pour un effet mal rasé assurément charmeur. Il tient son nez fin et légèrement en trompette de son père, qui ne lui ressemble pas beaucoup à part à ce niveau là. Sa lèvre inférieure est plus grosse que celle du dessus, et lorsqu’il sourit il dévoile des dents d’une très belle facture ; la fossette qui creuse sa joue ne fait qu’ajouter à son charme.
Loisirs: Neil passe son temps à faire du sport, son favoris étant la boxe. Il a obtenu ses premiers gants à l’âge de treize ans, et ils ont depuis eut le temps de devenir ses meilleurs amis. Le sport à la télévision est un autre de ses passe-temps, et il ne manquerait un match de foot pour rien au monde. Avec deux trois potes, quelques bières et plusieurs pizzas, ça fait très bon ménage dans son petit salon.
Il a récemment commencé la guitare électrique, les débuts sont durs mais chaque fois qu’il produit un son il est en pleine extase, on ne doute donc pas qu’il finira par maitriser, avec la volonté qu’il a.
Aime: Neil est passionné de sport, nous l’aurons compris. Il aime sentir dans son corps ses muscles chauffer et se tendre, sentir l’adrénaline parcourir ses veines est une drogue dure. Le sport est pour lui un défouloir et un exutoire, un moyen de se vider la tête autant que de passer ses nerfs.
N’aime pas: Le jeune garçon ne supporte pas le racisme et les gens qui montrent fièrement leur dégout envers les Blacks. Quand il était jeune, il se contentait d’ignorer les attaques verbales des autres, mais depuis quelques années il répond par la violence. Il faut dire que sans cesse entendre des « fils de sale pute noire », « bâtard » ou autre jolies quolibets peuvent monter à la tête. Il est devenu aussi détestable que ceux qui le provoquent, allant jusqu’à provoquer d’abord, mais il ne peut s’en empêcher. Il devient un garçon de plus en plus violent et refoule le monde qui l’entoure.
{L’histoire de votre personnage:Neil est né au Texas, en plein été, un jour de pluie. Il a grandi dans une ville où le racisme est encore très présent, et dès son enfance s’es protégé dans une coquille protectrice. En grandissant, il a étendu cette coquille à son entourage, sa famille, ses amis, mais est aussi devenu plus méfiant que jamais envers le monde et les gens qui l’entourent, se faisant difficilement des amis. Ses gants de boxe acquit à ses 13 ans, il apprit à cogner et savait à 15 ans en mettre plein la vue à ceux qui l’approchaient d’un peu trop près. Il ne fait aucune confiance en la race blanche. Certes, il a conscience que la stupidité de certains ne touchent pas les autres, mais la vie est ainsi faite : les uns ont toujours condamnés les autres à atterrir dans le même sac. La seule fois où il a fait confiance à un blanc s’est avérée assez moralisatrice pour sa conscience et sa confiance : il avait 16 ans, et un groupe de blancs avait très envie de se marrer un coup. L’une des jeunes de la bande fut désignée pour aller flirter et embobiner Neil. Le garçon s’est fait avoir comme un bleu par les beaux yeux de cette jolie blanche, et il l’a amèrement regretté. Souvent, elle lui posait des lapins, se confondant ensuite en excuses et suppliant de se faire pardonner en lui disant qu’il était tout ce qu’elle aimait au monde. Cela arriva plusieurs fois, et à chaque fois cela anéantissait et attisait la colère de Neil. Il ne supportait pas qu’on se fiche de lui, mais elle avait toujours l’air si sincère, et lui était tellement épris d’elle qu’il lui pardonnait toujours, sans savoir que c’était à chaque fois un grand moment de moqueries pour le groupe de blancs, tapis dans un coin à écouter et regarder. Elle ne se contentait pas de lui jouer ce genre de tour, mais s’amusait aussi à lui renverser malencontreusement sa boisson chaude sur le T-shirt, à assaisonner un peu trop sa part, à piquer ses clés de voiture et à lui dicter chaque endroit où il pourrait chercher pour finalement les reposer sur une table, bien en vue, sans compter les faux quolibets du groupe blanc qui s’insurgeait en voyant ce couple blanc-noir. En gros, il se faisait mener en bateau par le bout du nez.
Il arriva enfin un jour où il n’en put plus. Il désirait mettre fin à leur relation, bien que cela lui fit grand mal. La jeune blanche lui sourit alors et lui souffla : « Eh bien, je me demandais quand est-ce que tu allais enfin te rendre compte qu’on te fait marcher depuis le début. J’ai bien failli un moment te congédier la première – oui parce que c’est aussi horrible pour moi de devoir toucher tes lèvres, de devoir te toucher tout court, d’ailleurs – et puis je me suis dit que c’était trop dommage de gâcher une si belle source d’amusement comme toi. » Si elle l’avait giflé ou même arraché un bras, Neil n’aurait pas eu plus mal que ce jour là. Véritablement épris de cette fille, il eut bien du mal à s’en remettre, et lorsqu’au bout de trois mois sa colère bouillait en lui de façon déraisonnable à l’encontre de chaque blanc qu’il croisait dans la rue, et encore plus envers elle, il mit le feu à la belle décapotable de cette petite salope – qui n’en eut strictement rien à faire, riche comme elle était, cela la fit rire juste un peu plus.
Dès lors, Neil fut vacciné à vie de toute relation, aussi minime soit-elle, avec un blanc, et sa haine prit des proportions irraisonnées envers cette race à la peau plus pale que la sienne.
Ses amis le comprennent et savent qui il est vraiment sous sa carapace de fer : un garçon gentil, compréhensif, amical et joyeux.
Aujourd’hui, il a 17 ans, est en terminale et risque de redoubler s’il continue sur la pente raide qu’il a entreprit de gravir. Ses notes sont au plus bas, ses heures de colles s’amoncèlent, il sèche de plus en plus les cours. Et même ses amis commencent à avoir un peu peur.
{HJ:Avatar pris: Anthony Gallo
Votre âge IRL: C'est pas poli ça dites-moi <<
Code: Imprégnation
(merci ma sœur
)[/center]