Pénélope Hayek

Penelope Hayek

Nom : Hayek

Prénom : Pénélope

Age : 25 ans

Lieu de résidence : Pour le moment un hotel trois étoiles à Seattle.

Statut : Humaine.


Classe sociale : Classe riche (héritière de la fortune de ses parents décédés).


Famille : Son père et sa mère sont morts dans un accident de voiture, et elle n'a jamais eu de frères et sœurs. Il ne lui reste que sa grand-mère, chez qui elle résida à un moment de sa vie.


Caractère : Pénélope prend très souvent les gens de haut, les regarde d’un air hautain et dédaigneux, particulièrement désagréable. Elle connaît son charme et sa beauté, et n’hésite pas à en abuser avec la gente masculine. Elle est d’un naturel franc, n’hésite jamais. Elle peut parfois vous balancer des remarques cuisantes à la figure, et qui s’avèrent presque toujours justes, donc particulièrement blessantes. Elle ne voit que le bout de son nez et se désintéresse totalement du cas d’autrui, n’agissant que pour son propre intérêt.


Description physique : Pénélope est dotée d'une beauté que l'ont pourrait juger d'inhumaine. Cette particularité incite parfois les personnes qui l'entourent à la fuir ou à la haïr. Son physique est constitué d’une peau légèrement halée, de longs cheveux bruns et d’un regard noir, envoûtant et perçant à la fois. Son visage est d’un ovale particulièrement agréable. Elle a toujours le teint rayonnant, n’arborant jamais aucun signe de fatigue. Les quelques rides de vieillesse naissantes, tout à fait normales étant donnée son age (il y a un début à tout...) au coin de ses yeux ne font qu’accentuer son charme. Ses mains sont toujours manucurées avec soin, ses ongles sont parfaits. Elle est grande, élancée, sa taille avoisinant les 1m75, et son poids ne vous regarde pas, bien qu’il soit, vous vous en doutez, parfaitement adapté à son physique de déesse.

Loisirs : Pénélope se passionne pour les mystères extraordinaires de la vie, comme la probable existence de vampires... Elle est aussi très douée en art, et a l’habitude de s’exercer assez souvent, généralement à la peinture. Elle emporte un chevalet et sa palette de couleurs, et part s’installer dans divers endroits qu’elle s’empresse de retranscrire avec une affolante perfection sur le papier. Parfois, on se demande même si son dessin ne fait pas plus réel que la réalité elle-même…

Aime : Elle aime par dessus tout résoudre les énigmes. C'est une jeune femme très intelligente, et persuadée qu'il existe d'autres races avoisinant celle des humains, comme les vampires. Elle aime la peinture. Elle s’aime aussi énormément, ce qui peut paraître très déplacé et égocentrique, mais que voulez-vous, c’est son caractère… Elle a énormément de petits plaisirs dans la vie, dans lesquels nous pouvons compter la cuisine, qu’elle pratique assez souvent, ou encore la lecture de grandes œuvres.

N’aime pas : Pénélope est de nature à n'aimer que sa petite personne, et à détester les gens de son entourage. Elle a horreur des fast-foods et n'apprécie que la grande cuisine, raffinée et équilibrée. Elle ne supporte pas non-plus d'^tre confrontée à un échec, elle veut toujours avoir raison.

L’histoire de votre personnage :

Passé...

Pénélope était couchée sur son lit, le regard plongé dans l'obscurité de sa chambre. Elle essayait de s'endormir, mais comme chaque soir, n'y parvenait pas. Comme chaque soir, ce rêve tragique refaisait surface, en flashs. Mais comme chaque soir, elle finissait par s'endormir totalement, et replongeai 7 ans en arrière, dans cet épisode qui avait marqué sa vie, en partie car elle se sentait fautive.


- Non, je m’en fous, je ne veux pas y aller.
- Pénélope ! Hurla son père, furieux. Il n’utilisait son prénom entier seulement lorsqu’il était en colère, habituellement c’était Pennie. Cette dernière sursauta à cet éclat et lança à son père un regard noir.
- Je ne veux pas y aller ! Cracha-t-elle en détachant chaque syllabe comme si elle s’adressait à un enfant.
- Nous en avons déjà discuté ma puce… tenta sa mère. Mais son père fut plus vif et abattit violemment sa main sur la joue de sa fille. Celle-ci sentit les larmes lui monter aux yeux sous le coup du choc et sa joue se réchauffer. La haine commença à lui emplir son estomac qui se nouait de plus en plus.
- Pourquoi tu as fait ça ? Lui demanda-t-elle sèchement. Lui ne répondit rien et elle enchaîna :
- Tu penses que ça m’inciterait à venir ? Eh bien détrompe toi, vieux con !
- Tais-toi, Pénélope, la stoppa-t-il d’une voix qui respirait la maîtrise de soi. Tu viens, point final. Ta mamie compte sur nous trois.
Le sujet de la discussion avait souvent été abordé. Pénélope se sentait assez adulte, à 18 ans, pour décider de venir ou non aux habituelles réunions familiales qui se passaient une fois par mois. Elle avait fait part à ses parents de cette remarque, mais ils ne cédaient pas. Et cette prise de bec qu’ils avaient à l’instant fut la dernière qu’ils eurent.
Monsieur Hayek prit sa fille par le bras assez brutalement et la fit asseoir de force dans la voiture.
- Attache ta ceinture, ordonna-t-il sèchement. Pénélope obéit, et s’obstina à ne regarder que le dossier de sa mère en face d’elle. Ils démarrèrent dans un silence pesant, n’écoutant que le ronronnement du moteur. La chaleur à l’intérieur de l’habitacle était étouffante et le père de Pénélope ouvrit les fenêtres. Le vent vint secouer les cheveux de sa fille avec violence.
Après plusieurs minutes, un bruit assourdissant de crissement de pneu se fit entendre et sortit Pénélope de sa torpeur. Elle releva la tête vers la fenêtre, et eu tout juste le temps d’apercevoir un camion leur foncer dessus à une vitesse vertigineuse. Tout se passa très vite. La voiture fut emboutie sur le côté ou se trouvait son père, et réalisa plusieurs tonneaux avant de se stopper et de s’enflammer. Pénélope fut éjectée de la voiture par elle ne savait qu’elle stratagème et roula loin de l’explosion sans se faire aucune égratignure. Elle se releva brutalement et se tourna vers la voiture incendiée. Des larmes dévalèrent ses joues et elle poussa un cri déchirant avant de se jeter à genoux sur le sol, détruite.


Pénélope se réveilla en sursaut et en sueur, haletante. La scène de la mort de ses parents restait gravée et intacte dans sa mémoire, même après sept ans.
Les derniers mots qu’elle avait adressé à son père lui revinrent en écho dans sa tête : « vieux con ! ». Elle se releva en position assise dans son lit, furieuse contre elle-même comme à chaque fois qu’elle se réveillait. Elle ne méritait pas de vivre. Elle aurait du mourir, mais le destin en avait décidé autrement. Son enfance avait toujours été paisible, mais à son adolescence sa relation avec ses parents c’était gâtée. Ils ne cessaient de se prendre la tête sur divers sujets, notament sur la folle passion qu'elle avait pour le surnaturel. Mais Pénélope était une bonne élève, studieuse, et ses parents en étaient tout de même fiers. Après leur mort, leur fille plongea dans une crise assez violente, qui l’empêcha de continuer ses études. Finalement, elle se reprit et trouva du travail, plus pour s’occuper l’esprit que pour gagner de l’argent, car elle avait hérité de la grande fortune de ses parents.


Présent...

Depuis sa plus tendre enfance, Pénélope se passionne pour les événements irréalistes, sortant de l’ordinaire, relatant autant de faits extraterrestres que… imaginaires, comme l’existence probable de vampires, par exemple. Elle s’est constitué un dossier entier sur les étrangetés du monde, et collectionne les brochures de presse relatant les divers meurtres plutôt sanguinaires, qu’elle soupçonne être l’œuvre de vampires. Elle est persuadée que sa théorie sur l’existence de ces buveurs de sang est exacte, mais elle n’a pu le prouver. Elle ne connaît pas tous d’eux, et espère un jour en rencontrer un, à ses risques et périls… En analysant les lieux de ces crimes, elle s’est aperçue que la plupart d’entre eux se déroulaient dans la région de Seattle. Région ou elle décida de venir habiter.

Pénélope, alors âgée de 25 ans, était accoudée au balcon de l’immeuble familial New-yorkais, et admirait le paysage que l’ont voyait du 56ème étage d’ou elle se trouvait. L’habitat était vaste, riche, digne de sa grand-mère. La jeune femme réfléchissait. Dans exactement 1 heure et 22 minutes, elle partirait à Seattle pour entamer une nouvelle vie, loin de sa mamie hypocrite et farfelue, loin de l’agitation New-Yorkaise. Elle regarda une dernière fois la splendide vue et rentra.
Elle finit de préparer sa valise avec enthousiasme. L’idée qu’elle allait enfin s’envoler la remplissait de joie. Elle attrapa une petite jupe en coton du haut de son armoire, le dernier vêtement qu’elle souhaitait emporter, la déposa au dessus de son bagage et referma le tout avec fermeté. Elle était enfin prête. Elle avait de l’argent, des provisions au cas ou, ses vêtements et quelques affaires. Elle attrapa sa valise à deux mains et alla la déposer dans l’entrée. Ensuite elle alla dire au revoir à sa grand-mère, qui ne dénia même pas lever le menton. Peut importait à Pénélope ce comportement puéril de vieille mégère, elle avait l’habitude. Elle sortit de l’appartement, valise en main, et une fois dehors, elle héla un taxi.
La jeune femme regardait les nuages à travers le hublot de l’avion qui l’emmenait à l’autre bout des Etats-Unis, à Seattle, ou elle était certaine d’avoir des réponses à ses questions, d’autres indices et peut-être même des preuves… Un sourire de satisfaction s’inscrit sur son visage tandis que l’avion entamait sa descente vers la grande ville.
- Nouvelle vie, me voici… murmura Pénélope pour elle-même.
Une voix aiguë la sortit de ses pensées pour annoncer l’arrêt définitif de l’appareil, et l’ouverture des portes. Pénélope sauta sur ses pieds et suivit la file qui menait à la sortie. Elle récupéra son bagage et sortit de l’aéroport. Un taxi l’emmena à un hôtel trois étoiles ou elle séjournerai. Si ses recherches s’avisaient fructueuses, elle aviserait un logement durable, mais pour le moment une chambre d’hôtel suffirait. Pénélope paya le chauffeur sans même lui jeter un regard et sortit de l’habitacle pesant de la voiture. Elle leva les yeux vers l’imposante porte d’entrée de l’hôtel, un sourire élargit son visage et elle entra.
Pénélope entamait sa nouvelle vie.

Futur à construire...

HJ : Heu... Je vais faire mon HJ dans la partie prévue à cet effet, hein ^^


Votre âge IRL (dans la vraie vie) : 16 ans

Code : Reliques.