Nom : Minamoto
Prénom : Ayame
Age : 19
Lieu de résidence : Elle a vécue pendant 17 ans au Japon, comme Geisha, puis comme samouraï, et à décidée de se créer une nouvelle vie. Douée pour les langues, elle est venue s'installer à Forks, espérant ainsi être tranquille quelques temps, loin de son passé.
Statut : Humaine
Classe sociale : Riche. Ses parents étaient gouverneurs auprès de l'empereur japonais. Elle a donc hérité d'une immense fortune familiale. Bien que ses parents ne soient pas morts, leur fortune commune était largement suffisante pour être séparée.
Famille : Mai, la mère d'Ayame, était, comme son père, gouveneurs auprès de l' empereur actuel, Akihito. Celui-ci est le dernier d’une succession que la tradition prétend ininterrompue et que la légende historique fait commencer en -660 avec l’empereur Jimmu, descendant de la déesse Amaterasu.
Ayame a également une petite soeur, Emi, qui n'a que 4 ans.
Caractère : Son statut de femme japonaise, et d'ancienne geisha, l'oblige à avoir un caractère distant, et à garder un visage inexpressif devant toute personne qui se présente à elle. Malgré son éducation très rude, celui de ses parents, comme celui de son maître samouraï Fuhito, elle est restée têtue, et extrêmement maternelle, malgré son jeune âge. Elle est de nature plutôt silencieuse, et ne parle pas pour rien dire. Elle est calme, mais peut se montrer également extravagante et extravertie si elle se trouve en compagnie de ses ami(e)s. Très humaine, et depuis qu'elle est devenue geisha, elle aime le contact avec les gens, et n'hésite pas à aider ce qui en ont besoin.
Elle est également perfectionniste, ne supporte pas l'échec, et fais tout pour gagner, et arriver à ses fins. Ce qui en fait une adversaire redoutable, autant dans les études, que dans le sport. Elle est d'une patience à toute épreuve, et également très observatrice. Ayame est une amie en or, car elle connaît le sens profond de l'amitié, du combat pour la survie, et du secret. Elle a également un grand sens de la famille et du sacrifice. Elle est très proche de la nature.
Description physique : Ayame, comme toutes les japonaises, est très belle. Elle a une taille fine, des lèvres pulpeuses, mais juste ce qu'il faut. Ses yeux bridés et son visage aux traits fins témoignent de sa gentillesse, mais également de la dureté avec laquelle elle fut traitée dans son pays natal. Sa chevelure est d'un noir de jais et lui tombe jusqu'en bas du dos. Les coiffures dont elle se parre peuvent être extrêmement sophistiquées et par conséquent, ajoute à son charme. Ses yeux sont noirs, et perçant, bien que gentils et chaleureux.
Elle est d'une taille respectable de 1m60 pour une japonaise. Sa peau n'est ni pâle, ni matte, plutôt d'un teint de porcelaine, qui fait d'elle une des rares asiatiques à la peau laiteuse.
Bien qu'elle vive depuis peu en Amérique, elle affectionne encore beaucoup ses kimonos, qu'elle porte assez souvent et allonge sa taille déjà longelline. Elle se maquille très peu, et sa peau a une douce odeur de jasmin, ce qui lui donne une allure légèrement ensorcelante. Qui pourrait lui résister ? A part elle-même.
Loisirs : Elle pratique régulièrement le Kendo, cette technique particulière du combat au sabre. Elle joue également du koto, une cithare traditionnelle japonaise, et en particulier la musique propre au koto : le Sôkyoku. Cette pratique la détend énormément, et chaque personne qui l'écoute est charmée par son visage détendu et souriant.
Aime : Se balader dans ses jardins japonais. Jouer du koto. S'entraîner avec son katana. Ses kimonos qu'elle a récupéré de sa période de geisha. S'amuser avec les gens qu'elle apprécie. Aider les autres. Regarder les étoiles et la Lune. Etudier, et parler une langue autre que celle de son pays. Voyager. Sa famille et son maître samouraï, qui lui a appris la voie de la sagesse et de l'équilibre. Elle aime les loups, les lotus, l'eau, et les saules pleureurs. Elle aime être seule mais accepte allègrement la présence des autres. La pluie, mais aussi le soleil. Elle aime toutes choses que la nature a crée. Elle aime la calligraphie japonaise, qu'elle pratique avec une grande facilité.
N'aime pas : La méchanceté. La culture du Japon. La discrimination féminine, dont elle a fait les frais. Parler pour rien dire. L'hypocrisie et l'égoïsme. Elle n'aime pas tellement parler de son passé. Elle déteste voir des corbeaux, qu'elle prédit souvent comme un mauvais présage. Bien qu'elle aime lire, cette activité peu s'avérer bien vite ennuyeuse, ce qui explique le fait qu'elle ne lit que pour sa culture, et non par plaisir. Elle déteste que quelqu'un regarde trop longtemps son katana, ça lui donne l'envie furieuse de s'en servir.
L'histoire de votre personnage :
Nous sommes en 1988, un heureux événement vient éclairer la famille Minamoto. Une petite fille, Ayame, vient de naître. De grands yeux regardent ses parents, qui louent les grands esprits pour ce magnifique présent...
Mai et Yoshito, les parents d'Ayame, sont les grand gouverneurs de l'empereur japonais Akihito. Ainsi, grâce au descendant de la déesse Amaterasu, la famille Minamoto est bien à l'abri du besoin. Vivant tous les trois dans une magnifique maison, sur les bords d'un lac, près de Tokyo, la famille goûtent à des jours tranquilles, tandis que la petite Ayame grandit doucement. C'est dès son jeune âge que la petite apprit qu'elle avait un contact étroit avec la nature, et que si elle l'aimait, celle-ci le lui retournait chaleureusement. Elle apprit donc la culture de son pays dans le grand jardin japonais de ses parents. Dès l'âge de 5 ans, Ayame reçut de son père les enseignements basiques, qui lui apprirent bien vite comment devait se conduire une femme d'une maison aussi honorable que la leur.
Puis, en 1996, alors qu'elle atteignait le jeune âge de 6 ans, Ayame commença à être éduquée par un précepteur. Celui-ci, comme tous les vieux japonais traditionnels, considéraient la jeune fille comme inutiles, et complètement déshonorante pour la famille Minamoto. Il lui enseigna bien vite à tenir sa langue lorsque les hommes parlaient, à servir le thé, à se conduire en grandes dames. La petite fille recevait les enseignements sans broncher, en prenant soin de suivre tous les conseils que lui donnait son précepteur, bien qu'elle ne l'aima pas. Elle voulait être digne de sa famille.
Dès cette époque, la jeune fille commença à regarder comment se comportait sa mère, afin de copier ses gestes, ses attitudes, mais sans jamais lui ressembler réellement.
Le jour de son septième anniversaire, la jeune fille apprit ce que signifiait être une femme. Dès cet âge, son précepteur lui interdit formellement d'approcher de la table où dînait son père, pendant son repas d'anniversaire. Il l'accula contre un mur en lui murmurant un simple :
- Tu n'es qu'une femme, les hommes n'ont nul besoin de ta présence à table !
Ayame était retournée vers sa mère, dans la cuisine, sans un mot. Elle venait de fêter ses 7 ans, et elle apprenait la vie à la manière des japonais.
Nous sommes à la veille de l'an 2000, la jeune fille, qui vient de fêter ses 11 ans, apprend de sa mère qu'elle intégrera la vie de geisha dès ses 12 ans. En effet, ses parents, nettement occupés au palais impérial sur les affaires politiques du pays, n'ont plus guère le temps de s'occuper de leur fille. Et son précepteur n''avait guère envie de rester des journées entières avec la jeune fille, alors que son devoir l'appelait ailleurs.
Aucun autre domestique ne pouvait s'occuper d'elle, aussi, Yoshito décida-t-il d'emmener sa fille, à la veille de son anniversaire, le 19 janvier, à la communauté des geishas. Ces femmes, belles à en mourir, mais destinées à rester esclaves de leur métier jusqu'à leur mort, était l'essence même du charme du Japon, mais également de leur discrimination envers les femmes. Car si elles étaient d'un charme inégalable, elle n'était guère plus apprécié que les autres japonaises. C'est ainsi que le jour de ses 12 ans, Ayame devint geisha. A partir de ce jour, elle apprit d'autant plus de choses sur le fait qu'elle était une femme, et qu'elle devait se comporter comme tel. Ne jamais approcher les hommes sans leur consentement, toujours s'agenouille pour servir le thé, garder la tête baissée et toujours s'incliner plus bas que le client, qui était d'une classe bien supérieure à la sienne.
Évidemment, la beauté de la jeune fille ne passa pas inaperçu. Pendant 5 ans, elle demeura dans cette maison, entourée des autres geishas, toujours parées de la plus noble manière, coiffées avec le plus grand soin, habillée de la plus délicieuse manière.
Mais à l'âge de 17 ans, Ayame en eut assez de cette situation. Elle n'était pas née pour s'agenouiller face aux hommes, elle devait se rebeller. Aussi, elle s'enfuit. Ce n'est qu'en arrivant à Kyoto qu'elle cessa de regarder sans cesse derrière elle dès que quelqu'un criait. Elle s'était enfuit, et avait laissé ses parents dans le déshonneur le plus total. Elle espérait vivement que sa plus jeune soeur, Emi, ne serait pas comme elle, qu'elle pourrait supporter cette situation humiliante, celle d'être japonaise.
C'est dans cette ville, que la jeune femme rencontra Fuhito, un grand maître samouraï, qui, en voyant la jeune fille marcher dans une rue, s'approcha d'elle et lui proposa sa protection.
Les yeux inquisiteurs d'Ayame rencontrèrent ceux, doux, chaleureux, et tranchants comme l'acier, du maître samouraï.
Adieu thé, robe et coiffure extravagante. Elle commença à apprendre l'art subtil du sabre japonais. Habillée de la tenue traditionnelle pendant ses entraînements, elle fit bientôt la fierté de son maître, et devint l'une des plus grandes samouraï que le Japon est jamais connu.
Elle mit près de 2 ans à atteindre le niveau de perfection qu'elle et son maître s'était fixés, mais ils étaient fiers, autant l'un que l'autre. La jeune fille était à présent digne de son pays, bien que celui-ci n'accepterait jamais d'avoir une femme samouraï dans leur rang.
Nous sommes en 2007. Ayame a décide, le jour de ses 19 ans, de quitter Fuhito, son maître samouraï, son père de substitution, pour partir dans un pays moins discriminatoire, un pays où elle n'aurait plus peur de se faire rattraper par son passé.
Fuhito accepta sa décision, mais avant qu'elle ne parte, il lui donna un dernier conseil.
- Retourne voir tes parents, Ayame-chan, retourne les voir, et demande leur pardon avant de partir à l'aventure.
Lorsque la jeune femme répliqua qu'elle se ferait tuer par son père si celui-ci la croisait sur son chemin, le vieux samouraï répondit juste :
- Issu saki wa yami (Nul ne sait ce que réserve l'avenir). Les samouraïs n'ont nulle peur mon enfant. Leur sabre guident leur pensée, et les dieux guident le sabre. Va en paix.
Sur ce, il lui déposa un baiser sur le front, en priant les grands esprits de garder en vie et en paix la plus prometteuse des samouraï.
Avant de partir pour les Etats-Unis, Ayame suivit le conseil de son maître. Elle retourna voir ses parents. Lorsqu'elle entra dans la demeure japonaise de la famille Minamoto, la jeune fille fut prise de sanglots incontrôlables. Heureusement, personne ne voyait les larmes couler sur ses joues. Un déshonneur suffit largement à une famille.
Le jardin de son enfance, le lac de la demeure... Tout était exactement pareil que lors de son départ.
C'est alors qu'elle les vit. Les trois silhouettes qui se détachaient de la porte d'entrée. Elle sécha rapidement ses larmes, en un geste quasi-invisible, et s'avança dignement vers eux, se préparant à affronter le courroux du maître de maison.
Mais lorsqu'elle fut assez près pour voir leur visage, la jeune fille se rendit compte qu'ils souriaient, tous les trois, même Emi, qui venaient d'avoir 4 ans. C'était déjà une magnifique petite fille, qui ressemblait énormément à son père, autant qu'Ayame ressemblait à sa mère. Sa mère, qui elle ne retenait pas ses larmes, vint prendre sa fille dans ses bras, et lui dit à quel point elle l'aimait. Son père s'approcha, et lui dit à quel point il était fier de sa fille, sa fille qui avait bravé les traditions japonaises, mais était devenue l'une des plus grandes guerrières de ce siècle.
Alors ils savaient. Ils savaient depuis le départ qu'elle était allée à Kyoto, qu'elle avait rencontré Fuhito, qu'elle avait suivit son enseignement, et que celui-ci la renverrait vers ses parents afin de pouvoir vivre en paix.
Se détachant de sa mère, la jeune fille prit sa petite soeur dans ses bras, et l'embrassa, avant de sourire à ses parents. Un sourire sincère, un sourire qui prouvait qu'elle avait grandit, qu'elle avait fait son choix, et qu'elle s'était enfin épanouie.
C'est dans cet état d'esprit que la jeune femme partit du Japon, pour se retrouver dans une petite ville, tranquille, du nom de Forks.
HJ : C'est Aracia !!
J'ai créer un nouveau perso pour remonter le taux d'humains :p
Votre âge IRL : Toujours 16 ans xD
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Sam 17 Nov - 15:58
J'ai rajouter des tis trucs, comme tu me l'as demandé, j'espère que ça sera bon, parce que je manque d'idées après XD
bon bah si quelq'un veut un ava ou une sign, a votre service...
