David Loenhzen

Nom : Loenhzen

Prénom : David

Age : 18 ans

Lieu de résidence : Un minuscule studio dans Seattle.

Classe sociale : pauvre depuis peu, : sa famille était très riche.

Famille : Son père : Mickaël
Sa mère : Joan
Sa soeur : Rebecca.
Tout ce beau monde vis à Phoenix, et ignore actuellement sa position géographique, ce qu'il trouve très bien.

Caractère : David a toujours eut un caractère considéré comme étrange. Enfant, il disait toujours s'ennuyer, mais restait à l'écart des autres enfants. Ses parents ne comprirent jamais qu'il ne voulais pas comme compagnons de jeu ceux choisis par ses parents, mais ceux qu'il choisirais lui-même. Toujours assez réservé, il jouais souvent dans son coin.
Adolescent, il n'a jamais vraiment changé. La fortune de ses parents ne l'intéresse pas, et il affiche toujours un air assez blasé. Personne ne voit, de l'extérieur, à quel point la vie le déprime. Il est toujours silencieux, dressant un mur entre lui et la réalité. Il est assez généreux, gentil, mais ça, seule sa soeur et ses copains le voient. Il n'aime pas la violence, mais n'a pas peur du sang et de la douleur, ce qui le différencie de ses parents, encore une fois. On pourrais facilement le qualifier comme romantique, car c'est le mot qui viendrais le plus simplement à l'esprit de quiconque le connaissant. Il est très ordonné, ce qui laissa toujours perplexe sa famille, qui avait de nombreux domestiques. Néanmoins, l'explication est plus que claire : il ne veut pas qu'on touche à ses affaires. Il est aussi très affectueux avec ceux qu'il aime, car il a très peur d'être délaissé ou abandonné, par ceux qu'il aime, en raison de son passé.

Description physique : David est ce qu'on pourrais appeler "mignon". Il a une taille moyenne, est très mince, des cheveux chatains assez longs, et des magnifiques yeux saphirs, seul cadeau de sa mère. Malgré le fait qu'il ai passé toute sa vie dans une ville ensoleillée, il est aussi bronzé que si il n'avais jamais vu le soleil. Il aime bien se dire que c'est parce que sa vie n'a jamais eut d'éclat. Il a des mains très fines, mais n'a jamais joué de piano, ou d'un quelquonque instrument. Il les aimes moyennement, car ses premiers vrais amis disaient que c'était des mains d'aristo. Mais comme elles sont très blanches et fines, ça ca bien avec son style vestimentaire, alors en fin de compte, il ne sais plus quoi penser....
David aime bien s'habiller selon le principe OIP (Old Indian Punk), même si ce style est plus féminin que masculin. On le trouve souvent en train de rêver en pleine rue, une clope au coin des lèvres, en costard SANS cravate, avec un bracelet à piques – qu'il adore – et une tresse en cuir à l'autre poignet. Inutile de préciser que sa mère n'a jamais accepté son style vestimentaire. Il a trois piercings à l'oreille gauche – une tête de mort au lobe, et deux anneaux dans le cartilage – et un dans le lobe de l'oreille droite, le plus souvent un anneau de 3cm de diamètre, orné de plumes.

Loisirs : C'est bien simple....David n'en a pas. Il n'aime pas lire, mais il n'aime pas le sport. Il est plutôt travailleur, et aime bien rêver quand il a du temps libre, recréant le monde à sa façon, et inventant des histoires loufoques. Néanmoins, il n'a jamais assez de temps libre pour ça, et il passe son temps à dormir, manger, et travailler. Il pourrais sûrement faire succès en écrivant des romans, mais il n'aime ni lire ni écrire, alors la question est réglée ! Avant, il aimais bien trainer dans la rue, mais maintenant...maintenant, il n'a plus personne avec qui trainer T^T

Aime : Qu'est-ce qu'il aime ? Peu de choses. Il a toujours l'impression que la vie ne sert à rien. Il aime 3 styles de musiques : Ancienne (genre "quadrille"), amérindienne, et Punk (en gros "OIP seulement ^^). Il aime Rebecca, sa petite soeur, Mary, même si désormais, il ignore où elle se trouve, fumer, quand un mec lui dit qu'il l'aime (l'est romantique >_<"), et quand on lui demande du feu, mais même lui ignore pourquoi, dans ces moments là, il est à deux doigts d'éclater de rire....

N'aime pas : Ses parents (heureusement, maintenant il n'est plus avec eux), les mecs machos qui se foutent de sa gueule parce qu'il n'est pas comme eux, la violence et la méchanceté gratuite. Il n'aime pas non plus les filles qui, en le voyant, disent à leurs amies que "c'est toujours les beaux mecs qui sont pris, ou gays". Il meurt d'envie de leur clouer le bec, mais elles ont toujours un mec qui les protèges dans l'espoir de pouvoir les séduires, alors il est contraint au silence.
Et, plus que tout, il déteste l'intolérance.

[a suivre]

Histoire de votre personnage :


Il était une fois une jeune adolescente. Elle était toujours partagée, rêvant souvent de choses inaccessibles.
Elle ne savait pas exactement ce qu'elle était, et, d'après elle, elle ne le saurais jamais.
Elle avait toujours admiré la beauté des femmes de la renaissance, au teint de neige, aux vêtements en qui tout évoquait le mystère. Mais elle était trop féministe pour apprécier réelement ce style.
Elle était passionée par la culture amérindienne, mais, réaliste, elle savait que ce monde ne serait jamais le sien.
Elle adorait tout ce qui se rapportait au Punk, mais elle ne tenait pas particulièrement à se faire arrêter par les flics pour quelque chose qu'elle n'avait pas fait, le métier qu'elle envisageait n'était pas compatible avec le mot "casier judiciaire".
Un jour de DN (Déprime Nationale), où elle s'emmerdait joyeusement dans la Serap, elle se rappella des mots que prononca celle dont le nom d'origine était Marie, et qui devint par la suite "Lleima" : Si tu n'as que deux chemins, qui ne te plaisent pas, fonce dans les broussailles, et crée celui qui te convient.

Elle décida de foncer dans les broussailles, et créa le monde qui était le sien. Ce monde en trois mots....
Old
Indian
Punk

Tout à commencé il y a des années. Mickaël Loenhzen obtint, après de brillantes études, un poste dans une banque. Doté d'un charisme à en faire pleurer un politicien, il monta très rapidement les échelons, se retrouvant à la tête de toute une banque, et d'une entreprise qu'il avait acheté à bas prix, et qu'il avait relancé.
Un jour, dans une soirée qu'il avait organisée chez lui, il fit la rencontre de Mlle de Beauven, une jeune fille magnifique, française, enfant d'un ministre. Elle avait des cheveux blonds, des boucles à l'anglaise, et les plus magnifiques yeux qu'il aie jamais vu : deux saphirs, qui vous hypnotisait. Joan de Beauven était d'une grâce exquise : chaque geste d'elle était exécuté avec une élégance sans égale, que ce soie dans sa façon de boire, de marcher, de sourire, de fermer les yeux ou de saluer quelqu'un.
Comme hypnotisé, Mickaël s'approcha, s'inclina le plus bas possible, et lui demanda de lui accorder une danse.
La jeune fille lui sourit, et pris la main qu'il lui tendais.
« Vous n'avez pas besoin d'être si obligeant, nous ne sommes plus en pleine Renaissance. Je suis très touchée de cette attention, mais je ne sais pas très bien danser...
- Je suis sûr que vous dansez à merveille. » Répondit Mr Loenhzen.
Et il ne se trompais pas : En effet, Joan dansait très bien, car son père l'avait inscrit à des cours depuis toute petite. Joan, de quatre ans plus jeune que Mickaël, savait quel effet elle faisait aux hommes, et s'était attendue depuis que sa famille avait été invitée à la soirée, à ce que ce Mr Loenhzen, dont son père parlait tant, et qui était un bon parti, lui fasse des avances. Elle rêvais de bals, de fête, et de modernité : elle désirais tout ce qu'il y avait de plus sophistiqué, de plus beau, de plus cher pour elle. Elle était venue ici avec l'espoir que Mr Loenhzen la remarque, mais, étrangement, tomba amoureuse de cet homme, qu'elle connaissait à peine.
Trois mois plus tard, Mickaël Loenhzen demandait Joan en mariage, pour le plus grand bonheur de celle-ci, qui gagnais ainsi argent et amour.
Le mariage fut grandiose, et la mariée était simplement magnifique : la perfection faite femme. Elle était radieuse, avec sa robe blanche, sa couronne de fleurs d'oranger, et ses magnifiques yeux saphirs.

David Loenhzen naquit exactement neufs mois plus tard. Lorsque Joan réalisa qu'elle était enceinte, elle voulut tout de suite avorter, mais Mickaël Loenhzen voulais un héritier, de préférence un homme. Il la consola, lui jura qu'il l'aimerais toujours, et achetta une maison à la campagne pour lui remonter le moral. Joan céda.
« Félicitation, Madame, lui fit une jeune infirmière. C'est un très joli bébé. »
Elle lui tendit un paquet, contenant un minuscule être, rose, et vulnérable. Joan avait envie de vomir : il ne ressemblait à rien du tout ! Comment cette bonne femme pouvait dire qu'il était joli ?
La première chose que fit la femme en sortant de l'hôpital fut de chercher une nourice : elle en trouva une, qui venait d'accoucher d'une petite fille. Mais la nourice en question venait ici juste parce qu'elle n'avait pas les moyens, et s'occupais plus de sa fille que du petit garçon. Lorsqu'il fut sevré, on le laissait généralement seul dans sa chambre, sauf pour le nourrir ou le manger. Joan renvoya la bonne, qui ne servait plus à rien.
David devint ce qu'on appelle un « enfant du placard » (nan, j'vous jure que ça existe, pas taper ! XD) : à 3 ans, si quelqu'un lui montrait un objet du doigt, il regardais le doigt, et pas l'objet, tel un enfant en bas-âge. Ce qui arrive inévitablement lorsque les parents enferment leur enfant seul dans une pièce « pour qu'il ne lui arrive rien » lorsqu'ils s'absentent.
Ce problème se régla très simplement : une servante de Mr Loenhzen passait près de la porte de la chambre de Daniel lorsqu'elle entendit pleurer. Elle savait que le couple avait un enfant, mais elle pensait qu'il était avec quelqu'un pendant la journée. Elle passa son chemin; et déposa le linge propre qu'elle transportait dans une salle. Elle retourna prendre l'autre partie du linge sec, et s'étonna d'entendre encore crier. En revenant avec le linge, elle s'arrêta : qu'est-ce qu'il avait ? Elle entra, pour proposer à la personne qui s'occupait du bébé si elle avait besoin d'aide. Elle fut stupéfaite de voir que le bébé était seul, et qu'il n'y avait aucune trace prouvant la présence d'une personne s'occupant de lui. Elle se pencha vers l'enfant, et lui demanda ce qu'il avait. L'enfant, agé de trois ans, ne compris pas. La jeune fille hésita un moment, puis pris le bébé dans ses bras. Cela suffit pour qu'il se calme. Elle sourit, et garda David contre elle, tirant la corbeille de linge avec sa main libre.
Elle déposa le linge avec le reste, et descendit en cuisine, avec l'enfant. Un cuisinier se retourna, et, voyant le garçon dans ses bras, lui demanda :
« Mais....ce n'est pas le petit David, l'enfant de Madame ?
- Si, c'est lui.
- Qu'est-ce que tu fait avec lui, Mary ? Monsieur en a eut marre de toi, et t'a reléguée au rôle de nounou ?
- Non, mais c'est simple : je viens de découvrir que ce gosse n'en a pas. Il a trois ans, et semble ne même pas comprendre un seul mot d'anglais. Tu n'as pas un truc à lui donner ?
Une jeune cuisinière, Julia, descendit les escaliers à ce moment précis.
- John, le mioche a disparut de sa chambre, il...Mary, qu'est-ce que tu fait ici avec l'enfant des Loenhzen ? Je doit lui donner son biberon, moi !
Au mot biberon, David se retourna. Mary se retint de la gifler, et serra le petit garçon contre sa poitrine.
- Tu savais ? Tu t'occupais de le nourrir ? Tu savais qu'il n'avait personne pour s'occuper de lui, et tu n'a rien fait ?
- Mrs Loenhzen a été claire : je devait simplement lui donner son biberon, et passer de temps en temps pour changer sa couche. Je fais ce qu'elle m'a dit de faire, c'est tout !
- ESPECE DE LÂCHE ! Fulmina la jeune servante. CE GOSSE NE SAIT STRICTEMENT RIEN !! IL A UN AN DE PLUS QUE MON NEVEUX, SAIT A PEINE MARCHER, ET NE CONNAIT QUE LE MOT "BIBERON". EN PLUS, A SON AGE, IL DEVRAIS POUVOIR MANGER DE LA PUREE, AUTRE CHOSE QUE DU LAIT, DU LAIT, ET ENCORE DU LAIT ! JE ME FOUT DE CE QUE MRS LOENHZEN A DIT, ELLE SE MOQUE COMPLETEMENT DE SON GOSSE !
- Calme-toi, Mary, fit John.
- Je....je suis désolée, Mary, mais moi je ne savais pas plus que toi ! Qui sait, peut-être que Mrs Loenhzen ou son mari venait le voir dans la journée....
- On sait depuis longtemps qu'elle ne s'occupe que d'elle ! Sa journée consiste à prendre des bains, à se parfumer, à se maquiller, s'habiller, se faire masser, changer de vêtements une demi-douzaine de fois par jour, et à aller se promener ! Où tu vois qu'elle s'occupe de lui ? Vous n'êtes que des lâches ! Mais moi, je m'en fout, je m'occupe de lui ! T'as des patates, John ? »

A partir de ce jour, Mary s'occupais en permanence de David : l'enfant la suivait partout, en rampant ou en titubant, prenant de l'assurance au fur et à mesure, et marchant de plus en plus facilement.
Julia, qui culpabilisait depuis ce jour, lui préparait toujours à manger, et s'occupais de lui quand Mary était à l'extérieur, ou s'occupant de Mr Loenhzen.
Mr Loenhzen sembla se rappeller de son fils lorsqu'il fut en âge d'aller à l'école. Personne ne précisa comment il savait parler et marcher. Mr Loenhzen pensa que sa femme avait peut-être engagé une nounou, et Mrs Loenhzen se fichais du gamin, se disant que le père s'en était peut-être occupé. Après tout, c'était lui qui l'avait voulut, ce gamin !
David entra donc en école privée. Il n'aimais pas l'école, qui la séparait de Mary, John et Julia. Il n'aimais pas lire, ni écrire. Il voulais simplement être libre. Ce qui ne plaisait ni à Joan, ni à Mickaël, qui avait fait de brillantes études.
Lorsqu'il eut huit ans, Rebecca Loenhzen naquit. Elle avait les mêmes cheveux blonds que sa mère, et, comme son frère, avait hérité des yeux saphir de Joan. A l'inverse de David, sa mère s'occupais beaucoup d'elle, mais sans vraiment lui donner d'amour : Rebecca devait être parfaite, afin de réparer les bêtises de son frère, et pour épouser un bel homme, riche et intelligent. Très vite, Rebecca se rapprocha de son frère, malgré Joan, qui tentait de la dresser contre lui. David la protégeais envers et contre tout, et elle, elle s'arrangeais pour détourner l'attention de sa mère, pour qu'elle oublie le garçon.

[a suivre]

Llavie!!

Bienvenuuue à ton new perso!

Pfiou, ça a pas été facile, hein!

J'ai hâte de voir ton vava!^^

L'est mimi ton perso, il a l'air tout gentil!

pour le vava, j'ai no idea XD

J'vais déjà mettre la suite de l'histoire....

merci encore, Evi ^^

« Heu....David ? Est-ce que je peut te parler, s'il te plait ?
Le garçon se retourna. Il avait onze ans, et était en sixième. La personne qui l'avait apostrophé s'appellais Cécilia.
- Heu, oui, bien sûr. Bafouilla le garçon, perplexe. Qu'y a-t-il ? fit-il une fois éloigné du groupe de garçons.
- Je....je voulais te le dire depuis un moment....je t'aime beaucoup, tu est un mec super et....est-ce que tu voudrais bien sortir avec moi ? »

David la regarda, interloqué. Il ne s'était pas attendu à ça. Il accepta, par politesse, même si il ne l'aimais pas. Il se demandais souvent pourquoi il n'était jamais attiré par les filles de sa classe, alors que certaines étaient de vrais canons, mais n'y fit pas attention.
Leur relation dura 2 mois. Lui-même ne se souvient pas qui a lâché l'autre. Dans un sens, c'était une séparation acceptée à l'unanimité.
Ce fut deux ans plus tard qu'il se rendit compte – ou plutôt qu'il accepta – le fait qu'il était attiré par les mecs.
Il ne sut pas vraiment comment réagir, et comment réagiraient les autres, mais Mary, la première personne à qui il lui annonça lui tapota gentiment la tête, et lui dit qu'il réfléchissait trop.

« Tu te casses la tête, David...Que tu aimes les filles ou les garçons, qu'est-ce ça change ? Tu restes David Loehnzen, et les gens intelligents diront la même chose. Il y auras toujours des imbéciles qui te rejetterons à cause de ça, mais pour moi, tu restes le gosse que j'ai récupéré dans une chambre vide, et qui est simplement génial. Après, je me fout que tu préfères les pommes aux poires, les mecs aux filles, le rouge au bleu.... »

David lui sourit, de ce sourire qui faisait fondre toutes les filles de son collège, et que Mary avait été la première à connaître.
Rebecca, qui avait 5 ans et qui était déjà plus mature que des filles de dix ans, lui tint le même genre de discours, avec un vocabulaire moins enrichis, et moins de comparaisons douteuses.

Les années qui suivirent ne furent pas aussi faciles : si il se basait sur ce que lui avait dit Mary ce jour là, alors le pourcentage d'imbéciles s'élevait à 90 % de la population mondiale.
Les gens se foutaient volontiers de sa tête, en changeant de classe à la fin de l'année il perdit ses amis et n'en trouva pas d'autres. Jusqu'à ce qu'il rencontre Mickaël, totalement par hasard.
Mis à part le fait que le mec avait le même prénom que son père, il connaissait plein de monde, était surdoué, et séchait les cours la moitié du temps pour traîner dans la rue. En lui, David trouva un confident, un petit-ami, un guide, et un professeur. Mickaël et lui étaient inséparables. Mickaël le présenta à ses amis qui le considérèrent aussitôt comme l'un des leurs.
Ce fut un jour où leur groupe se baladais dans les rues de la ville qu'il le vit.
C'était un simple magasin, mais les initiales, écrites chacunes avec une police différente, l'attirèrent aussitôt.


O.I.P.


Il s'arrêta. Mickaël, qui lui tenait la main le regarda, et, ne comprennant pas, suivit son regard. Il éclata de rire en comprennant.
« Ah, tu n'a jamais vu de magasin comme ça ? J'avais oublié que tes parents étaient...spéciaux.
- Ca veut dire quoi ? Ces initiales ?
- « Old Indian Punk ». Tu veut rentrer ? Tu comprendra tout de suite !
- Je veut bien....
- Hé, les gars !!! Attendez, on jette un coup d'oeil aux OIPs ! Cria le garçon, en faisant signe aux autres.
Ils entrèrent, suivant David, qui était perplexe. L'intérieur lui cloua le bec :
C'était un magazin de vêtements et accessoires. David ne connaissait pas la musique qui passait, et qui, apparemment, datait d'une autre époque (au fait, c'était une musique de quadrille, mais il ne connaissait pas, à cette période de sa vie....)
C'était impossible d'ignorer les trois catégories : de grandes affiches les signalaient.
Mickaël lui sourit, jouant avec la plume d'un vêtement.
« Ca représente trois grand styles : le punk, l'amérindien, et le....vieux....'fin, t'sais, quand les nanas étaient toujours en robe, et portaient des masques pour ne pas bronzer ! Genre, XVIIIe siècle...Ou alors, des fois, ça peut être médiéval, mais ça l'est moins souvent. Pour te donner une image fiable, penses aux poupées de porcelaines. Tout est contradictoire : le punk contredis le...18e siècle, qui contredis l'amérindien. Et en même temps, le mélange des trois est intéressant...C'est français. Perso, je suis pas fan, mais je continuerais à t'aimer même si aimes.
- C'est...étrange.
- Je pense que tu a trouvé le bon mot ! Tu veut acheter quelque chose ?
- Je sais pas.
- Bon, alors je t'achètes ça, alors ! Fit Mickaël sans même lui montrer l'objet en question. Attend-moi dehors ! »
Le paquet que Mickaël lui tendis était un bracelet à piques, celui que David porte toujours au poignet depuis ce jour.

Même lorsqu'ils cassèrent, un an après, ils continuèrent à être amis, et à faire des sorties avec le reste du groupe. Les parents de David étaient toujours aussi insuportable – surtout depuis qu'il enfilais des jeans avec des chaînes et des bracelets amérindiens (XD) – et sa soeur continua à être aussi adorable. Il savait que ses parents auraient souhaité qu'il étudie sérieusement, qu'il devienne "quelqu'un". Mickaël Loenhzen était simplement fan d'Ayn Rand, et était de ceux qui, comme elle, considéraient que c'était de la faute des pauvres si ils étaient pauvres, et que si eux étaient riches, c'était parce qu'ils avaient travaillés. David, au grand regret de ses parents, n'adhérais pas à ce point de vue.
Et ce fut Mary qui récolta...


" TOUT CA EST VOTRE FAUTE ! Hurla Mr Loenhzen.
- Comment ça "ma faute" ? Je n'ai rien fait de mal, à ce que je sache !
- C'est vous qui vous êtes occupés de l'éducation de David ! Vous vous êtes mêlée de ce qui ne vous regardais pas, et il se balade avec de la racaille, s'habille comme de la racaille, et ne fout rien à l'école ! Vous êtes fière de vous ?
- Je pourrais vous retourner la question ! Un gamin de trois ans incapable de marcher ou de parler ! Qui n'a pas d'autre compagnie que le silence ! Vous vous plaignez de lui, mais si je l'avais laissé, il aurais appris à parler et marcher à 6 ans, et parce qu'il devait aller à l'école ! En quoi est-ce un crime ?"
Le soir même, Mr Loenhzen lui avait trouvé une remplaçante. David en pleura pendant des heures : c'était sa mère, qu'on lui enlevait. Parce qu'à partir de ce jour où elle l'avait prise dans ses bras pour le consoler, il l'avait choisit elle.
Rebecca – qui avait huit ans – était assise sur ses genoux malgré l'interdiction de sa mère, et tentait de le consoler de son mieux.
Sans elle, il serait sûrement partit tout de suite...

Quelques semaines plus tard arriva Lola.
Ce fut David qui la trouva. Etendue dans une ruelle, à moitié morte. Elle s'était faite tabasser, et n'avais plus un sou en poche.
Lorsqu'il l'apperçut, il se précipita vers elle, vérifia qu'elle vivait toujours, et la réveilla. Son corps n'était plus que blessures, elle avait faim et soif. Lorsqu'elle réussit à avaler un peu d'eau et quelques biscuits, David l'aida à se lever, et l'emmena au point de rendez-vous. Mickaël était parti à sa recherche, ne le voyant pas arriver, et l'aida à la soutenir.
Les autres les aidèrent du mieux qu'ils purent, et une fois qu'elle alla mieux, elle se présenta.
Elle s'appellais Lola, avait 15 ans, et avait fugué après avoir économisé pendant un an. Elle était d'origine espagnole, et était simplement magnifique : peau assez mate, longs cheveux d'un noir de jais, yeux profond à en faire pleurer plus d'un, n'importe quel garçon serait tombé amoureux d'elle.
Il fut décidé que Lola resterait là. Le lieu de rendez-vous était une vieille maison abandonnée, mais en bon état.
Dès ce jour là, la jeune fille les suivit partout. Elle considérait David comme son protecteur, et aurais fait n'importe quoi pour lui. Elle était consciente que son "amour" était impossible, mais attendais toujours le moment où elle pourrait lui être utile. Elle devint, comme lui, une fervente pilleuse OIP. David l'enviait : elle était une fille, tout lui allait. Elle pouvait mettre des robes de dentelle, se coiffer, se maquiller, alors que lui était très restreint au niveau du choix.
Lola pu le remercier en l'aidant à s'enfuir : elle avait préparé sa propre fuite pendant un an, et put facilement lui être utile. Mickaël lui jura de la protéger, même si il ne l'aimais pas.

Le jour même de ses dix-huits ans, il faisait ses valises, voulant échapper à la fête que son père préparait à son honneur, et qui avait plus pour but de tenter de l'attirer vers quelques jeunes filles de bonne famille que de fêter son anniversaire. Lorsqu'il se réveilla ce jour là, il sourit, se demandant quelle tête ferais son père si il lui disait qu'il était homosexuel.
Rebecca savait. Il ignorait comment, mais elle savait. L'enfant de dix ans était entrée dans sa chambre en pleurant alors qu'il faisait ses valises. Il l'avait serrée dans ses bras, et lui avait offert un cadeau : un collier avec pour pendentif le symbole OIP (trois fleurs et une rose entourées par un ruban rouge sur lequel des épingles à nourrice étaient accorchés), et son attrape-rêve.
Elle lui avait tendu son cadeaux d'anniversaire, et demandé où il allais.
« Loin. Là où ils n'imaginerons jamais que je suis. A Seattle, là où il pleut toujours. C'est l'opposé d'ici. En plus, Seattle était le nom d'un chef indien. Mais ne le dit pas à Joan.
- Tu sais bien que je ne lui dit rien sur toi depuis que je sais parler !
- C'est vrai...et tu est la meilleure petite soeur au monde. Tu vas me manquer...
- Je ne peut vraiment pas venir avec toi ?
- Pour qu'on me foute un procès au cul ?
- Ah oui, c'est vrai ! Et quand je serais majeure ?
- Quand tu sera majeure, tu pourras faire comme moi. Quoique on peut écourter ça à tes 16 ans... Quand tu auras ton permis, tu pourras faire le mur un jour ou deux à Seattle, ok ? Histoire de montrer à la vipère qu'on n'arrive à rien en méprisant le reste du monde. On fait ça ?
- Okay ! Et à 17 ans, je te rejoindrais ! Je ne veut pas attendre huit ans, je veut le faire un an avant toi ! Pour qu'ils soient encore plus dégoûtés !
- D'accord ! Fit-il en riant de la naïveté de sa soeur, laquelle était précoce. Veille bien sur toi, petite soeur !

Il l'embrassa, et partit sans se retourner, les larmes aux yeux.

Dans le train, il ouvrit le paquet de sa soeur, et ne put réprimer un sourire : un bracelet en cuir tressé, et un dessin : le symbole OIP, représenté à la perfection.
Il arriva à Seattle quelques heures plus tard. Il avait préparé son coup, et loué un petit studio, non loin de la petite boutique où il travaillerais désormais : un petit magasin de vêtements, simple, discrèt et chaleureux, c'est-à-dire tout le contraire de ce qu'aiment ses parents. Jamais au grand jamais ils n'imaginerons leur fils là-bas.
Et c'est très bien comme ça...

Hj : LLevana Sheetay vous salue, et espère que vous appréciez ce 4e perso ^^

(oui, je sais, Rebecca et David ont les mêmes couleurs que Joan et Mickaël (le père, pas l'autre XD), mais c'était parce que j'étais à cours de couleurs visibles...)

Génial ton personnage ! Il est super différent des autres mais c'est ce qui fait son charmes c'est tellement cool !

J'adore ^^ Je sens que sa va être super pour des Rp. longs ! lol

Bienvenue à lui ^^

Mon dieu que c'est long tout ça ! O.o j'aime ton perso, oui, mais c'est le genre de garçon que j'écraserais en 2 minutes.. On verras ça hein ?

Bienvenu à David
je ne menace pas hein ? ^^

Intéréssant tout ça et si je devenais gay ??? *idée subite BLAFF*
En tout cas, très belle fiche Llavie ^.^

David : Ecoute, moi ça me déplairait pas, Neil...*sourire charmeur*

LLevana : Ecoute mon coco, que ça soit clair : c'est MON Neil, alors pas touche !
*serre Neilou dans ses bras*

Merci pour votre accueil ^^ (x4)

Au fait, c'est un peu une vengeance, ce perso :

-Depuis le début de l'année, des gens de ma classe critiquent les homosexuels, dans le genre "si tout le monde était homo les humains disparaitraient" et prétendent ensuite ne pas être homophobe. J'ai du mal à y croire...
-J'ai entendu à plusieures reprises des filles parler d'un acteur de Prison Break, elle disent toujours qu'il est super beau et que "c'est toujours les beau mecs qui son gay". Et alors ?
-Comme vous le savez, je ne souhaite pas me marier...souvent, on finit par me demander si je suis homosexuelle...non, et le regard apeuré que je vois chez ces gens (genre : "oh, elle est quand même pas comme "eux" ?") me donne franchement envie de vomir.

A BAS LES HOMOPHOBES !!!!

Neil : *sous le charme* faudra que tu m'présentes ton pote Llavie *tapote gentiment la tête*

(c'est toujours la même chose que les préjugés d'ailleurs. Je suis passée par ma période bi, j'ai toujours l'habitude de smacker ma best et j'vois bien kl'regard des gens. j'sais de kwa j'parle x3 faut croire que les gens sont partout pareils >.< T'en connais beaucoup des homos ???)

*David Loenhzen* a écrit:

"c'est toujours les beau mecs qui son gay"

C'est vrai que c'est d'un con, ce genre de remarque..... -__-"
Comme si de toute façon les gars ils allaient s'intéresser aux misérables personnes qu'elles sont... Yen a qu'on de l'espoir... XD

==> topic dans la partie "présentation hors jeu", llevachoute! XD

oki, je vais le faire....je répond juste à, Neilou, avant...

* fufu, innocence >.< * (okay, c'est bon, j'vais aussi flooder ailleurs *BLAFF* T^T)

ta fiche est super, j'adore déja David !!

Elli *veut devenir la grande soeur de David*

évidemment ton perso est très original =) tsé quoi hector va être content

évidemment tu es VALIDE pas la peine de te souhaiter la bienvenue ou de bien t'amuser parmi nous ^^"

et pour les préjugés je trouve ça hyper nul ! chacun fait ce qu'il veut ! perso moi je dis si la personne de ton choix est un homme ou une femme quelle différence si les deux personnes s'aiment et sont heureuses ensemble ??? j'ai une amie que j'adore et qui est lesbienne et alors ? ça ne l'empêche pas d'être une fille géniale

allez on va flooder dans la partie réservé à ça les gens =)

(c'est qui hector ?)

Merci Elli ^^ (j'ai bossé comme une dingue, j'avait l'imagination de la mort >__<"")

Et tu est autorisée à devenir sa grande soeur, bien entendu ^^

Hector est un perso homo du fo ^^ très gentil d'ailleurs =)

de rien ma puce, tu me met un vava et tu m'enlèves les étoiles stp ? après tu pourras poster ^^ lol j'vois ça XD

ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii *Elli contente *

Les étoiles, je peut pas, pour les mêmes raisons que Kitsa XD

Et l'avatar, c'est mon talon d'achille, encore une fois...t'a pas une idée ?

pourquoi tu peux pas enlever les nétoiles ??? tant pis Bella le fera euh pour le vava je vais chercher =)) dis puce david c'est un peu toi non ?

tu sais que je t'aime ??*poupoute sa puce*

un peu mwa ? Comment ça ?
Faut que je scanne un dessin, je trouve qu'il lui ressemble pas mal....*fera ça demain*

Au fait, quand je me suis inscrite, j'ai oublié un "l" à l'adresse, donc je me suis ré-inscrite, avec les étoiles. Le forum attend tjrs quelqu'un du nom de "David Loenhzen", qui ne viendra jamais parce que l'adresse e-mail n'existe pas....

Ben, écoute, c'est pas super évident, mais il me semble que tu me l'a dit dans une autre vie...*réfléchis*
POUTOUUU !!! *serre Elliana dans ses bras, et ne la lâche plus*

a y est j'ai vavas !! j'espère qu'il te plairont !! juste le temps d'ajuster et de passer par imageshacks et je te les filent !!

oki d'acc pas grave =)

ohhhhhhhhh je te le dis souvent pourtant que je t'aimeuuuuuuuuuuuhhhhhhh je te refeai ma déclaration jeudi alors ="(

*sors*

ooooh, mwa aussi, je t'aime >__< *gros câlin*

Imageshack a eut pitié de moi, je vous met des dessin (oui, c'est normal qu'ils n'aient ni jambes ni mains, je suis nulle en proportion...c'est juste des croquis extraits de mon agenda

DAVID (à peu près (?))





2 OIPs >__<""







Edit : Elli, je prend !! Trop magnifique >__<""

Waa trop marrant Elli j'allais poster les photos du même gars! > <"

Bon j'aimais bien lui, aussi:



Llavie ==> c'est trow chou on voit tous tes devoirs, et ton écriture!

Evangeline Branwell a écrit:

Llavie ==> c'est trow chou on voit tous tes devoirs, et ton écriture!

KYAAAAAAAAAAAAAAAARGH !!!!!

*file effacer ça*

nan, je plaisante ^^"

Oui, mon agenda sert de cahier de brouillon, et (éventuellement) d'agenda ^^
Vous pouvez constater que je suis déséspérée au point de dessiner à longueur de journée....mon agenda est hyper-remplit, un jour je vous mettrais quelques images des esprits...