Nom : Lecompte
Prénom(s) : Maelys
Age : 17 ans
Lieu de résidence : Quelle importance, mais s'il faut en avoir un, chez mon père, à Forks.
Statut : humain
Classe sociale : moyenne
Famille : Comment décrire ce qui n'a même pas de sens pour elle? Le mot famille semble tellement indescriptible. Tout simplement parce qu'elle n'a jamais eu l'impression d'en avoir une. Sa mère, Isabelle, très peu présente lorsqu'elle vivait en Californie, la laissait faire ce que bon lui semblait. À la mort de cette dernière, son père hérita d'elle comme d'un fardeau. Comme ce dernier est mécanicien, il passe très peu de temps avec elle. Mathieu préfère ne pas se mêler ni même s'embarasser de sa fille. Pour le reste, elle n'a qu'une très vague connaissance des choses. Ses origines? Ça n'a rien d'intéressant. On finira tous par redevenir poussière.
Caractère : D'un tempérament plutôt explosif et associal, Maelys ne se laisse pas approcher facilement. Elle est plutôt timide, réservée et n'aime pas trop parler d'elle et encore moins de son passé. Si on la questionne trop, elle peut devenir un peu agressive. Elle est fougueuse, tête en l'air et rêveuse. Elle peut passer une journée entière à rêvasser. Elle est plutôt renfermée sur elle-même et évite de parler lorsque ce n'est pas nécessaire. Elle n'aime pas s'impliquer auprès des autres, parce qu'elle n'a jamais rien eu en retour. Si on parvient à obtenir sa confiance, elle saura être fidèle à la personne et lui donnera toute sa confiance. Elle est plutôt instable et a peu confiance en elle.
Description physique : Que dire sur son physique. Maelys est une jeune fille au corps frêle, mais possédant tout de même les capacités physiques de se défendre si elle se sent agressée. Elle a de longs cheveux blonds,légèrement bouclés, et les yeux pairs. Ces yeux ont cette caractéristique particulière de changer de couleur selon son humeur. Vert lorsqu'elle est heureuse et se sent bien, gris lorsqu'elle est triste, en colère ou qu'elle se sent menacée. Elle a de belles lèvres fines d'une jolie teinte rosée. Maelys a de longues jambes fines et des yeux légèrement en forme d'amande qui rappellent un peu les yeux des asiatiques.
Loisirs : Loisir? En fait, elle aurait aimé en avoir un. Sans doute sa passion pour le dessin lui permet-elle de se tenir à l'écart des autres. Elle se retire souvent dans un coin pour dessiner, mais mis à part sa passion pour le dessin, elle ne pratique aucun sport. De toute façon, tout ce qui l'amène à être près des autres fait en sorte qu'elle s'éloigne encore plus.
Aime : Maelys aime le silence. Se retrouver seule dans un endroit paisible, la solitude. La nuit est son moment préféré de la journée. Regarder les étoiles lui semble si apaisant. Elle aime s'imaginer bien loin de l'endroit dans lequel elle se trouve, rêvant d'une vie meilleure, ou du moins, tout autre que celle qu'elle possède en ce moment.
N’aime pas : La blonde n'aime pas les foules. Elle s'en tient éloignée le plus qu'elle peut. Lorsqu'elle n'a vraiment pas le choix, elle tente de se fondre dans la masse, tout en restant à l'écart. Elle déteste les gens hypocrites et ceux qui se cachent derrière de faux semblants. Le mensonge lui pue au nez. Elle n'aime pas non plus les babillages inutiles.
L’histoire de votre personnage : Une histoire... parce que c'est tout ce qu'il nous reste lorsqu'il n'y a plus rien à dire... elle demeure les seules traces que nous avons existé, même lorsqu'il n'y aura plus rien sur Terre... notre souvenir ne sera qu'éphémère lorsque la nuit tombera définitivement sur nous.
Premier jour de vie... premier souffle dans une vie qui ne sera jamais sienne...Une erreur. Voilà ce qu'Isabelle n'arrêtait pas de se répéter. Elle avait sans doute fait la plus grosse erreur de sa vie. Mais maintenant, que pouvait-elle bien changer alors qu'elle tenait ce petit poupon dans ses bras qui hurlait à plein poumons? Rien du tout. Elle ne sembla même pas enthousiaste lorsque l'infirmière déposa le bébé dans ses bras. Aucune once n'éclairait son visage. Rien. Le vide absolu. Qu'allait-elle faire avec ce bébé sur les bras? Il était maintenant trop tard pour y penser. Elle aurait pu avorter, on lui avait suggéré d'ailleurs. Mais à quoi bon? Ce petit être n'avait rien fait de mal, si ce n'était que de se trouver au mauvais moment au mauvais endroit. Lorsqu'elle posa ses yeux sur la petite fille, elle comprit au premier regard qu'elle ne serait pas la mère dont elle aurait besoin. Mais maintenant, que pouvait-elle y changer? Elle devrait assumer ce rôle ingrat qu'elle avait toujours refuser de tenir. Celui d'être mère. Elle avait bien appeler le père. Mathieu. Une belle connerie ça aussi! Définitivement, elle devrait apprendre à se contrôler! Si seulement elle n'avait pas autant bu ce soir-là... ça faisait déjà neuf mois. Elle avait peine à se l'imaginer. Il n'avait pas daigné se présenter à l'accouchement, sans doute était-il lui aussi peu intéressé par l'événement que d'autres couples aurait trouvé heureux. Rien de plus normal après tout. Cet enfant n'était pas né d'une union heureuse entre deux humains, mais plutôt d'une rencontre d'un soir dans un bar. Elle aurait pu la faire adopter aussi. Mais vivre avec ça sur sa conscience, elle en aurait été incapable. Elle n'aurait pas le choix, elle s'efforcerait de faire de son mieux. Même si le mieux qu'elle pouvait faire, c'était pas grand chose. Elle poussa un profond soupir et lorsqu'elle baissa les yeux à nouveau sur le poupon, celle-ci dormait profondément dans ses bras à poings fermés. Le soleil se levait à peine en Californie, éclairant la chambre d'hôpital de sa chaleureuse lumière.
Parce que dans la vie, tout s'apprend, tout se jette... nous ne sommes pas grand chose...La petite avait grandi. Isabelle avait peine à s'imaginer qu'elle avait déjà 5 ans et qu'elle faisait son entrée à l'école primaire. La maternelle! Au moins, elle aurait la paix pendant une partie de la journée et le service de garde s'occuperait bien de sa fille pour elle. Après tout, c'était là pour ça. Elle n'offrit même pas un sourire à Maelys lorsque cette dernière entra dans la cuisine vêtue d'une petite robe rose et de son gigantesque sac à dos. De toute façon, la petite semblait s'être habituée à ne recevoir aucune démonstration émotive de la part de sa mère. Avant même son entrée à l'école, elle pouvait s'enfermer des journées entières dans sa chambre, s'installant sur la moquette avec ses crayons de couleurs et de feuilles. Elle pouvait passer la journée à dessiner. Cela était toutefois incompréhensible pour Isabelle, mais elle la laissait faire. Après tout, elle n'avait pas à s'en occuper pendant ce temps. Sans un mot, elle prit la main de Maelys pour aller la reconduire à l'école.
À la fin de cette première journée, l'enseignante de Maelys retint Isabelle un peu plus longtemps que prévu. Cette dernière s'étonna d'ailleurs que Maelys ne démontre aucune joie de retrouver celle qui lui avait donné la vie. Elle parla de ses inquiétudes envers Maelys, le fait que cette dernière ne se mêlait pas aux autres enfants. Isabelle haussa tout simplement les épaules, disant à l'enseignante qu'elle avait toujours été comme ça.
Si tu pleures, je ne pleurerai pas...Enfant, Maelys ne déplaçait pas beaucoup d'air. Elle se contentait de demeurer attentive en classe, mais elle ne se mêlait pas aux autres. Elle n'était pas reconnue pour avoir d'amis et tout ceux qui l'approchaient recevaient le même accueil. Personne n'osait percer la petite bulle qu'elle s'était créée autour d'elle. Et cela convenait parfaitement à la blondinette qui ne cherchait pas à se faire des amis. Elle restait à l'écart des autres, évitant tout contact. C'était mieux ainsi, valait mieux s'y faire.
Alors que la petite venait d'avoir 10 ans, son univers fut chamboulé un journée après l'école alors qu'Isabelle avait oublié de venir la chercher. De toute façon, ses oublis de sa mère arrivaient si fréquemment, qu'elle ne s'en formalisa pas et rentra la maison toute seule. Elle connaissait le chemin, pas la peine de s'en faire pour si peu. Cependant une voiture de police stationnée en avant de chez elle lui serra la poitrine. Un policier parlait avec une de leurs voisines. Et lorsque la voisine vit la petite Maelys, le policier comprit tout de suite que c'était la jeune fille en question. Il lui prit tout simplement la main pour la faire asseoir sur le siège arrière de sa voiture. Maelys ne posa aucune question, ne pleura même pas. Que comprend-on de la mort à 10 ans? Pas grand chose. La seule chose qu'elle savait maintenant, c'est qu'Isabelle ne pourrait plus jamais oublier de venir la chercher à l'école.
Nouvelle vie... peu de changement...La petite débarqua chez son père, Mathieu, à l'âge de 10 ans. Il vint la chercher en Californie et s'étonna du fait qu'elle ne lui parla pendant tout le trajet. Sans doute était-elle bouleversée par ce qui venait de se produire? Bof, c'était normal selon lui. Elle venait de perdre sa mère, qui était sans doute le centre de son univers, pour aller vivre chez un homme qu'elle ne connaissait pas. Il n'était même pas sûre qu'elle connaissait son prénom. Mais bon, pour l'instant, il ne pouvait rien faire, même lui ne savait pas quoi dire à sa fille qu'il rencontrait pour la première fois. Il l'installa chez lui et fut surpris de voir qu'elle ne posait aucune question, aucun mot ne s'échappait de sa bouche. Arrivée chez lui, elle se contenta de s'installer dans la chambre qu'il avait préparé pour elle. Elle prit son sac, sortit des feuilles et des crayons et se mit tout simplement à dessiner. Il la laissa faire, croyant qu'au bout de quelques temps, la situation s'arrangerait.
Le chemin que l'on suit nous dirige vers une mort lente et atroce...Adolescente, rien ne changea pour la jeune fille. Elle parlait peu, mais c'était toujours ça de gagner se disait Mathieu. Elle n'avait toujours pas d'amis, ce qui intriguait ce dernier, mais il n'osait pas en parler avec Maelys. Tous les sujets étaient si difficiles à aborder avec elle. Elle fuyait le moindre sujet de conversation, préférant se terrer dans un mutisme sans fin, si bien que Mathieu la laissa faire. Elle réussissait à l'école, que pouvait-il demander de plus? Qu'elle ait une vie sociale? Il ne pouvait pas la forcer quand même. Il regardait sa fille grandir, mais sans qu'aucun changement de personnalité s'opère en elle. Elle restait toujours aussi fermée et repliée sur elle-même. L'accident l'avait-elle traumatisé à ce point? Il n'était même pas sûre qu'elle connaissait les circonstances de la mort de sa mère, parce que dès qu'il évoquait le sujet avec elle, elle s'éclipsait dans sa chambre ou dans la forêt qui bordait la maison. Il cessa d'insister, après tout, c'était le choix de Maelys, pas le sien.
HJ : Ben, pas grand chose à dire sur moi... enfin. Je suis une fan de la trilogie que mes élèves m'ont fait découvrir. Ouais... j'ai quand même un défaut, je suis enseignante au secondaire... J'adore écrire. Ce n'est pas la première fois que je participe à un forum rpg. L'écriture est une véritable passion pour moi, comme une seconde nature. J'ai besoin de m'évader et de laisser mon esprit vagabonder bien loin de mes soucis à la fin d'une journée de travail surchargée. Mon personnage me ressemble beaucoup. C'est le personnage que j'ai créé qui me ressemble le plus au niveau du caractère. Bref... j'vois pas quoi dire d'autre...
Votre âge IRL (dans la vraie vie) : je suis gênée de le dire, mais....
28 ans... Code : reliques
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Ven 6 Juin - 0:43
mais bon, juste en âge! 
Au plaisir d'un rp 