Ellundril Volturi

Invité

Nom :
Volturi
Prénom(s) :
Ellundril
Age :
J’ai 19 ans officiellement, mais 89 officieusement, si vous voyez ce que je veux dire…
Lieu de résidence :
Je n’ai pas vraiment de résidence pour le moment, vous comprendrez plus tard…
Statut :
Je suis vampiresse, étonnant hein ?!!
Classe sociale :
Ma famille est très riche, mais bon, j’ai préférais une autre vie, et je ne dépends plus deux, pour le moment, ma situation est assez… précaire.
Famille :
Je suis issue de la très célèbre famille des Volturi, vivant en Italie, plus précisément dans la ville de Volterra, mais malgré toutes ces indications, je vous déconseille vivement d’aller y faire un tour, enfin, ce n’est que mon avis… Bref, les fondateurs de ma famille, comme s’il fallait encore les énumérer, sont Aro, Marcus et Caïus et ils sont bien entendus toujours vivants et cela depuis des millénaires. Ce sont les « gardiens » du secret des vampires et ils font en sorte que les quelques règles que comporte ce rang soient respectées. Ces vampires n’adoptent évidemment pas un régime strict qui leur permettrait de vivre avec des humains sans les manger, mais laissent libre court à leur soif, en se faisant livrer leur « nourriture » des villes avoisinantes. Ceci dit, vous pouvez entendre ce que je viens de réciter dans n’importe quelle bouche aux dents acérés, mais pour ma part, je ne peux m’empêcher d’ajouter qu’on ne choisit pas ses ancêtres, ce qui est bien dommage…
Caractère :
Il m’est assez difficile de décrire mon caractère, peut-être parce qu’il change tout le temps, selon l’endroit où je me situe, le contexte et les personnes qui sont avec moi. Explications : je vis, enfin jusqu’à hier, avec le reste de ma famille à Volterra. Dans ce milieu, la réputation de Aro, Caïus et Marcus – respectivement mes deux oncles et mon… disons, père – effaçait aux yeux des autres ma véritable personnalité. J’étais toujours calme et posée, l’air songeuse et assez ennuyée, enfin, c’est ce que je m’efforçais de paraître… En réalité, je fais de la suractivité, j’ai beaucoup trop d’énergie, et je suis obligée de voler en douce des calmant dans les pharmacies humaines. Si mon père apprenait ça, il en aurait une crise cardiaque, après toutes ces années il est devenu si fragile. Enfin bref, ne nous aventurons pas, derrière mes airs de filles sage et servante, je suis en réalité bien têtu, j’ai un fort caractère, je suis franche et assez loufoque, je dois l’admettre. Je n’ai jamais connu le grand amour, mais il ne me semble pas être romantique, je suppose que lorsque j’aimerai quelqu’un, même à ce moment là, je ne pourrais retenir quelques sarcasmes et commentaire dont j’ai le secret !^^
Description physique :
Cette partie là, je ne l’aime pas, car ça me rappelle à quel point j’ai changée depuis que Marcus m’a transformée, mais bon, je me doute bien que pour vous, elle est essentiel, alors, je vais faire un effort… Par où commencer, mon visage ? Il a une forme plutôt ovale et un teint, très pâle, comme vous pouvez vous en douter, toutefois, j’avoue que j’ai assez mal supporter ma… renaissance et je me suis toujours battue pour avoir l’air totalement, humaine, enfin, presque… Je m’efforce donc à appliquer une bonne couche de fond de teint et d’autobronzant sur les partie visible de mon corps, il a donc l’air parfaitement humain. Avant, j’avais de beau yeux verts attirants et soulignant ma malignité et ma joie de vivre dans mon regard, maintenant, ses yeux sont d’une étrange couleur or, devenant sombre avec une légère teinte bordeaux lorsque je suis assoiffée. J’ai des pommettes plutôt saillantes et des lèvres pulpeuses, ma transformation m’ayant donné beaucoup de charme et de beauté. J’ai de longs cheveux dorée et ondulée qui m’arrivent à mon mi-dos et que je laisse libre le plus souvent, un corps élancé et une fine silhouette. Je m’efforce à m’habiller selon la mode des jeunes du moment, guidée par cette volonté de fer de me fondre dans le commun des mortels.
Loisirs :
Voyons, je suis une vampiresse, mes activités physiques ne vont sûrement pas vous apprendre grand-chose de nouveau mais bon, c’est reparti pour quelques lignes… Je jouais en Italie au baseball en grande partie, comme vous vous en doutiez sûrement, et pour cela, nous nous rendions en Sicile, petite île d’Italie où nous avions notre propre terrain. L’avantage, et bien le seul pour moi, d’appartenir à une famille si riche est qu’elle a achetée toutes les surfaces alentours, nous pouvions donc y jouer quand l’envie en prenait mes oncles, ce n’était pas moi qui décidait c’était couru d’avance, sans risquer d’éveiller le moindre soupçon. Malheureusement, mes oncles et mon père étaient assez prit par leur… obligations dirons-nous. Aimant particulièrement le sport, et ayant réussi à me trouver des amis avec qui je pouvais être réellement moi et qui partageaient ma passion, nous nous miment à pratiquer le sport local, pour ne pas dire le foot. Je filai en douce lors es réception qu’organisait mon père et rejoignit les autres pou des matchs comme je les aimaient, où nous oublions le temps de quelques buts nos peines et nos soucis, se consacrant entièrement à l’envie de se délecter de ce moment de pur plaisir.
Aime :
Comme mentionner ci-dessus, j’aime le sport, en particulier le baseball et le foot. Je me suis essayée à la danse, mais lorsque l’on tourbillonne si vite, on ne voit pas vraiment ce qu’on fait, et ça gâche le spectacle, j’ai rapidement zappée. Mais il y a peu, j’ai fait la découverte d’Internet. Ca m’a vraiment étonnée e découvrir qu’a l’aide d’une machine pas plus grande qu’un cahier et d’un modem, on pouvait faire autant de chose ! J’étais en Italie, et je pouvais parler avec des cousins en Norvège, certes la communication était assez difficile étant donné le barrage de la langue mais, bon, avec une Webcam et un dictionnaire en ligne, on pouvait faire des merveilles ! J’ai aussi pu dénicher toutes les informations que je souhaitais sur n’importe qui et n’importe quoi dans le monde entier, c’était vraiment surprenant ! J’aime aussi rester en compagnie de mes amis, ceux avec qui je n’ai pas besoin de feindre un comportement modèle, ceux avec qui je ris franchement, j’apprends des choses et je passe de bons moments. L’Amitié est pour moi l’une des choses les plus importantes d’une vie, c’est un cadeau...
N’aime pas :
La première chose qui me vient instantanément à l’esprit est que je n’aime pas avoir soif. Ca peux vous sembler bizarre, mais je n’ai jamais voulu être vampire, j’aurais d’ailleurs dû mourir, et tout comme pour le fond de teint et l’autobronzant, je fais en sorte de ne pas trop penser à ce que je suis réellement, ce qui, avec une famille comme la mienne est plus facile à dire qu’à faire. Avoir soif le rappelle ce que je suis devenue, ce qui m’attriste au plus haut point. J’aurais préférée mourir, mais je n’été pas maître de mon destin. Effectivement, je n’aime pas ma « famille » les Volturi sont des personnages repoussants et sadique, dont leur seul désir est de se rassasier sou les hurlement terrifiés de leurs « nourritures ». J’ai moi-même failli faire partie du buffet, en tant qu’encas, et je peux vous assurer que c’était la journée la plus épouvantable et inhumaine que j’ai jamais vécus. Et depuis m’a transformation, j’ai toujours répugnée à boire du sang humain, mais lorsqu’on s’appelle Volturi, on n’a pas vraiment le choix, s’il y a quelque chose dont j’aimerai me repentir, c’est bien d’y avoir goûter, certes on m’y avait obligée, mais je suis coupable, cela ne fait aucun doute, c’est bien des lèvres qui ont aspirée le sang, pas les serviteurs de mon père qui surveillaient que je ne renie rien...

Invité

L’histoire de votre personnage :
Je suis née en 1918, l’année de naissance du fascisme en Italie, comme qui dirait, ou encore la fin de la première guerre mondiale. Je ne garde pas de souvenirs très nets de cette époque. Je me souviens juste que je vivais dans une petite ferme dans le Nord avec mes parents, et mes deux grands frères. Je grandis donc dans une famille de fermiers pauvres dont la vie était mouvementée par la peur d’une guerre nouvelle, peur qui se répercuta en réalité en 1939. Mais j’y reviendrais plus tard.

Dès Septembre 1937, mes parents parlèrent d’un possible déménagement, en ce temps là, Mussolini s’était allié à l’Allemagne et mes parents, craignant une attaque française voulurent s’éloigner de la frontière. Nous partîmes réellement en novembre, lorsque Mussolini donna le feu vert à Hitler pour l’Anschluss. Nous prîmes juste le stricte minimum, déjà que nos n’avions pas grand-chose et nous nous mîmes en quête du Sud.

Après une longue journée et une longue nuit à charrette, mes parents décidèrent une pause à Toscane. Grossière erreur, Toscane abritait effectivement la ville de Volterra mais à l’époque, je ne connaissais pas l’existence des vampires, et mes parents non plus ! Bref, mes frères et moi partîmes pour visiter un peu les lieux, histoire de se dégourdir les jambes. Lorsque nous revînmes, un spectacle effroyable nous attendait...

La charrette et tout ce qu’elle contenait étaient complètement décomposés, mes nos yeux n’avaient d’attention que pour nos parents, enfin, ce qu’il en restait. Leurs silhouettes gisaient sur le sol boueux à moins de cinq mètres de nous, deux formes méconnaissables se détachaient de l’ombre, ayant chacun un bras de nos parents dans la gueule, et semblaient se régaler. J’avançai d’un pas vers eux. Un bras tremblant me retint.

¤Enzo, mon frère~Ellun, non, c’est... c’est trop tard, partons, je... je crois qu’ils ne nous ont pas... pas vus.

Enzo était, si ma mémoire n’est pas trop défaillante, celui qui a toujours eu le plus de sang froid, Nilo, li, était complètement pétrifié, la bouche bée, le regard prit d’une peur considérable. Moi, j’étais la petite rebelle, et je me battais mieux que n’importe qui d’autre dans notre ancien village, j’ai toujours été une battante, et j’avais bien l’intention de venger mes parents. Qui qu’ils étaient, ils allaient regretter d’être nés.

¤Moi~Je n’irai nulle part, pas avant d’en avoir finit avec eux, répondis-je d’un ton ferme, sortant soudain un poignard antérieurement suspendu à ma ceinture.

¤Enzo~C’est de la folie ! Tu ne viendras jamais à bout de ces assassins !

A cet instant, un frôlement attira mon attention, je tournai vivement la tête. Un des hommes qui se trouvaient là-bas une fraction de seconde plus tôt retenait maintenant mon pauvre frère en le bloquant de ses bras, ses dents luisantes à la lumière du crépuscule. Sans réfléchir, je plantai mon poignard dans la gorge du monstre. Enfin, c’est ce que j’avais voulu faire, mais mon poignard heurta juste le vide. Un rire retentit.

¤Le vampire~Ha, ha, ha ! Tu penses venir à bout de moi !

Un instant plus tard je l’entendis murmurer à mon oreille, mon corps entier était tendu, comment arrivait-il à se déplacer si vite ! Qui était-il ?!!

¤Le vampire~En trois mille ans, personne n’a jamais réussit à me faire la moindre écorchure, et saches...

Je ne lui laissai pas le temps de finir sa phrase, je frappai sa cuisse de mon poignard en y mettant toute ma force, il ne fallait jamais m’approcher de si près... Il hurla, et la seconde plus tard je me retrouvai prisonnières de ses doigts griffus, ses cross à dix centimètres de ma gorge, la respiration haletante, j’eu le temps de prononcer quatre mots, avant de perdre conscience...

¤Moi~Je t’ai eu...

A l’instant où tout commençait à se brouiller, j’entendis alors une autre voix, et ce qu’elle dit me fit étrangement plus peur que la mort elle-même.

¤L’autre vampire~Lâche-là, immédiatement, ne la mangeons pas, transformons-la, elle est bien trop spéciale, tu l’a dit toi-même, personne n’avais réussit à t’avoir, avant elle, Aro, obéit !

Je m’éveillai dans une pièce humide et sombre. Je me levai, une chaîne tinta. J’étais retenue par le pied, mais elle était assez grande pour me permettre de faire quelques pas. Je me trouvai sûrement dans un cachot, j’essayai de me relever. Un douleur inimaginable de me déchira la gorge dès que j’eux feins de bouger la tête. Du feu, c’était du feu ! On était en train de me brûler, c’était atroce, plus que je pouvais le supporter. Personne vint m’apporter de l’eau bien que j’aux crié à m’en arracher les cordes vocales...

Je ne sais combien de temps s’écoula lorsqu’ enfin j’entendis un bruit, on ouvrit un trou tel une boîte aux lettres et jeta quelque chose au tons rougeâtre puis la boîte aux lettres se referma brutalement et des clefs tintèrent. Je me ruai ver la porte, criant à l’aide de toutes mes forces, mais personne ne répondit. Mes yeux tombèrent sur le morceau de viande fraîche et je l’engloutis d’instinct, mes dents, arrachant la viande crue tandis que mon autre moi me criai d’arrêter, que c’était inhumain, mais lorsque je mangeai, je ne brûlai plus !

Trois jours passèrent ainsi, la viande apaisant le feu, trois jours affreux, avant que quelqu’un ne daigne enfin à entrer dans le cachot. Je reconnu avec effroi la voix de l’inconnu qui m’avait... sauvé.

¤Le deuxième Vampire~Tu as eu de la chance, beaucoup de chance que je sois arrivée à temps...

¤Moi~Epargniez votre salive si c’est pour me dire des choses pareil, j’aurais préférer mourir plutôt que de vivre ce que j’ai vécu espèce de monstre !

¤Le deuxième Vampire~Appelle-moi plutôt Marcus, et ne m’interromps pas, si tu veux des explication.

Des explications, j’en voulais, et je décidai de ne pas parler, je n’avais pas l’intention de pourrir ici ! Mais se retenir avec ce qu’il avait à dire fut vraiment éprouvant !

¤Marcus~Bien, commençons par le commencement, je suis un sang-froid, ou comme tu les appelle, un vampire. Lorsque tu nous as vu, nous étions assoiffés, et nous buvions tes parents. Je n’ai pas l’intention de te cacher quoi que ce soit, même si ça risque de t’effrayer de plus en plu, alors avale ta salive ! L’autre, c’était Aro, et il en aurait vite finit avec toi si je ne l’avais pas arrêter. J’ai sentit quelque chose qui m’a étonnée chez toi, quelqu’un ‘autre se serai enfui devant se spectacle, mais toi tu es restée, et tu voulais venger tes parents si j’ai bien compris et même lorsque tu t’es rendu compte que tu ne pouvais rien contre nous, seul ce désir compter encore, tu n’avais pas peur de mourir, tu ne nous a pas suppliés comme le fond les autres, non. Je n’arrive pas à expliquer cela, il semblerait que tu avais perdue l’envie de vivre depuis que tu as vus tes parents. Ton instinct de survie s’est évaporé dès lors... Ca fait longtemps que je recherchais une fille, et comme tu m’intriguais, je t’ai transformée.

¤Moi~Je ne serai jamais votre fille ! Vous m’entendez ? Jamais !

¤Marcus~Il est trop tard maintenant, regarde ce que tu es devenues, tu est comme nous maintenant, ta transformation est achevée, je t’ai donnée une nouvelle vie.

Au bout de plusieurs autres jours au cachot, je finis par capituler, et je vécus dans le brouillard de nombreuses années, attendant patiemment le moment propice pour m’évader. Mon attente fut de longue durée, car Marcus me faisait surveiller et ses acolytes ne me quittaient pas. Je dû mon évasion à un coup de chance, et je la dois à quelqu’un, Edward Cullen. Lorsqu’il s’est mit en tête de s’afficher au soleil, mes « surveillants » furent interpellés par une famille qui leur dit qu’Edward semblait se disputer avec des gardes.

Durant toutes ces années de mensonges, j’avais réussis à gagner plus ou moins leur confiance, et un sourire éclatant, leur promettant que je ne m’éloignerai pas vint à bout de leurs hésitations, ils se dirigèrent ers Edward. Lorsqu’ils revinrent quelques minutes plus tard, j’avais réussis à me fondre dans la foule, et j’avais courus. J’ai volé une voiture et je me suis enfui de la ville à vive allure. Je devais aller le plus loin possible, je savais qu’échapper à mes ancêtres allé être très difficile.

Il me fallait déjà quitter le pays. Je prit par le Nord et traversai l’Italie et la France en deux jours. Ca m’a prit autant de temps car je devais sans cesse changer de voitures et de vêtements en les volant pour brouiller les pistes. J’arrivai enfin à Calais et traversai La Manche à la nage, ce qui est assez fréquent. Il me fallut juste quelques heures pour parvenir en Angleterre, et quelques minutes pour prendre une voiture. Je roulai longtemps, me demandant où je pourrais bien aller.

Je me souvins d’Edward, Caïus parlait souvent de son père, Carlisle Cullen. Il disait que leur famille adoptait un régime strict qui leur permettait de ne pas manger des humains, et qu’ils arrivaient ainsi à se fondre dans leur environnement. Le rêve ! Mon rêve ! Réussir à vivre comme si j’étais humaine. C’était trop tentant, et je me suis laissée aller à la tentation... Je conduisis vers l’Aéroport et une fois arrivée, je me glissai sans peine dans l’avion.

Lorsqu’on se déplace aussi vite, aucun contrôleur n’a le temps de vous voir, ce qui était très bien. Je passai mon vole à changer de classe, évitant à maximum de me faire remarquer, mon vole se rendait à Washington. Il me suffit de voler une voiture – je commençai à en être habituée – puis je me rendit à Seattle, ne sachant pas précisément où les Cullen habitaient. Maintenant je hante les alentours, espérant trouver quelques informations qui me mettraient sur leurs pistes...
HJ :Votre âge IRL : 14 ans, pour vous servir^^

Invité

Hey hey ! Bienvenue à toi ! ^^

Ouai Ouai, première à répondre !

Invité

Bienvenue à toi!

Voilà je viens tout juste de lire entièrement ta fiche, je te félicite tu écris admirablement bien et ton histoire est vraiment originale..

Donc normalement le forum n'accepte plus les vampires, et j'hésite vraiment d'un côté ta fiche est superbe mais de l'autre nous avions clairement précisé que le groupe était fermé..

Je vais dire que tu es le dernier vampire que l'on accepte (je ne parles pas bien sur des fiches qui sont en attente.. ) voilà tu es acceptée!

Bon jeu et encore bienvenue!

Invité

Bienvenue ^^

Je ne suis plus la seule à venir de Volerra ^^ Héhé...

Invité

Merci de voitre accueil!^^

Et merci d'avoir accepté que je sois vampire^^
wub

Invité

Bienvenue!!!!!!!!

Wahou ! Très belle fiche, effectivement ! mr g

Heu... j'oublie le principale : Bienvenue ! ^^

Bref, je n'ai rien à dire, de toutes manières ta fiche est déjà validée, donc je me contenterai de montrer mon approbation What a Face

Invité

MERCI ^^