(...la suite)
L’histoire de votre personnage :
Paris, Allemagne, Italie
Duncan était un ado comme les autres où presque car, Ducan est né en 1960 en France et plus précisément à Paris. Donc c’était une époque baba cool enfin pas pour tout le monde vu que son père voulait rejoindre la terre de ses ancêtres c'est-à-dire l’Allemagne. Ce qu’il fit quand Duncan atteint ses quatre ans, sa mère étant morte à sa venue au monde, son père devait s’occuper de lui. L’apprentissage de la langue fut une chose facile puisque son père lui parlait en allemand quand il était en France alors qu’à l’école le jeune garçon parlait français. Quand ils furent en Allemagne son père cru bon de faire l’inverse, ainsi il connaîtrait deux langues, quand il entra en secondaire, son père lui dit d’apprendre l’italien comme deuxième langue car, ils en auraient besoin. Duncan fou de joie apprit anglais et italien, une fois qu’il eut 12 ans son père l’emmena vivre en Italie à Florence où il continuait ses cours en apprenant l’Anglais.
A l’âge de 16 ans le jeune homme était déjà quadrilingue, il était déjà allé plusieurs fois en Angleterre, puis en Irlande, puis à Prague, puis en Autriche et il retourna à Paris, la ville n’avait pas tellement changé, il aimait cette ville et tout ce qu’elle représentait pour lui. Il avait apprit à voyager et adoré vraiment cela, seulement alors qu’il aidait son père a ranger le grenier, il découvrit une boîte plaines d’anciennes photos datant d’avant 1900. Le jeune homme ne dit rien et les descendit pour mieux les examiner, une fois à la lumière. Il vit alors son arrière-grand-père devant l’objectif serrant la main d’une personne que la pellicule n’avait pas prise. Duncan regarda un peu mieux mais, il n’y avait personne devant lui, il prit alors une loupe et là, il vit comme si les contours de la personne avait été dessiné par un fin crayon. Son père descendit et se mit à lui parler ce qui le fit sursauter, son père se rapprocha alors pour voir ce que tenait son fils dans sa main. Et lui dit en souriant :
- Tiens, tu regardes les photos truquées de ton grand-père maintenant ?
Duncan eut un instant d’hésitation avant de reposer les photos qu’il avait prise dans le grenier, quand il fut majeur, c’est-à-dire à 18 ans et non à 21 ans comme c’est le cas au USA. Il regarda plus attentivement les photos allant même chez un camarade de classe dont le père était photographe professionnel. Le père du jeune homme lui révéla qu’il n’y avait aucun trucage, qu’à cette époque c’était impossible d’avoir quelque chose d’aussi parfait. Une fois, de nouveau chez lui, il retourna toutes les photos pour voir de quand et surtout d’où elle provenait, malheureusement rien n’était indiqué, alors le jeune homme observa avec soin le paysage puis une carte détaillée et il retrouva ainsi le pays. Il aurait dû se douter de quelle région les photos avaient été prises, cependant, il voulait en être sûr. C’est alors, qu’il décida de partir pour les Carpates en Transylvanie, il fit ses bagages et dit à son père qu’il partait en voyage avec quelques amis vers l’Italie. Il ne c’était pas douté une seule seconde qu’il ne le reverrait plus jamais en vie.
Transylvanie :
Une fois arrivé là-bas par avion, il lui fallut parcourir encore pas mal de route à dos de mulet une fois arrivé dans les Carpates il alla demander une chambre dans une auberge du coin. Le gérant lui demanda son nom et une fois qu’il l’eut prononcé, il se retrouva à la porte de l’établissement. Il fit plusieurs auberges et les gérants réagirent tous de la même façon. Il faut dire que le nom des Van Helsing, n’était pas vraiment une référence et les gens se méfiaient. Duncan fut obligé de dormir à la belle étoile heureusement il avait une tente et un duvet au cas où. Il passait ses journées à se balader et à dessiner tout ce qu’il voyait mais, il était aussi à la recherche d’autre chose, comme si il commençait à y croire au plus profond de lui. Il marque alors dans son journal à cet instant ceci :
« Je ne me doutais pas un seul instant, que je les invitais à venir me voir, que je me languissais d’en croiser un. Je n’attendais pas la mort, loin de là, j’étais si proche de la vie que j’aimais par-dessus tout… »
Ce n’est pas lui qui est allez vers eux, ce sont eux qui sont venus à lui, une nuit alors qu’il commençait à s’endormir, il entendit des chuchotements autour de lui. Il était si léger, qu’il cru un moment que c’était le vent mais, ce n’était pas possible sa tente ne bougeait pas d’un millimètre. Tremblant, il prit sa lampe de poche et sorti de sa tente, là une main l’attrapa par le col de sa chemise et avant qu’il ait pu distinguer de qui ou de quoi il s’agissait une voix dure et tranchante comme de la glace lui parvint à ses oreilles :
- Que veux-tu de nous ?
- Rien, réussit-il a dire alors que la main se desserra et le reposa à terre.
L’homme répéta alors ce que Duncan venait de dire et se mit à rire, c’est à ce moment que Duncan se rendit compte qu’il était encerclé d’hommes mais aussi de femmes d’une beauté exceptionnelle. L’homme qui était devant lui avait des cheveux d’une blancheur presque irréelle alors qu’il semblait âgé d’une trentaine d’année. Il reprit la parole en le regardant droit dans les yeux :
- Tu es jeune et tu es un Van Helsing !
C’était une affirmation et non une question, l’homme toujours en le regardant droit dans les yeux se mit à sourire d’un sourire carnassier.
- Tu voulais savoir si nous existions et bien nous voilà tu nous a sous les yeux, dit-il en faisant une petite révérence.
- Vous… vous êtes des V…, balbutia-t-il en les regardant les uns après les autres.
- Oui, nous le sommes, Vlad pourquoi ne le tuons-nous pas ? coupa alors un autre homme aux cheveux noirs presque rasé et vêtu tout en cuir.
Alors que l’homme aux cheveux blonds ressemblait plutôt à un aristocrate, le contraste était flagrant.
- Franchement, je le trouve inoffensif, lui dit le blond qui se nommait Vlad, alors en se saisissant de l’épaule de Duncan pour le ramener à lui. Il me plait ce petit, en plus c’est un Van Helsing !
- Fais comme tu veux mais, je suis sûr il te tuera pendant ton sommeil !
- Et avec quelles armes ? demanda-t-il en ricanant.
Duncan échappa alors à l’emprise du Vampire et les regarda un à un, il n’en revenait qu’il venait de découvrir que la légende était vraie, qu’il en existait.
- Vous n’êtes pas de vrai suceur de sang ! Ce n’est qu’un mythe !
Duncan n’en revenait pas d’avoir dit ça à voix haute mais, il voulait en être sûr, il voulait savoir la vérité.
- Vlad, tu vas le laisser dire ? demanda une jeune femme en se précipitant sur lui en s’accrochant à son épaule.
Le Vampire donna alors un coup d’épaule pour que la femme cesse de s’accrocher a lui puis, il sortit une dague et se trancha les veines juste devant le jeune homme. A peine avait il fait ce geste que ses plaies se refermèrent d’elle-même, Duncan faillit tomber dans les pommes de voir le sang remonter dans les plaies comme si il avait été aspiré.
- Satisfait ?
- Vlad ne joue pas avec lui, il est mignon mais, rien d’exceptionnel, dévorons le et allons nous en ! dit une autre femme en dansant presque sur elle-même.
- Meredith arrêtes ! Tu es un Vampire et nous n’avons peur de rien !
- C’est faux Sven et tu le sais ! dit un autre vampire au long cheveux bouclé – d’ailleurs Duncan avait pensé qu’il s’agissait d’une femme – il s’adressait à l’homme vêtu de cuir.
- Vous avez peur de quelqu’un ?
- Non !
- Oui…
- Vlad !
- J’aime ce petit que voulez vous ma langue à fourché, dit-il en se rapprochant encore une fois de Duncan. Notre ennemi naturel, en fait, il y a de cela longtemps…
- Et ça y est c’est repartit…
- Tais-toi Sven et laisse moi finir, il y a de cela longtemps, nous avons des gardiens qui veillait pour nous le jour et nous prévenait dés que la nuit était tomber pour nous pouvoir chasser. Mais un jour, il y eut une rébellion et nous nous sommes confronté, les territoires furent séparés en deux parties et nous vivons maintenant de cette façon…
- Qui…, qui était vos gardiens ?
- Les Loups=garous
- Meredith !
- Quoi !? Qu’est ce que j’ai dit encore de mal Sven ? De toute façon Vlad allait lui dire alors…
- Et puis, il y a aussi autre chose…, coupa alors Vlad en regardant les autres.
- Ne lui dit rien !
- Il finira par le découvrir Sven ! cria presque Vlad en prenant Duncan par les épaules, cela fait quelques mois qu’une rumeur circule dans le village à côté du quelle nous longeons. Une rumeur selon laquelle un tueur de Vampires était dans les parages…
- Nous avons cru que c’était un Van Helsing…, dit alors Meredith.
- C’est pire, dit alors le grand Sven, c’est un des nôtres, non comptant de tuer des humains pour se nourrir, il tue les nôtres sur son passage par plaisir…
- Vous l’avez déjà croisez ? demanda Duncan avec avidité.
- Non et je ne souhaite pas me trouver un jour sur son passage, dit Sven en le regardant droit dans les yeux.
Les Vampires discutèrent encore quelques instants avec Duncan, qui ne les trouva pas si méchant que ça, par rapport à ce qu’il avait déjà entendu sur eux. Deux nuits, plus tard alors qu’il allait rentrer pour se coucher, il perçu une drôle d’odeur près de sa tente. Il c’était étonné la vieille que les Vampires n’étaient pas revenu pour lui parler encore comme, ils avaient promis de le faire. Pris de curiosité, il alla jeter un coup d’œil pour voir ce que c’était, c’est alors qu’il eut un haut le corps en découvrant les cadavres des cinq Vampires qui étaient venus lui parler. Pris de panique, il rassembla ses affaires pour partir le plus loin possible quand une bête – enfin ce qu’il prit pour un animal – lui sauta à la gorge et le laissa osciller entre la vie et la mort là sur un carré de pelouse à moitié brûlé par le soleil. Duncan ne su pas exactement combien de temps il c’était passé avant que quelqu’un ne le trouve et ne le mette à l’abri du vent et de la pluie.
Quand il se réveilla, il était dans une immense chambre, il y avait un homme près de lui qui le regardait en souriant. Duncan avait l’impression qu’il ne respirait pas, il le regarda un moment avant que l’homme ne lui dise qu’il était le bienvenu dans sa demeure avec un bel accent transylvanien. Puis, il ajouta que jamais il n’en sortirait vivant, le jeune homme allait riposter mais l’homme n’était déjà plus à sa place mais devant son lit.
- Comment ?
- Simple enchaînement de gestes, dors, demain je ferais de toi ce que je suis, lui dit-il avant que la porte ne se referme lentement derrière son ombre qui quittait le couloir.
Duncan était tellement fatigué qui suivit les conseils du maître des lieux et qu’il verrait pour s’enfuir plus tard de la demeure. Durant la nuit – enfin ce qui lui semblait être la nuit – il sentit quelque chose de chaud couler dans sa gorge ce qui le réveilla, l’homme était au dessus de lui et lui faisait boire du sang chaud. Duncan se précipita alors sur le verre comme si sa vie en dépendait, puis il fut emprunt d’une soif et une fin à laquelle, il n’avait jamais aspirée. Son corps se transformait au fur et à mesure qu’il buvait, ses yeux devenaient plus pâles que jamais ainsi que sa peau. Une fois, qu’il eut fini le verre une douleur frappa alors sa poitrine, l’homme imposa sa main puissante sur celle-ci et compressa.
- Laisse, ton corps mourir pour mieux renaître mon ami, lui dit-il dans un murmure.
Il tomba alors dans sommeil sans rêve, il ne su pas combien de jours étaient passé mais, quand il se réveilla plus personne n’était pour l’accueillir. Il se sentait soudainement plus fort que jamais, il pouvait voir et sentir diverses choses qu’il n’arrivait quelques fois même pas à distinguer. Il pouvait entendre le bruit que faisait une araignée qui tissait sa toile mais, il fut vite emprunt à une faim et une soif indéfinissable. Alors, qu’il traversait le parc du château, il vit deux serviteurs qui allaient être ses proies, il prit leur sang sans en laisser une goutte, il avait tellement faim qu’il ne comprit pas tout à fait ce qu’il faisait. C’est lorsqu’il se débrouilla pour monter sur un bateau en direction de l’Italie, qu’il eut des remords d’avoir tués deux personnes innocentes et c’est sur ce même bateau qu’il se promit de ne plus boire le sang d’être humain.
Italie 1981
Extrait du journal de Duncan :
"Je viens de rentrer la maison a été vendue, mon père est mort en 1980 après m’avoir cherchait pendant un an. Je suis resté deux ans en Transylvanie, alors que mon voyage ne devait que durer deux semaines… Qu’ais-je fais ? Suis-je devenu fou ? Mon père est mort et je n’ai qu’une envie c’est rire, je crois que j’ai perdu la tête en plus d’avoir perdu la vie. Duncan Van Helsing est mort… Je me balade dans les rues de Florence mais, tout me ramène à mon père et la culpabilité me serre le cœur… Si j’en ai encore un… Je pars demain pour l’Allemagne, je n’ai plus envie de rester ici, en plus j’ai l’impression qu’on me suit sans arrêt."
Allemagne
"Cela fait, trois mois que je suis ici et j’ai toujours cette impression malsaine qu’on me surveille, j’ai trouvé un ancien ami qui est maintenant vétérinaire. Je ne lui ai pas expliqué toute la situation mais, je lui ai dit que j’avais besoin de sang, il ne m’a pas trop posé de question et m’a dit que dés qu’il en aura, il m’en donnera. Il est donc devenu mon fournisseur personnel en sang d’animaux. Je suis entré à l’université de Cologne et là je me suis rendu compte que je n’étais pas le seul sang froid de l’école et que pour une étrange raison il ne m’aimait pas beaucoup. Je me suis retrouvé plusieurs fois roué de coups par leurs bandes et ils me dirent que bien tôt des plus âgés viendront s’occuper de moi le tueur de Vampires. Je n’ai jamais tué de ma vie."
Autriche 1982
"Cela fait, à peine un mois que j’y suis et déjà je me fais attaquer et menacer. On me croit responsable de nombreux meurtres tout ça parce que je porte le nom des Van Helsing."
Duncan fuyait à chaque fois qu’on le menaçait à chaque fois que l’un d’entre eux entrait en contact avec lui, il avait beau changé de nom, ils savaient où le retrouver. Il était devenu une proie, lui que tout le monde considéré comme le chasseur. En 1989, il vit le mur de Berlin s’effondrer, il était revenu en Allemagne mais, seulement pour quelque semaine, après il parti s’exiler sur une île, mais il avait besoin de comprendre. De savoir, ce qu’il se passait pourquoi il était chassé de partout et uniquement par des Vampires hostiles et sans sens morale qui tué des humains pour se nourrir. C’est lors d’un voyage au USA qu’il apprit qu’une petite ville tranquille appelée Forks était très accueillante avec les nouveaux venus. Il fit alors tout le nécessaire pour être prit dans le lycée et d’avoir un appartement en ville, il prit soin bien évidement de changer de nom et de se prendre une voiture.
Duncan Bloodovar allait faire son entrée dans le lycée de Forks et serait âgé de 17 ans, il espérait vraiment que cette fois, il pourrait vivre en paix parmi des gens un tant soit peu normaux. Pour éviter qu’on ne sache qu’il était un vampire au premier coup d’œil avec le nacre de sa peau, il prit soin de mettre du fond de teint pour homme – et oui maintenant ça existe et ça ne fait pas gay ! – pour son premier jour de cours.
HJ : j’adore les histoires de vampires ainsi que les films, je suis entrain de lire les bouquins d’ailleurs et j’accroche très bien avec le style de Stephenie. Donc quand j’ai su qu’il y avait un forum là-dessus, je me suis dit pourquoi pas et me voilà lol.
Votre âge IRL (dans la vraie vie) : 25 ans
Mot de passe: code bon ^^
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