Démétri Volturi : L'Inssurrectionnel

A whole story

❖ L'HEURE D'ÊTRE UN HEROS
She was arisen.

Monsieur Vasilis : répondez nous !!!

Erasme Vasilis : écoutez !!!

MONSIEUR !

La colossale porte ministérielle se referma sur ces vociférations quasiment bestiales lancés par la nuée de journalistes qui ne demandaient qu'a ce qu'on les considèrent, un temps soit peu. M.Vasilis avait fait son choix. Un journaliste qui avait sût le convaincre à l'aide de quelques vers. L'élu s'appelait Démétri. Démétri Haros.

Venez. Je préfère m'exiler bien loin de ces indomptables animaux qui ne connaissent absolument rien de la situation politique actuelle ainsi que de l'art de la presse. Vous, au moins, vous êtes instruit : vous comprendrez.

Sans prendre garde à son environnement, le reporter notait chaque mot résonnant dans la spacieuse & glaciale pièce où le noble l'avait amené.

La situation est, donc, si désespérée que cela ?

Le vieil homme auquel Démétri s'adressait prit le temps de s'asseoir dans un fauteuil de qualité & de soupirer avant de répondre.

On ne peut même plus dire qu'il s'agit d'une situation, mon cher, c'est une catastrophe ! Pour vous, journaliste, écrivain, poète : vous qui jouissez du bonheur des mots. Il n'en sera bientôt plus le cas en Grèce.

Comment ?

Il imita son aïeul.

La censure ! Un drôle d'événement se prépare au Ministère : la majorité souhaite que la monarchie soit bien plus rude. Ils comptent faire travailler plus & sur une nettement plus longue durée, interdire tous les métiers où l'intellectuel peut se réfugier : dont, le monde de l'écriture. Un changement abonimable s'élabore, mon garçon ! &, si je vous avoue ceci, c'est parce que je suis persuader que vous parviendrez à empêcher cet acte des plus égoïste. Je compte sur vous & uniquement vous. Pas votre équipe. Ni vos proches : vous, Monsieur Démétri Haros.

Le jeune homme acquiesça.

Vous pouvez, Mon Seigneur, vous pouvez.

Le plus âgé se dandina dans son fauteuil.

Bien. Votre mission commence maintenant. Bonne fin de journée.

Démétri se leva &, poliment, fit une gracieuse révérence.

Vous de même, Monsieur.

Il sortit par derrière, échappant ainsi à ses rivaux. Courant, rampant & tournoyant dans les rues d'Athènes : notre envoyé spécial fonçait vers sa petite imprimerie dont il était le seul à en connaître l'existence. Arrivé sur place, il édita sans limite l'article suivant :

Peuple grecque, l'heure est grave. Votre, dit "bon", roi a la ferme intention de vous animaliser ! Sans plus de retenue : je vous expose les faits. Mes sources resteront secrètes & ce : à jamais. Notre monarque réclame la censure, l'esclavage & la suppression d'un certain nombre de métiers ayant tout rapport avec le Savoir ! Honte à lui ! Peuple grecque : j'en appelle à votre réflexion, à votre passion voué à la vie & à vos visions d'un monde meilleur ! Ne laissons pas un homme décider pour des millions d'autres ! Il est temps de devenir libre ! Il est temps que le peuple dirige & décide pour lui-même ! Révoltons nous !

Tâché d'encre noire, Démétri édita autant de fois cet article qu'il le put. Ainsi, fier de lui, il apostropha son associé, Elias, afin qu'il l'aide à départir ses prospectus.

C'est l'heure d'être un héros, mon gars ! Voici la moitié de notre réussite ! Distribue la avec conviction !

Il lui tendit une partie des "mini-journaux" &, armé du reste, s'en alla dans les rues les répandre. D'un naturel charmeur, Démétri arrivait au minimum à confier ses productions aux dames. Jusqu'à ce que ...

Tenez, Messieurs.

Un grand individu arqué & disproportionné se pencha sur lui pour dévoiler une sorte de billet : un policier. Le sang de notre révolutionnaire en herbe ne fit qu'un tour. Il fonça loin de cette grande place, talonné par une dizaine de soldats.

Voyons voir : si je prends à droite ici ... puis à gauche là ...

Ce qu'il fit instantanément. Malheureusement pour lui : il était arrivé en haut d'un édifice, vue plongeante sur le fleuve qui ruisselait environ 20 mètres plus bas.

Merde.

Démétri se tourna : les gendarmes l'encerclaient. Le vieux bonhomme leva un revolver en direction du journaliste.

C'est fini, gamin. Ton intelligence de chiotte : personne n'en veut. Tu essayes de renverser un régime qui marche depuis des siècles ? Pourquoi ? Pour t'affirmer , imbécile ! J'ai pas de temps à perdre avec les sales mômes. Heureux de t'avoir arrêté.

Il appuya sur la gâchette. Le coup partit. La balle vint crécher au beau milieu du tendre coeur de Démétri qui, ayant laissé échapper son âme, chutait la tête la première dans le fleuve. Il était encore vivant. Plus tard, quelqu'un le repêcherait ou plutôt ... quelque chose.

❖ LE LEVE DU PHENIX
She was fallen in love with me.

Un oeil. Puis, l'autre. Enfin, les deux. Ils battent. Ils frémissent. Ils renaissent.

Ouf ! J'ai cru que j'étais intervenue trop tardivement !

Energiquement, Démétri tousse. Il expulse cette eau & ce sang qui l'ont, autrefois, achevé. Une fois relevé, il s'interroge : regardant ses mains, sent l'air frais le friser. Il ne sait plus.

Où sommes nous ?

Devant lui : ce n'est pas une femme mais une déesse qui se tient. Un corps si parfait. Une voix si mélodieuse. Si une si divine créature existe, il n'y avait plus de doute :

Au paradis ?

Ces mots occasionnèrent chez elle un large sourire, assorti avec le son harmonieux de son ricanement. Elle fouillait une armoire avec dynamisme.

Loin de là !

Impatient, il songea sans écouter. Si elle n'était pas un ange alors, pour lui, elle devait représenter l'objet de tous ses désirs donc, son plus grand péché.

En Enfer, dans ce cas ?

La demoiselle leva les yeux au plafond, en l'occurrence, & se positionna juste devant Démétri pour lui prendre les joues & plonger son regard au fin fond du sien.

Vous êtes sur Terre, parmi les mortels.

Elle baissa les yeux, cette fois.

Mais vous n'en êtes plus un ...

Aussitôt, elle virevolta pour échapper aux quelconques réactions de Démétri & reprit ses recherches.

Quel est votre nom ?

Etourdi, il fronça les sourcils & secoua la tête.

Démétri Haros mais

Pas de question : ce n'est pas le moment. Enchantée, je me prénomme Marina. Désormais, tu seras Démétri Volturi. Souviens toi. Tu es un Volturi.

Elle lui lança rapidement un long manteau noir.

Enfile ça & suis moi TOUT DE SUITE !

Son ton avait changé : il laissait entendre une sorte de menace. Obéissant, il revêtit le vêtement & suivi celle qu'il cru vision en silence. Ils arrivèrent dans une grande salle de marbre blanc comme neige. Il n'y avait absolument rien si ce n'est 3 hommes. 3 maîtres. 3 monstres. Marina fit une somptueuse révérence.

Aro. Marcus. Caïus. Je vous présente Démétri. Je l'ai sauvé d'une mort certaine. Il accepte de se joindre à nous.

L'homme au centre se leva & alla embrasser Marina.

Merci. Tu peux nous le laisser.

Une fois encore, Marina les salua. Elle jeta un dernier regard entiché à Démétri & sortit. Celui qui s'était levé s'avança, tête haute, buste bombé, vers le nouveau-né.

Bonjour, Démétri.

Maintenant, il lui tournait autour.

Bonjour.

Il avait un rictus permanent, de quoi avoir la chair de poule sans qu'il ait ouvert la bouche.

Je suis Aro Volturi. & voici Marcus & Caïus Volturi, mes frères. Considère nous comme tes maîtres, dorénavant.

Il lui parlait comme à un bambin qui découvre le monde.

Sais tu ce que tu es devenu ?

Aro regarda la nuque de Démétri : une morsure cicatrisée y apparaissait.

Je suis mort. Je suis actuellement un fantôme.

Afin de se rassurer, Démétri devint froid. Pourtant, Aro pouffa de rire. Un rire forcé bien sûr.

Non. Pas un fantôme mais, tu fait belle & bien partie de l'univers du surnaturel !

Aro inspira.

Tu es un vampire.

Démétri sursauta. Certes, il avait l'esprit ouvert mais, au point de croître à l'existence de monstres. C'était le prendre pour un imbécile.

Soit. Merci & au revoir.

Non-chalemment, il fit demi-tour vers l'entrée, seule issue envisageable. Mais, Aro le rattrapa, le retourna & lui dévoila un visage difforme, monstrueux & cauchemardesque : lui, au moins, c'était certainement un vampire.

Pourquoi t'enfuir ? Nous ne te voulons aucun mal.

Surpris, Démétri se bloqua net. Aro se recula, dépoussiérant son manteau noire.

Marina : apporte lui de quoi boire.

Honteuse, notre vampire apporta une jeune femme, belle, fraîchement cueillie.

Vas y. Elle est à toi.

Boire ... Du sang ... Intérieurement, Démétri se résigna à le faire. Pourtant, il savait
pertinemment que cela ne servirait à rien de lutter. Lutter contre soi-même, lutter contre les autres. Lutter contre le régime. Il l'avait fait toute sa vie. Il n'en pouvait plus : la foi, l'espoir, le courage : que de belles paroles. Sagement, il s'avança vers la femmelette & l'entama pour la finir quelques minutes plus tard.

Bien. Très bien. Quel est le don de ce petit là ?

Mains sur le ventre, doigts entremêlés, elle était soumise à l'autorité d'Aro, comme tous les autres.

Il devine la position géographique de n'importe qui juste en y pensant. Autrement dit, il est fait pour la traque.

Aro prit un air émerveillé : ses frères également. La traque ? Ca aussi, ça le connaissait : traquer des informations, traquer des témoins, traquer & traquer & traquer. Décidément, la vie vampirique en changeait pas plus que la précédente.

Tu seras, donc, notre plus fin garde.

Ainsi, Démétri Haros devint Démétri Volturi, le traqueur le plus qualifié qu'il est jamais été.

❖ LA LIBERTE AIME LA MORT
She died for me.

Dans une prairie, non loin de Volterra, Démétri & Marina s'embrassaient. Cela faisait maintenant 325 ans que le journaliste grecque avait rejoint la famille royale. Entre temps, ils y avaient eu de nouveaux arrivants : Jane & Alec en sont les principaux. Il a aussi eu des histoires d'amours comme Heidi mais : Marina, qui avait toujours eu un faible pour Démétri, lui avait avouer tout en délaissant Aro. Evidemment, notre héros avait répondu affirmativement car, lui aussi l'aimait infiniment. Depuis quelques mois, maintenant, ils projetaient de se marier.
Présentement, allongés dans l'herbe verte, les amoureux se tenaient la main.

Dem' ?

Oui, mon amour ?

J'en ai marre d'être assujettie par Aro & ses frères. Je rêve de démocratie, d'égalité & de liberté.

Délicate comme toujours, elle vint poser sa tête sur le torse de Démétri, des fleurs plein les cheveux.

Pas toi ?

Lui ne rêvait que d'être à ses côtés pour l'éternité. Côté politique : il avait déjà assez donné. & ça lui avait coûté la vie. Chèrement, il caressait cette fastueuse chevelure. Il soupira de bonheur.

Laisse les faire : si cela les amusent de diriger une dizaine de personnes dans un coin perdu.

Offusquée, Marina se mit à porter du visage de Démétri.

Je suis sérieuse. Nous méritons mieux, nous, vampires, que d'être traités comme une bande de paysans tout ce qu'il y a de plus minables ! Nous souffrons continuellement ! Alors, s'il faut en plus subir des lois qui nous indique comment bien souffrir, bien tuer & j'en passe ! Non : c'est invivable ! Avoue le !

Chétive mais, nerveuse. Elle brutalisait le sol de ses poings. Bien qu'elle soit immortelle, Démétri ne pouvait s'empêcher de la protéger, comme si la moindre goutte d'eau pouvait la fracturer. Il saisit minutieusement ces anodines petites mains, en prenant soin de les couver au sein des siennes. Sitôt, elle se calma. Ils se sourirent, comme si leurs âmes, au plus profond d'eux-mêmes, se reconnaissaient.

Maître Aro vous appelle.

Jane. Pris par surprise, ils bondirent pour soupirer en la discernant. Aimante, Marina lui sourit.

Merci, Jane.

Sans réponse : elle était déjà repartie. Main dans la main, il se ruèrent vers la salle de réunion. Aro les y attendaient. Hautain, comme d'habitude, il cheminait vers eux.

Ainsi, Marina, tu souhaites me défier ?

Comment ?!

En temps que soupirant fidèle : il se devait de tout lui dire. Ni secrets, ni mensonges. Mais, apparemment, Marina ne partageait pas cet avis. Cependant, elle savait qu'il réagirait de cette façon. Elle vint, par conséquent, s'agripper au bras de Démétri.

Oui. Je ne te supportes plus Aro. Je ne peux plus rester sous ton autorité si influente qu'on te croirait dictateur. Je ne veux plus te voir : je veux ta mort !

Ces termes mirent Aro hors de lui. Se transformant précipitamment, il se rua sur celle qui fut son bras droit & peut être bien sa compagne. C'était sans compter sur Démétri, qui s'interposa calmement.

Que vous vous défiez, c'est une chose mais, que vous vous battiez s'en est une autre !!!!

Lorsqu' Aro essayait d'atteindre Marina, & pas l'inverse, Démétri la prenait dans ses bras & esquivait. Au bord de la crise de nerfs, le dictateur vampirique appella Jane. Celle-cie usa, sans remords, de son don sur Démétri, qui s'écroula en lui clamant d'arrêter. En vain. Marina ceintura Démétri.

Jane ! Mon enfant ! Je t'en prie ! Ressaisis toi ! Aro se serre de toi comme d'une arme, rien d'autre ! C'est l'heure, Jane, l'heure d'être libre ! L'heure d'être indépendante ! L'heure d'être ! Ne te bat pas du mauvais côté ! Viens avec nous !

Au fur & à mesure qu'elle parlait, de chaudes larmes coulaient, en masse, sur ses joues. Aro se rapprochait. Démétri se retourna : sa tête lui donnait l'impression d'exploser sans cesse.

Non !

Il s'apprêtait à se jeter sur l'autocrate quand Jane renforça la douleur. Agenouillé à côté de Démétri, Marina pleurait toutes les larmes de son corps. Elle courut vers la porte. Au moment où elle allait toucher la poignée, le despote intervint.

D'accord. Tu peux t'en aller, nous nous occuperons de Démétri dans ce cas, n'est ce pas, Jane ?

Plus d'issue possible. Plus de solution possible. Plus une chance de vivre. Plus un miracle à l'horizon. Juste, ce long tunnel noir avec cette lumière, si blanche & si éblouissante, au bout. Aro s'avança vers elle, lentement. Il posa ses mains sur le cou de Marina en le frôlant en tous points. De son poste, Démétri voyait tout.

Sage décision.

Il prit de l'élan. Elle regarda Démétri.

Adieu, mon tendre amant.

Il n'avait presque plus la force de parler.

Non ...

La gifle intervint. La tête de Marina vola à l'autre bout de la salle. Laissant son corps tomber à l'entrée de la pièce : sans vie. A ce moment, la souffrance morale fut si forte que Démétri tomba dans les vampes. Plus tard, il se réveillera. Pas la moindre trace du combat. Aro niera l'existence de Marina, les autres également. Elle ne serra jamais mentionner dans l'histoire des Volturi. Toutefois, Démétri sait qu'elle était là, qu'elle est morte & qu'elle n'a pas eu ce qu'elle méritait. Il retrouvera plus tard le collier qu'elle portait : son seul souvenir. Le cirque des Volturi a reprit son cours. Marina hante toujours les couloirs.

Je te vengerais, je te le jure Marina, je te vengerais.

❖ LA REVOLUTION
I had fought for her.

Depuis une cinquantaine d'années, Démétri ne se maîtrise plus vraiment. Les crises de nerfs font désormais pan de son quotidien. Les 3 frères, ne sachant que faire, l'enferme fréquemment dans les douves. Là, sous terre, isolé de tous, Démétri rêve. Il rêve du paradis où l'attend Marina, où l'attendent ses parents & son frère, où la politique, les règles & les lois sont inconnues. Il divague en toute intimité. Ensuite, rassasié moralement, il reprend ce qu'il aime le plus au monde maintenant : la traque. Jouer de son charme, son don, sa puissance pour attendrir la chair. Rendre service aux 3 "princes" l'histoire de rester vivant. Comme tous ceux qui porte le titre de "Volturi", Démétri est devenu objet, arme & bouclier. Au fil du temps, il devenait froid, distant tout comme Marcus après avoir perdu Didyme. Aro avait été capable de tuer sa soeur & sa compagne alors, abattre un banal vampire. C'est largement à sa hauteur. Autour de Démétri, des couples plus passionnés les uns que les autres se formaient : Heidi & Antoine, Corin & Tisha, Santiago & Laa, ... Le bonheur des autres n'a, pour autant, pas faire sa propre délectation.
C'était un soir de pleine lune, Aro avait enfermé Démétri dans son cachot. Adossé au grossier mur de pierre qui délimitait le périmètre, il admirait la pureté de la flamme qui vacillait face à lui. Le portrait barbouillé de sang humain, il cogitait. Soudain, la cloison qui le séparait de toutes formes de vie capitula. Un jeune vampire l'escalada en braillant :

C'est la Révolution !

Impossible. Inconcevable. Irréalisable. Démétri resta là avec sa flamme sans prendre plus de déférence envers son libérateur qui vint lui prendre la main.

Viens te battre ! Tu seras libre après !

Mélancolique, Démétri leva les yeux vers ceux du garçon. Sans plus de geste. Ils dialoguèrent avec pour seul moyen de communication la vision. Ainsi, Démétri décida de suivre le petit rebelle jusque dans la grande salle. Là, tous se battaient. D'un côté, Aro, Jane, Alec & Caïus à terre. De l'autre, Santiago, Marcus, Heidi, Corin, Antoine & 3 nouvelles têtes : Stefan, Vladimir & Illyria. Le sol n'était plus qu'une marre sanguine.

Démétri ! Ô, mon vaillant Démétri ! Aides moi !

Aro LE supliait ?

Ne l'écoute pas, Démétri !

Santiago, ancien ami de Marina.

Pendant toutes ces années, il t'as berné, affamé, apeuré & mal traité ! Rappelle toi ! Marina ! Ta tendre Marina ! N'est ce pas lui qui l'a tuer ? N'est ce pas ce qu'elle aurait toujours voulu ? La liberté ? Ta liberté ?

Ces mots allèrent droit au coeur de Démétri. Santiago avait totalement raison : un goujat. Un idiot. Un égoïste. Un monstre : voilà ce qu'était Aro.

Je te jure que tu auras tout ce que tu souhaites !

Aro le tenait par les épaules.

Viens mon grand.

Furtivemment, la haine monta en Démétri.

Plutôt crever la bouche ouverte.

Il tremblait de rage, d'effroi & de colère envers ce démon. Il s'élança sur lui comme un fauve sur sa proie mais, Jane intervint. Ainsi, la bataille reprit. Aro & sa bande s'enfuir. Les Révolutionnaires l'emportèrent.

❖ UN NOUVEAU DEPART
She's coming back for me.

La bataille révolue, Santiago lui proposa une condition au pouvoir judiciaire de la Démocratie. Démétri l'agréa. Ainsi, ceux qui l'avaient ambitionné, comme Santiago, les autres & ... Marina, l'obtinrent : leur République Vampirique.
Les années filent. Démétri est, à nouveau, journaliste. Il demeure à Rome, le siège social du gouvernement dont il fait désormais partie. Un jour de grand Soleil, il s'en allait pour une réunion général du Conseil Judiciaire. Une jeune femme passa &, nom de Dieu : elle ne pouvait être que Marina ! Pris au dépourvu, il se précipita dessus :

Marina : c'est bien toi ?!

La femme virevolta. Le souffle de Démétri se coupa. Le temps s'arrêta.

La suite par RP : qui sera l'Elue ?

Behind the screen

Ton p'tit nom (ou surnom ou pseudo) : Rose
Comment t'as connu le forum ? J'ai cherché.
Pourquoi ce forum et pas un autre, dis ? Je sèche
Et c'est quoi le code ? Ok / Edit Skel' ( pour varier )
Avant qu'on se quitte (ou qu'on se trouve ! \o/) tu veux rajouter un petit mot ? Allons enfants de la Démocratieuuu ... Non, c'est bon