RPG Fascination
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 Aro Volturi [99,99999999999999999999%]

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Aro Volturi

Aro Volturi


Nombre de messages : 399
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Avatar : Ben Barnes
Âge : Vampire
Nationalié : Ombre de Thanatos
Avec : Rome.


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MessageSujet: Aro Volturi [99,99999999999999999999%]   Aro Volturi [99,99999999999999999999%] Icon_minitimeJeu 16 Juin - 14:54




Aro volturi





NOM : Volturi.
PRÉNOM : Aro.
AUTRE(S) PRÉNOM(S) : Érèbe.

AGE : Plus de 3000, 3028 pour être exacte.
NÉ(E) LE : 05/08/-1016 A : Thèbes, Grèce.
HABITE : Palerme.
CLASSE SOCIALE : La question se pose-t'elle lorsque l'on a perdu son empire ?

EMPLOI : Seigneur vampirique ?
GROUPE : Vampire Hommnivore.
DON : Celui de percer vos plus vieux souvenir, celui de connaitre vos moindres pensées par le touché.

CÉLÉBRITÉ CHOISIE : Ben Barnes


Le mal, c'est quelque chose de toujours possible. Et le bien, c'est quelque chose d'éternellement difficile.


A whole story — Spring


Mes paupières s'ouvrirent soudainement dans l'éclat de ma fureur. Dévoilant alors ces yeux froid aux iris assombri par les pensées qui m'habitaient. Droit face au vide, j'étais seul dans cette pièce délabré. Seul et préoccupé par ce mauvais rêve auxquelles je m'étais arraché. Déjà trop loin pour nourrir ma folie, mais pas assez pour libérer mon esprit de son existence. Je ne faisais que vivre dans un passé qui n'était plus rien. Dans un souvenir fané et flétri d'une gloire disparue. Une main brûlante frôla alors mon torse, me faisant tressaillir, un instant figé, je pivotais lentement en scrutant cette minuscule pièce. Lugubre et froide.

L'esprit encore embrumé par ces songes d'un passé douloureux, je reconnus ce battement régulier. Depuis quand était-elle ici ? Depuis quand m'observait-elle ? Elle qui était si fragile... Si humaine. Elle qui était si mortelle et qui avait pourtant le don de me faire chanter. Non ce n'était pas elle, mais le parfum délicat de son sang dans ces veines. Elle n'avait pas conscience de ce que j'étais, elle ne savait pas pourquoi elle était là. Mais que pouvait-elle m'apporter. Se croyait-elle assez unique pour essayer de m'arracher à mon passé ?

Sa main épousa alors mon torse, me faisant face à présent. Comment était-elle arrivé ici sans que je ne l'eûs remarqué ? Je comprenais grâce à elle que je n'étais plus que l'ombre de moi-même. Je n'étais plus Aro Volturi, j'avais cessé de l'être depuis cette révolution. Depuis cette trahison. Qu'y avait-il de plus fâcheux qu'une trahison fraternel ? Cet acte déplorable poussant son égal à la faute, à la trahison. Il n'y avait rien de plus regrettable. Rien de plus préjudiciable. Surtout lorsque cette trahison vous précipite dans le gouffre de la médiocrité. Qui de Santiago ou de Marcus haïssais-je le plus ? Qui de ce père à qui j'offris ma confiance et de ce frère à qui j'offris ma soeur méritait le plus cette haine qui me rongeait ... Lequel des deux étaient celui qui m'avait le plus poignardé. Du quel venait la plus lourde trahison ?

Mon frère à qui j'avais arraché le coeur ou ce père à qui j'avais enchaîné le coeur ? Lequel de ces deux immortels au coeur meurtri m'avait trahis en premier ? Santiago ... Toi qui m'avait privé de mes deux frères, en tuant l'un et en retournant le plus talentueux contre moi. Toi qui m'avait prit ma douce Renata et ma tendre Chelsea. Toi qui m'avait arraché mon alter ego depuis des siècles ... Sulplicia... Si j'haïssais Marcus pour sa trahison, la sienne n'était rien face au coup que tu m'avais porté, toi Santiago...

Reprenant pieds avec la réalité, je me surprenais à n'être qu'un jouet dans les mains de cette mortelle. Elle qui me poussait vers ce mur sans craindre la mort. Sans craindre le vampire. Elle finit par y arriver. Effleurant alors mon cou de ses lèvres, pensait-elle provoquer quelque chose en moi ? Quelque chose qui aurait le moindre impact ? Divine comédie. Elle ne fit qu'éveiller cette soif que j'avais depuis trop longtemps oublié. Cette soif de sang qui me brûla brutalement la gorge. Devenant alors cette priorité dans mon esprit. Depuis combien de temps ne m'étais-je pas nourris ? Depuis combien de temps n'avais-je pas goûter la texture délicate et sucrée du sang humain ? Trop longtemps, bien trop longtemps.

Un hurlement brisa le silence avant de calmer cette soif qui s'était éveillé en moi. Laissant tomber le corps, je sortis de la pièce où je m'étais retranché. Les yeux habité par la folie qui venait de m'envahir. Je reconnus Jane et Alec, mais je ne m'arrêtais pas. J'avais d'autre plan. Sortant alors de ce trou à rat qui nous servait de repère, je m'engouffrais dans les ruelles sombres de Palerme. N'ayant plus la moindre cohérence dans mes pensées... La rage et la haine venaient de prendre le dessus. Je devais tuer Santiago. Et briser ce nouveau régime qui n'avait pas plus de cohérence que mes pensées actuelles...

Voilà à quoi j'en étais réduit. Après 3028 ans d'existence, après plus de 2000 ans de règne...

Je suis né dans un monde où les hommes ne furent jamais plus que des enfants des dieux. Dans un monde, une époque où l'homme se devait de servir et honorer des chimères qu'ils n'avaient jamais vus. Je suis né et j'ai grandi avec des questions sur ce monde, des questions sur son devenir. Des question sur ce que j'étais. Nous, moi, simple mortel, qu'étions nous au juste dans ce monde, quel était mon but ? Étais-je né pour servir un dieu ou étais-je le fruit d'un jeu divin ?

Que sommes nous, hors mis un amas de chaire et de sang, que somme nous vraiment. Nous humble mortel, fidèle et dépendant aux dieux qui gouvernent. Que somme nous ? Des faire valoir de l'histoire ? De simple pions sur l'échiquier géant de la vie ? Somme nous les fou qui prendront le roi ou somme nous la tour qui se sacrifiera pour la reine ? Que somme nous vraiment ? Nous simple mortel ne pouvant rester éveillé plus d'une journée, nous simple mortel que la faim asservit ... Nous ne sommes que de fragile soldat d'une guerre qui ne nous concerne point. Nous sommes les simples objets de leur désir. Les pantins de leurs envies, serviteurs de leurs fantaisies.

Je vis le jour dans une famille croyante de Thèbes. La principale cité de Béotie en Grèce. Mes parents furent durant des années les gardiens d'un temple à l'honneur de Zeus. Le premier de la famille au regard si noir qu'en plus de Aro, j'héritais du prénom d'Érèbe. Dieu des ténèbres et du chaos. Une prémonition sans aucun doute. J'appris très vite à servir comme il se doit Zeus et ses frères. Une enfance des plus simple ponctuait par la naissance de Didyme, ma soeur. Enfant enthousiaste qui s'opposait avec force à celui que j'étais. Pourtant, ni elle, ni moi ne fîmes de vague. Respectueux des règles qu'on nous imposait.

Mais la ville d'oedipe ne fut jamais apprécié des dieux et durant toute mon enfance, je dus faire face, avec mes proches, aux colères des dieux. De nombreuses maladies, de nombreuses attaques. Mes parents finirent par nous faire rejoindre l'Italie, plus saine pour notre développement selon eux. L'Italie nous apporta son lot de bonheur, mais surtout, j'y fis les rencontres qui allaient changer mon existence.

C'était un soir d'hiver particulièrement froid, j'eus le malheurs de quitter un peu trop tard le temple où je travaillais et ne connaissant malheureusement pas la régions, je me perdis loin de la ville sans aucun repère. Je rencontrais Marcus, un enfant à l'époque. Nous sympathisâmes au point de ce décréter frère de coeur et de sang. Et puis ce fut le tour de Caius. plus distant, mais présent. Un petit trio qui ne manqua pas de marquer les esprits. Si l'on reconnaît à Marcus sa beauté, sa joie de vivre et sa sagesse, l'on me reconnaissait un certain talent dans l'autorité. À cette époque, l'on me décrivait comme étant ambitieux et déterminé, le meneur de notre petit trio. L'opposé même de Caius. Il suivait et était bien souvent cruel avec les autres enfants de notre âge. J'étais le plus vieux et Caius le plus jeune. Plus de cinq ans nous séparait à l'époque.

Et puis Marcus tomba amoureux de ma soeur, six ans plus jeune de lui. N'osant pas l'approcher par peur qu'elle le fuit. Je me rappelle du jour oui il m'avoua son amour pour ma soeur. Un jour grandiose. Cela devait faire presque dix ans que nous étions amis et il me confia qu'il n'avait cessé d'aimer ma soeur en secret durant une décennie. Marcus était vraiment pathétique à l'époque. Ce ne fut pas sa révélation qui marqua cette journée. Ce fut bien l'homme qu'il bouscula dans la rue. Grand, beau, fascinant.

Cet homme voua alors un culte à Marcus. Ne cessant de venir le voir pour lui exprimer son admiration. Et puis un jour, cet homme ce présenta. Thanatos Elytis, il demanda à Marcus si ce dernier accepterait de l'accompagner chez lui et d'y rester pour que l'homme lui apprenne l'histoire de ce monde. Lui offrant alors la possibilité de rencontrer les jumeaux de Nyx. Marcus accepta à la condition que Caius et moi soyons du voyage. L'homme accepta.

Nous quittâmes nos familles sous la coupe de cet homme qui nous appris bien plus que l'histoire. Je buvais ses paroles, j'étais en admiration face à lui. Bien plus que Marcus qui semblait souffrir de l'absence de Dydime. Et puis un soir, Thanatos nous révéla que depuis que nous étions ici, nous vivions avec des dieux. Les jumeaux de Nyx.

    — Mais, si je peux me permettre, il n'y a que vous et vos nombreux serviteurs.
    — Aro a raison, je n'ai guère vu un dieu de la mort ou du sommeil.
    — Vous êtes bien vif. Aro, Marcus, selon vous, qui est le plus apte à être un dieu ici ?
    — Je ne sais ...
    — Allons Marcus, réfléchit bien.
    — Vous ? Vous êtes le seul dont les connaissances et la beauté dépasse le naturel !
    — Aro, je te félicite.


Je n'avais que 25 ans lorsque je découvrais l'existence des dieux. Non, des immortels. Thanatos leva le voile sur son existence et les siens. Nous révélant ce qu'un mortel ne pouvait concevoir. Des êtres se nourrissant de sang aux dons exceptionnelles. Les jours qui suivirent, Thanatos nous éduqua à cette nouveauté. Nous révélant ce qu'il y avait à savoir.

Mais tant de vérité, cela était trop beau pour être vrais. Si une puissance de cette envergure existé. Je voulais en être doté. J'avais toujours souhaité être quelqu'un d'extraordinaire. Quelqu'un qui ne serait pas comme le reste de ma famille. Et Thanatos venait de me donner la solution à mon problème. Mais il ne l'envisageait pas pour nous... Il ne nous l'avait jamais proposé. Alors pourquoi nous en avait-il parlé ? Pour se nourrir de nous et faire de nos existences le pain de son royaume ? Je devais savoir.

Alors je me glissais dans sa chambre. L'observant silencieusement. Il semblait si calme, si plongé dans sa lecture que je ne pus le déranger. Pourtant il me savait présent. Ne tardant pas à me l'indiquer.

    — Que veux-tu Aro ?


Dit-il en se retournant vers moi. Se levant alors avant de me toucher l'épaule. J'eus alors la brusque impression qu'il ne voulait nous tuer, il attendait autre chose. Comment je pouvais en être certain ? Car son attitude était protectrice et non menaçante sûrement. Il ferma alors la porte avant de reprendre sa place.

    — Tu sais que tu peux me demander ce que tu veux Aro, je te sens inquiet, préoccupé... Qu'ai-je fait qui a pu te provoquer un tel sentiment ?
    — Ce n'est pas vous Thanatos. Enfin pas directement.
    — Mon immortalité te fascine et t'attire ?
    — Comment savez-vous ?
    — Aro, tu es de ceux qui sont unique et qui le pressente, l'immortalité n'est pas un cadeau, pour les gens comme toi, c'est la pièce manquante à vos existences.
    — Que voulez-vous dire ?
    — Que j'attendais que mes révélations face leurs chemins dans vos esprits, à toi et Marcus, et que vous puissiez être conscient de ce que vous vouliez.
    — Et Caius ?
    — Il n'a pas les épaules ni le charisme pour être un dieu vivant...


Marcus et moi étions les seuls à mériter ce cadeau... Mais pas Caius. Ce soir-là j'en discutais avec Marcus. Ce dernier était réticent à cette idée, mais il finit par voir, comme moi, l'intérêt d'un tel don. Le seul problème à nos yeux étaient Caius. Nous ne l'avions pas informé du refus de Thanatos le concernant. Marcus décida alors de s'occuper de L'immortel. De lui donner nos décisions. L'on refusait d'être comme lui si cela impliquait de perdre notre frère. Nous renoncions pour lui.

Thanatos ne l'entendit pas de la même oreille et préféra transformer Caius que de nous perdre. Ainsi donc nous avions gagné... Nous ? Simple mortel ? Nous avions fait plier un dieu ?

Les jours qui suivirent la décision de Thanatos furent sûrement les plus longs de nos existences. Suspendu dans l'attente. Nous en discutâmes plus d'une fois. Faire ce choix était-il le bon ? Je ne savais pas, mais j'avais déjà changé. Faire plier un dieu, mon ego en avait pris un sacré coup. Et dans le bon sens. Plus sur, plus sereins, j'étais de plus en plus dominant. Ce changement s'opéra loin de tous. Moi-seul était conscient de cette arrogance naissante. Et puis elle s'effondra un soir. Lorsque Thanatos vient nous voir. Après de longs jours d'absences.

C'était donc aujourd'hui que nous simple vie, nos existences mortelles, allaient basculer dans l'immortel. Les dernières heures, ou les dernières minutes de nos humanités étaient là. J'en étais conscient comme mes frères. C'était notre choix. Mais aucun de nous savaient vraiment de quoi serait fait notre lendemain.

    — Caius ?


Marcus et moi échangeâmes un regard. Pourquoi Caius alors qu'il n'avait jamais voulu de lui ? Quoi qu'il en soit notre frère s'avança, un peu tremblant, vers Thanatos. Ce dernier embrassa alors la nuque de notre frère, non. Du sang coula. Caius se tordit automatiquement de douleur avant de s'écrouler. Tétanisaient par le spectacle, Marcus et moi étions incapables de bouger. Paralysaient par ce que nous venions de voir.

Et puis, Thanatos disparut de mon champ de vision. C'est alors que je ressentis une profonde douleurs dans la nuque. Douleur qui se répandit presque aussi vite dans mes veines. J'essayais de lutter de rester droit. Mais mes muscles perdirent peu-à-peu toute leurs puissances.

Face contre terre. Esclave de cette douleur grandissante qui brûlait mon sang et brisait mes os. J'avais l'impression de mourir. Je m'étouffais, la pièce n'avait plus assez d'air, ou mes poumons n'était plus assez fort. Je tremblais, mon corps ne cessait d'être secoué par des spasmes nerveux. La lumière m'irradiait les yeux et mon cerveaux menaçait d'exploser. J'avais beau hurlait, me tordre sous le feu, rien ne me soulager. La douleur demeurée puissante et indomptable. Essayant sans relâche de m'anéantir de l'intérieur. Prisonnier de ma douleur, soldat de l'agonie.

La douleur ne semblait vouloir cesser. Elle demeurait puissante et exponentielle. Je ne sais combien d'heures je me tordis sous ce feu, mais mon corps finit par se détendre. Éphémère. Mon coeur semblait en prise avec quelque chose, quelque chose qui le tué... Et puis la douleur reprit. Me cambrant de nouveau, je n'étais plus vraiment conscient de ce qui m'arrivait. Plus conscient de ce que j'étais vraiment.

Cette agonie augmenta brusquement, se concentrant brutalement dans mon coeur. L'irradiant, le brulant, le compressant et puis plus rien. Je repris le contrôle de mon corps. Ouvrant brusquement les yeux, je sentis quelqu'un près de moi. La peur. Me relevant dans un souffle je me retrouvais à l'autre bout de la pièce. La lumière me brulait les yeux, les sons paralysaient mon cerveau. Et puis cette rage nouvelle, cette envie de tuer. Cette gorge qui me bruler. J'entendis un rire. Relevant les yeux. Il était face à moi. Thanatos... Il m'invita à le rejoindre. Un humain à ces côtés. Il n'indiqua du doigt l'eau du bassin.

Je compris qu'il voulait que je m'y vois... M'approchant prudemment, je n'étais pas rassuré... Après tous, il m'avait tué, enfin il m'avait fait quelque chose proche de la mort. Le regardant méfiant, je finis par baisser les yeux vers l'eau. Découvrant alors un être d'une rare perfection. J'eus peur. Me reculant brusquement je m'écrasais contre un mur. Mon visage ... mon coeur. Portant une main à mon torse, je découvris que plus rien ne battait. J'étais mort, et pourtant, toujours conscient.

    — Bonsoir Aro ... Tu es le premier à avoir repris connaissance ... Je pense que tu dois avoir faim, alors je te laisse en compagnie de serviteur, il saura te faire plaisir.


Comment savait-il que j'avais si faim ... Mon regard se posa alors sur son serviteur, non, sur son coeur. Son battement m'obsédait brutalement. Cette odeur ... Je m'approchais de lui et lui recula. Il semblait terrifié par mes yeux, par ce qu'ils dégageaient. Mais je m'en fichais un peu. Je me laissais guider, mes instincts semblaient savoir ce que j'avais à faire ... Tuer. Je mordis l'homme avant de sentir l'excitation gagner mon corps. Je jubilais, j'aimais ce qui coulé dans ma gorge et calmé cette soif. J'aimais ça. Et puis plus rien. Plus une goutte. Me reculant brusquement, je laissais tomber l'homme que je venais de tuer ... J'avais tué, pourtant, cela ne me dégoûtait pas... Non au contraire, j'en redemandais.




Dernière édition par Aro Volturi le Mar 20 Nov - 3:28, édité 10 fois
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Aro Volturi

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Aro volturi




A whole story — Summer


J'étais différent à présent. Un dieu selon Thanatos. Mais ceci n'était qu'une façade, j'aurais aimé mettre un nom sur ce que j'étais, mais je ne pus. Thanatos ne semblait pas vouloir m'informer davantage, et il était déjà au chevet de Marcus qui semblait s'être réveillé. Ne pouvant attendre, je franchis les pièces qui me séparaient de lui. Ô Marcus. Toi aussi tu avais changé. Ce regard aussi rouge que le sang que tu venais de boire, cette perfection physique. Il était beau et puissant.

Si je n'avais pas été fait dans les mêmes matériaux que lui, j'aurais pu me laisser charmer par cette aura mystérieuse. M'approchant alors doucement, il releva la tête lorsque je pénétrais la chambre. Un sourire s'affichant sur son visage. Il était toujours là. Je m'avançais plus franchement avant de le prendre dans mes bras.

    — Marcus, je crus ne jamais te revoir ...
    — Aro, mon frère ... tu es trop sensible.

Et puis lui comme moi eûmes un flash. Caius. Thanatos ne semblait pas vouloir bouger et notre frère n'était pas à nos côtés. Nous traversâmes alors le temple. Retrouvant alors notre frère prostré dans la chambre. Pourquoi Thanatos nous avait bougé, mais pas lui. Pourquoi ? J'eus mes premières pensées malsaines envers notre créateur. Il nous cachait des choses. Il nous manipulait.

Nous restâmes de longues semaines sans avoir plus de réponse. Comme-ci Thanatos attendait qu'on répond à celles qu'il se posait intérieurement. Mais non, nous ne pouvions y répondre. Et puis un soir, j'en eus assez de son comportement. Je méritais plus que de rester dans son ombre. Je le savais, nous le savions. C'est à ce moment là que je quittais définitivement l'humain que je fus pour devenir celui que j'étais. Ambitieux, autoritaire, assuré, orgueilleux sans aucun doute. Mais patient, terriblement patient. Je savais comment arriver à mes fins. Manipuler dans l'ombre, prendre son temps et au moment fatidique, porter le coup de grâce.

Alors je semais le doute chez Marcus et Caius. Révélant à ce dernier le sort que Thanatos lui avait destiné. Lentement, aux fils des semaines. Et puis ce fut le fameux soir. Celui où nous quittâmes le temple. Marcus fut le plus poli, laissant un mot d'excuse à notre créateur.

Nous nous égarâmes plus d'une fois dans les plaines aride d'Italie. Plus d'une fois nous prîmes la vie de pauvre mortel. Mais nous faiblissions malgré tous. Notre esprit flanché, nos convictions. Nous n'avions aucune idée de ce que nous étions. Aucune idée de ce que les dieux attendaient de nous. Et puis ce qui devait arriver arriva. Thanatos nous retrouva. Manquant de me tuer en un regard. Il l'aurait sans doute fait d'ailleurs. Il pouvait le faire. Mais Marcus s'interposa.

    — Thanatos, si tu souhaites prendre la vie d'Aro, tu devras prendre la mienne, tu nous tues ensemble, ou tu nous laisses partir.
    — Marcus ... As-tu seulement idée de ce que tu laisses pour lui ? Pour eux ?
    — Oui, mais Aro aurait fait de même ...

Oui, j'aurais tout fait pour garder mon frère à l'époque. Thanatos abandonna alors. Il ne pouvait tuer son Marcus. Une deuxième victoire, nous l'avions fait plier deux fois. Nous, de jeune .... Immortels ? Nous étions rien et il nous avait cédé. Nous avions un avenir. Un avenir ensemble. Marcus représentait déjà la sagesse, Caius la sanction et moi l'ordre...

Nous avions beau avoir un avenir, il ne serait possible sans atout, sans maitre. Car oui, nous ne savions quoi faire. Nous étions perdus, désorienté. Et puis ils arrivèrent. Ils étaient trois. Des regards différents sur les monstres que nous étions. Si l'un voulait nous aider, les deux autres ne le voyait pas sous le même angle. Cette femme au regard glacial et cet homme nous ignorant. Seul lui nous approcha avant engagement. Comment savoir qu'il ferait de nous des légendes et qu'il causerait ma perte ? Non, je n'aurais pu savoir à l'époque que Santigo allait me détruire.

Il était vieux, puissant et il n'avait pas l'air tout droit sorti d'un champ de bataille. Non il imposait un respect que nous ne dégagions pas encore. Il nous tendit la main, s'offrant de nous aider. Mais le plus important, s'offrant de nous dire qui nous étions. Nous étions bel et bien des immortels, mais ce n'était pas des dieux comme l'avait présenté Thanatos.

    — Vous êtes des créatures vouées à tuer pour survivre. Vous êtes ce qu'on appel des Vampires. Vos sens sont accrus et vous ne vieillirez plus ...


Il nous parla plus d'une journée sans jamais nous interrompre. Répondant aux questions les plus folles. Et puis, il prit congé avec ses compagnons. Revenant peu de temps après, nous annonçant qu'il continuerait sans ces proches. Leurs idées divergé à notre sujet. Voilà comment Santiago se retrouva à la tête de notre petit monde. Il était notre maitre, notre père. Mais vous commencez à me connaitre. Je n'aime pas être sous la coupe de quelqu'un. Et dès le début de notre histoire avec Santiago, j'avais déjà une petite idée de la fin. L'utiliser pour grandir, devenir plus puissant et important... Et enfin le soumettre gentiment.

Le temps passa. Nous apprîmes à nous contrôler, à dompter nos instincts. Nous apprîmes surtout à redevenir ce que nous avions été. Des gens civilisaient. Et puis, avec le temps, notre rage et notre soif cessa de nous aveugler. Nous n'étions plus des nouveau-nés. Nous avions passé le cap des un an. Cap qui nous permit de découvrir ce que nous valions exactement. Vitesse, puissance, sens hyper développé et pour deux d'entre nous ... des dons. Marcus se mit à découvrir la nature des relations unissant le monde et pour ma part, je découvrais que l'esprit des autres m'était ouvert au moindre contacte.

Je compris alors les motivations de Thanatos. Il avait deviné qui de nous allé posséder un don. Marcus et moi pouvions le servir alors que Caius ne pouvait que le protéger... Ainsi donc, en plus d'être puissant, nous avions des don ... Et certain s'en servait... Je ne cacherais pas que mon intérêt pour nos particularités vient directement de Thanatos. Mais contrairement à lui ... j'avais un pouvoir qui ne m'épuisait pas... Loin de là.

La cohabitation avec Santiago ne fut jamais difficile, même si le vampire ne tarda pas à découvrir ce que j'étais. Un ambitieux qui ne comptait pas rester dans l'ombre. Quelqu'un qui chercherait et réunirait les dons les plus puissants à ses côtés. L'immortalité était un cadeau. Une offrande. Si bien que les sept premières années de mon existence passèrent à une vitesse ...

C'est surement en prenant conscience de cela que je pris la décision de rentrer chez moi. Si j'avais un don, Dydime en avait surement un ? Théorie des plus folles je vous l'accorde. Mais je devais essayer. Alors je demandais à Santiago si nous pouvions retourner sur la terre de notre enfance. Ce dernier, surement rassuré par ma demande, accepta.

Retrouver la terre de notre humanité était bien étrange. Thanatos avait quitté la ville, mais pourtant ... Rien n'avait changé. Nos parents n'avaient pas bougé, toujours les mêmes situation. Ce qui se passa alors ne fut pas prévu au programme. Santiago nous avait ordonné de n'entrer en contact avec personne. Peur que nos corps figé ne réveil des soupçons. Ordre que je ne respectais naturellement pas. Kidnappant ma soeur en pleine nuit, manquant alors de la tuant. Je ne contrôlais toujours pas cette soif et son sang dans ma gorge ... Ce fut difficile d'y résister longtemps.

Mais je réussis. Guettant alors sa transformation. Elle mit trois jours. Trois jours à se tordre pour enfin se réveiller. Elle était magnifique. Je pouvais enfin la voir et la prendre dans mes bras. Oui, à cette époque je tenais à elle... Elle ne me menaçait pas. Nous restâmes de longues heures à discuter. J'avais forcé sa transformation et pourtant, elle ne m'en voulait pas. Elle trouvait cela intéressant et ne pouvait me reprocher mon choix. Je lui avais trop manqué pour cela. J'étais content et à la fois déçu. Elle n'avait aucun don. Du moins je le croyais.

J'avais disparu depuis quatre jours à présent et je doutais fort que Santiago allait apprécier ma prise d'initiative. Pourtant, lorsqu'il vit Dydime, il fut bien incapable de se mettre en colère. Ce fut plus tard, alors que ma soeur discutait avec Marcus que Santiago réaffirma sa position. Je pense que je compris à cet instant que Dydime avait bel et bien un don. Même Caius souriait à ses côtés. Mais son don n'était pas d'un grand intérêt, rendre heureux ... Non, je n'allais pas prendre le pouvoir avec le sourire de ma soeur.


Les années passèrent et je dus me résoudre à cesser de m'opposer à Santiago. Notre relation finit par s'arranger. Un calme qui dura plusieurs dizaines d'années. Un calme et une entente ne pouvant fonctionner que sur nos effort mutuel. Bien que dans le fond, ce soit bien moi celui qui devait le plus d'effort. Mon arrogance et vanité s'étant sans aucun doute affirmer au même rythme que le vampire que j'étais. Mais bien au de la, j'avais acquis une sagesse et un calme que peu réussirent à me faire perdre. Un calme qui faisait de moi un vampire d'avenir.

Notre premier siècle était bien derrière nous lorsque Marcus sa laissa allé aux plaisirs de la chaire avec une louve. Ce qui m'étonnait d'ailleurs. Non pas que Marcus fut, à cette époque, quelqu'un de discret. Mais qu'il l'ait fait avec ma soeur, l'amour de sa vie, à nos côtés… Cela m'étonnait réellement. Avait-il renoncer à se donner à ma soeur ? Je le crains.

Et puis, quelques semaines après ces ébats. La louve arriva, un enfant dans les bras. Je vous laisse imaginer nos tête lorsqu'elle affirma que l'enfant était de Marcus et qu'il allait devoir s'en occuper. Un enfant, c'était irrationnel, impossible. Pourtant il n'y avait peu de doute possible. L'enfant avait la beauté de Marcus. Et cette beauté ne fit que grandir au fils des jours. Comme lui. Car oui, le descendant de Marcus était spéciale. Un enfant au même régime alimentaire que nous, mais un humain malgré tous. Une grande énigme. Mais personne ne sembla rejeter l'enfant. Personne sauf Didyme. Aurait-elle été secrètement amoureuse de mon frère ?

La situation aurait été surprenante dans ce cas la. Marcus ce refusant à Didyme par peur d'être rejeter et Didyme jalousant le fruit de son union avec une autre. Ainsi donc elle partit. Laissant le monde avec Hadrien. Cette merveille. L'enfant atteint son âge adulte à dix ans. Et pour quelqu'un de dix ans, je n'avais jamais vu autant de maturité. Un poil arrogant et vaniteux comme moi, mais sage et souriant comme son père.

Hadrien, Adonis, Ares. Autant de noms qui ne pouvait que cerner le personnage. Un dieu en puissance. Un dieu qui chaque pleine lune devenait un loup, comme sa mère. Un loup puissant, redoutable. Hadrien était un hybride. Mais cela bien sur, nous en n'avions pas conscience. Pour moi, comme pour les autres, il n'était qu'un semi mortel. Mais un semi mortel puissant. Il était beaucoup à mes yeux. Un neveu fascinant et respectable, un enfant de potentiel. Oui, Hadrien avait un don et pas des moindres. Il muselait nos dons à volonté. Me rendant aveugle aux pensées des autres et empêchant Marcus de lire les relations. Hadrien avait conscience de sa puissance et c'est cette conscience qui me fit l'aimer.

Il n'était pas dupe, loin de là. Il était bien plus censé que la moitié d'entre nous. Un sens qui lui fit comprendre que je n'appréciais guère me sentir muselé ainsi. C'est donc, naturellement que mon neveu cessa de m'imposer son don. Il resta près de cent ans à nos côtés, cents ans de discussion philosophique et de bon moment.

Et puis un jour mon neveu, celui que je considérais comme un fils et qui portait mon frère en culte, demanda s'il pouvait faire cavalier seul. S'il pouvait voyager, nous promettant de nous retrouver tous les cinquante ans. Nous ne lui refusâmes pas. Après tous il était assez grand. C'est donc en l'an 789 avant JC que mon cher Hadrien Adonis Ares quitta notre petit groupe pour découvrir seul le monde qui était le notre. Un au revoir douloureux pour Marcus et moi-même. Nous nous étions beaucoup attaché à l'enfant. Pas comme Caius qui s'en fichait pas mal et Santiago qui, avait eu des rapport cordiaux avec l'enfant, mais ne c'était jamais conduit avec lui comme un père.

Le temps courait, j'avais déjà 336 ans. Trois siècles à tuer et vivre sous la coupe de Santiago. Trois siècles à reconnaitre la puissances. Nous nous opposions plus vraiment. Je m'étais assagis et il avait surement comprit comment je fonctionnais. L'an 680 avant Jésus Christ marqua toutefois l'une de mes plus grande confrontation avec Santiago. Une confrontation où je pris conscience de ses faiblesse. Conscience qu'il exigeait de moi ce qu'il n'exigeait pas de lui. Cela bien sur, il ne le sut pas.

La raison de cette confrontation était Suplicia. Cette déesse blonde et mortel qui me sourit un soir ou je chassais dans les compagnes Grecque. Une femme innocente qui ne vit pas le monstre que j'étais. Une femme qui me demanda sans crainte si je pouvais la ramener chez elle. Une femme qui s'était perdu et qui demandé de l'aide à un vampire. Un acte naïf qui me charma malheureusement. Une humaine, une simple humaine provoqua en moi une succession d'émotions que je pensais disparue. Une femme que Caius faillit tuer… Il pensait sans doute que je n'avais plus assez faim et que donc, il pourrait s'en nourrir sans problème. Sauf que voilà… Je ne voyais pas les choses sous le même angle. Cette accident, Suplicia ne le comprit pas. Elle ne savait pas que les hommes devant elle était tout sauf humain.

Ce soir là, Marcus ne me loupa pas. Il me rejoint au sommet d'une colline, Santiago et Caius loin derrière nous, dans un petit temple abandonné. Il posa sa main sur mon épaule avant de s'asseoir à mes côtés. Restant longtemps silencieux. Attendant sans aucun doute que je lui demande ce qu'il avait perçu. Mais je ne lui demandais rien. Je savais qu'il savait… Je ne pouvais pas me mentir. Alors il prit les devants.

    — Je n'aurais pas cru vivre assez vieux pour voir mon frère succomber à une femme …
    — C'est un homme qui n'a pas su voir que ma soeur l'aimait qui me dit cela ?
    — Une autre histoire Aro, ne mélange pas tout. C'est de toi qu'on parle là. Pas de moi.
    — Tu me connais trop bien, essayer de manipuler nos discussion est devenu impossible.
    — À l'aube d'une nouvelle année, tu pourrais offrir l'immoralité à cette femme.
    — Tu me conseil de la condamné à l'immortalité pour mon plaisir ?
    — Tu n'es pas le seul à avoir succombé… Et depuis quand renonces tu à quelque chose que tu veux ?
    — Depuis que cette chose me fait chanter…
    — Aro, je ne te dirais qu'une chose, il est bon de forcer les choses par moment…


Et puis il se leva, me laissant penser. Cette femme était-elle vraiment celle que j'attendais, ou sa beauté n'était qu'un mirage à mes yeux. Je ne pouvais m'y résoudre. Je ne pouvais la sacrifier sans qu'elle prenne conscience de ce que j'étais. Alors je la fréquentais durant de longues semaines. Une relation que Santiago n'approuvait pas. C'était malsain à ses yeux. Un immortel comme moi n'avait pas à jouer avec une humaine. Mais je ne jouais pas. Loin de là. Au contraire même.

Ce qu'il y avait entre Suplica et moi, ce n'était pas un jeu. Les semaines devinrent des mois et elle finit par m'embrasser. Réveillant le monstre que j'étais. Je manquais de la tué. Mes émotions étaient trop violente pour que je puisse les gérer. Alors je cessais d'allé la voir. Ne pouvant décemment pas allez la condamné gratuitement alors que je l'aimais. Sauf que voilà, elle ne voyait pas les choses comme moi.

Un soir, elle arriva au vieux temple. Ne faisant pas attention à Caius, Santiago et Marcus. Elle se planta là, entre quatre vampire. Me fixant avec un regard qui aurait pu me faire peur si je ne la savais pas si fragile. Ne me voyant pas faiblir, elle lança un regard à Marcus. Regard auquel mon frère répondit par un hochement de tête. Qu'avais t'il pu lui dire.

    — Un ami m'a dit que vous n'étiez pas du genre à renoncer lorsque que vous vouliez quelque chose. Vous me désirez comme je vous désir. Alors forcer le destin Aro.
    — Marcus …
    — Je n'ai fait que lui dire que tu ne pourrais te laisser aller avec quelqu'un qui n'est point comme nous…
    — Je rêve ou vous venez de révéler notre existence pour une femme.
    — N'ayez crainte Seigneur Santiago, je ne souhaite pas votre perte, ni celle de votre espèce, je veux juste être la seule qu'Aro pourrait voir nue et ce, même si je dois en mourir.
    — Vous êtes irrationnelle Suplicia.
    — Oui Aro, je vous aime de façon irrationnelle. Et je veux être votre.


L'attirant loin des autres, je fis ce qu'elle désirait. Je fis d'elle un vampire. Je la vis se tordre sous le venin. Mais je ne pu la surveiller toute la nuit. En effet Santiago vient me trouver. M'accusant d'avoir pousser Marcus à la faute, nous nous échangeâmes des mots très dure. Nous aurions pu en venir aux mains si nous étions pas si … respectueux l'un de l'autre. Et même si la situation se calma quelque peu, des tensions demeuré entre nous. Nous n'allions pas oublier si rapidement ce que nous nous étions dit. Oui Santiago, je savais très bien ce que tu pensais. Et j'allais te faire tomber pour avoir penser de tel chose de moi.

Mais le principale n'était plus Santiago, mais bien Suplicia. Sa transformation s'acheva et je découvrais la femme, qu'elle était. Magnifique, vraiment. D'une rare beauté. Et cette femme serait la mienne. Les mois qui suivirent alors furent dur pour tous le monde. Sa condition de nouveau né alors que nous étions déjà bien vieux. Des difficultés que j'assumais pleinement. Je n'allais pas laisser Santiago évincer ma femme si facilement.

Alors siècles passèrent. Hadrien tenait toujours sa promesse de venir nous voir. Passant quelques jours ou quelques mois avec nous. C'était toujours un plaisir de le revoir. Il était toujours aussi agréable, même si son égo semblait s'être développé de façon exponentiel. Et puis Didyme revint. S'opposant à Marcus. Je lui avais dit qu'elle l'aimait, et c'est surement cette révélation qui les unit pour de bon. Oui, Marcus et Didyme ensemble, après presque 800 ans de séparation. Heureux pour eux, mais aussi jaloux. Elle accaparait mon frère, je n'aimais pas forcement cela. Mais elle ne me menaçait pas. Du moins pas encore.

Et puis ce qui devait arriver arriva. Santigo et moi n'eûmes plus une once d'amour l'un pour l'autre. En effet le vampire décida de créer un ordre. De faire quelque chose contre les nouveaux nés et pour garder notre secret caché. Sauf que voilà. Son idée m'intéressait, son principe était alléchant. Mais ce qu'il fit avec moi et face à moi me déplu complètement. Il nous imposa, à Caius et à moi, un lieu de règne, Rome. Nous étions les Volturi. Et Santiago m'énervait particulièrement. Je n'aurais jamais pu le faire tomber s'il ne m'avait pas donner les armes.

Vous souvenez vous de qui refusait ma relation avec Suplicia ? Et devinez qui entretenait des relations assez physique avec une humaine ? Oui Santiago. Notre cher Santiago. Amoureux d'une humaine, Rosa. Il fit donc l'erreur de partir en la laissant sans défense en m'ayant plus d'une fois offensé. Il l'a laissé, pauvre mortel. Je ne pus laisser passer une tel occasion et je l'emprisonnais. Santiago mit beaucoup de temps à comprendre ou était sa belle. Mais lorsqu'il entra dans le palais, le regard noir, lorsque son regard se figea sur ma petite personne affalé sur un canapé, lorsqu'il me saisit par la gorge … Lorsqu'il fit tout cela, je compris que j'avais gagné et ce avant même qu'il ne prenne la parole.

Sauf que voilà, la puissance qu'il mit dans son geste me fit douter. Allait-il me tuer ?

    — Je ne te demande pas où elle est. Tu vas me le dire, bien entendu.


Je lui souris en seul réponse. Je pus sentir ses doigts se resserrer sur ma gorge comme pour étouffer ce qu'il ne pouvais étouffer. Loupé Santiago. Tu avais perdu au moment même ou tu m'avais condamné pour Suplicia. Tu avais eu raison de te méfier de moi.. Mais tu avais eu tort de te laisser charmer. J'allais te faire tomber avec un plaisir non dissimulé.

    — Je vais même te l'amener. Mais pour la récupérer, ce qui est autre chose, il faudra que tu me rendes un service.
    — Un service que je ne te rendrais pas si tu n'avais pas ma femme en otage ?
    — D'où l'utilité de l'enlèvement, tu t'en doutes.


Me lâchant alors, il finit par reculer. avouant plus ou moins ma victoire. Après Thanatos que j'avais soumis, c'était son tour. J'aimais briser des mythe, que voulez-vous.

    — Je n'ai pas besoin de te sortir l'habituelle menace ? Comme quoi un refus la condamnerait, que je serais triste de devoir te tuer avec elle...
    — Me tuer ? Rien que ça ?
    — Bien sûr. Si tu ne veux pas faire ce que je veux, tu deviens un obstacle. Et Caïus, Marcus et moi nous devons d'avancer. Nous supprimerons les obstacles.
    — Dis-moi ce que tu me veux, au lieu de gazouiller comme un imbécile.
    — J'ai trouvé que ton idée d'une puissance pour diriger les vampires était une excellente initiative. Par contre, ton premier choix en guise de chef laisse à désirer.
    — Laisse-moi deviner. Je te laisse raconter à tout le monde que tu es le tout-puissant Aro, futur maître de tous les vampires, et que je suis le moustique qui s'écrase ?
    — Mieux que ça, mon vieux maître, mieux que ça. Tu vas me promettre que tu t'engageras dès sa création dans l'ordre des Volturi. Tu vas me promettre de me servir comme le plus fidèle de mes serviteurs, de ne jamais parler à personne ni de ton âge, ni de ton rôle auprès de nous. Tu vas me promettre d'être un exemple de loyauté et de...
    — Un chien aveugle, sourd et obéissant, si possible d'une soumission absolue et t'adorant de tout son coeur. C'est ça que tu veux de moi ? Navré mais je me contenterai de la base sans les nuances.
    — Promets.
    — Je promets.


Echec et mat. Santiago n'était plus. C'est ainsi que je devins Aro Volturi, le plus influent vampire de ce monde. Frère de Marcus et Caius. Un trio dirigeant et puissant qui n'allait pas tarder à êtres respecter par tous le monde. Sauf que voilà. Les début ne furent pas des plus reposant. En effet, j'eu Laa, cette femelle vampire qui pourrait me faire tomber et pouvait redoré l'existence de Santiago. Elle devait être détruite. Non être enchainé sans pouvoir me faire de l'ombre.

La retrouver, la faire tomber. Elle n'était plus rien, juste un pion caché aux yeux de Santiago. Un pion que j'avais soumis. Gagnant au passage un précieux soldat. Octavia. Je compris rapidement que la femelle aurait trahi Laa pour Marcus, car oui, elle semblait l'aimer. L'aimer au point de commettre l'irréparable pour lui. Elle sera donc l'arme qui me servira à protéger Marcus si jamais … Si jamais Marcus était menacé. Je n'avais juste pas pensé que cela viendrait aussi vite. Et surtout, je n'aurais pas crus, que c'était contre mon frère que j'utiliserais la femelle.

Mais Marcus s'éloignait de plus en plus. Étant heureux avec ma soeur. Tant mieux pour eux, mais j'avais besoin de mon frère. J'avais vraiment besoin de lui. C'est grâce à Octavia que j'ai appris que mon frère souhaité me laisser. Elle vint me voir un soir, attendant sûrement que je retienne mon cher frère. J'avais choisi Marcus à ma soeur. Un choix cruelle ou je n'allais toutefois pas me mouiller. Pas fou. D'autant que j'avais quelqu'un prés à tout pour Marcus, du moins, j'avais crus comprendre qu'une allégeance parfaite lui serait faite. Marcus vient me demander mon accords, confirmant les pensées d'Octavia. Alors, peu de temps après le départ de Marcus, je fis appeler Octavia. C'est donc, assez rapidement que je vis sa crinère blonde arriver dans la salle. Lui souriant presque automatiquement, je lui proposais de s'asseoir.

    — Vous aviez raison ma chère. Mon frère souhaite nous quitter... J'aurais tant aimé le garder à mes côtés, mais l'amour qu'il porte à ma soeur n'est pas compatible avec mon affection pour lui... comme ton amours n'est pas réalisable ... Il serait dommage que mon frère nous quitte ...
    — Qu'entendez vous par cela ?
    — Je n'entends, je pense juste qu'il serait bon que tu prouves ton amours et que tu retiennes Marcus avec les siens ...
    — Soyez claire !
    — Change de ton avec moi Octavia... Tu sais très bien comment retenir Marcus...


Je n'étais pas fou au point de te dire clairement ce que j'attendais. Non, tu devais le faire toi même, tu devais le penser. Je ne devais pas être impliqué. Et puis dans le fond... Je n'avais rien demandé de précis. Juste que tu retiennes mon frère. Alors le soir même, je rendis visite à mon frère et à ma soeur. Celle-ci ne tarda pas à me sauter dans les bras, m'embrassant pour me remercier d'accepter. Souriant à Marcus, j'invitais Didyme à me lacher.

    — Un peu de tenu Didyme ! Pas devant Marcus !
    — Essayez un peu et je préviens Suplicia mon frère !
    — Didyme, pourrais-tu me laisser seul avec Marcus, j'aimerais ...
    — Être seul avec ton cher et tendre ! Bien sur Aro, je vais me promener afin de profiter une dernière fois des chaleurs de Rome
    — Prends garde Didyme, c'est la pleine lune ...


Et là j'eus une illumination. Octavia n'aura pas besoin d'être accusé de quoi que ce soit... Une pleine lune... les loup n'avaient plus de contrôle sous l'astre lunaire... Une attaque était si vite arrivé... J'avais le suspect parfait et je venais de m'en rendre compte. Oui Didyme, prend garde à la pleine lune.

    — Je sais Aro, nos amis canidé sont excités en cette nuit argenté, mais ne t'inquiète pas... Je ne risquerais pas ma vie.
    — J'espère bien Didyme.
    — Je t'aime ...
    — Et moi non Marcus ! C'est plus que de l'amour !


Et puis elle quitta la pièce. Dansante et joyeuse de son départ futur. Octavia saurait saisir cette chance ? Je n'en doute point. Je regardais autour de moi. Ils comptaient vraiment partir. Comment pouvait-il m'abandonner ? Pourquoi ? Qu'avais-je fais de mal... Je pris alors mon frère dans mes bras. Le serrant fort. L'idée qu'il puisse me fuir été assez forte que cette accolade soit ... Pleine d'émotion. Et puis je pris mes distances. Prenant place sur une chaise.

    — Plus d'un millénaire à tes côtés... Tu vas me manquer Marcus...
    — Toi aussi...


Nous discutâmes de mon désire qu'ils reviennent régulièrement. Une discutions qui ne pouvait laissé en rien présagé l'avenir funeste de Didyme. Le jours se leva enfin et Marcus commençait à s'inquiéter. Didyme n'était toujours pas rentré. Octavia l'avait donc fait ... parfait. Un problème de moins.

    — Elle aurait dû rentrer Aro !
    — Tu connais Didyme, elle a trouvé une enfant et je ne sais pas, elle lui explique son bonheur...
    — Elle aurait prévenu.
    — Reste ici, ne t'inquiète pas. Elle est peut-être avec Suplicia entrain de parler des frères Volturi. Je vais la chercher et lui dire que son cher et tendre l'attends.
    — Merci, tu as sans doute raison.


Me voilà à espérer que Suplicia n'est pas mis le grappin sur Didyme et que ma chère Octavia eut réussi sa mission. Glissant dans les couloirs royaux du palais, je trouvais sans grande surprise Suplicia seule. Faisant alors mine d'être inquiet, je réunis tout le monde dans une grande salle. Face à moi les visages intriguaient d'immortel, parfait... Marcus arriva alors, observant du haut de l'escalier ce qui se tramait.

    — Didyme Volutri n'est pas rentré hier... Cherchez-là !


Je vis son visage se décomposer. Cela nous prit plus d'une journée, ne pouvant nous exposer au soleil, nous devions être prudent. Et puis Octavia me fit signe de la suivre. Nous éloignant de la ville pour s'approcher des villas Lycannes. Des traces de feu... Des bijoux appartenant à Didyme... Octavia était maligne, très maligne. L'on aurait pas pu rêver mieux. Un lycan sortit alors de la demeure et ma réaction se fit sans appel. L'attrapant pas la gorge avant de le coincer contre un mur. Un grognement de haine, puis le reste de sa meute arriva. Prête à me sauter dessus alors que les Volturis se regroupait eux aussi.

    — Où est-elle ?
    — Qui ?
    — Ma soeur ?! Ne joue pas au imbécile avec moi sale chien !
    — Lâchez moi ! Je ne sais pas où elle est !


Sachant Marcus non loin d'ici, je lâchais le lycan pour me diriger vers les restes de cendre. Prenant alors une chaîne en or et lui montrant. Je crus entendre au même moment Marcus perdre pieds. Comprenais-tu ? Ta chère femme était morte. Tu n'avais plus de raison de fuir à présent. Plus aucune. Tu resterais ici, avec moi et ce jusqu'à ta mort.

    — Qu'avez-vous fait d'elle ?
    — Rien !
    — Désolé, je ne vous crois pas. Les Volturi sont là pour faire régner l'ordre. Hors, vous risquez de révéler notre existence. Pour avoir tuer mon sang, moi, Aro Volturi, vous déclare comme étant ennemie à notre race et donc ... Je vous condamne à la destruction. Cette décision prend effet ... Maintenant !


C'est ainsi que début la plus grande guerre de ce monde. Un guerre que les hommes ne pourrait connaître. Une guerre ou les loups garou se feraient tuer en masse. Tuer pour un crime qu'il n'avait pas commis. Mais qu'importe. Ce jours là, la meute entière fut décimé. Mais ce ne fut pas le plus important. Ce fut Marcus, sa réaction qui m'arracha le sourire. Croisant le regard avec Octavia. Avais-tu fait une erreur ? Sans aucun doute.

Depuis ce jour Marcus n'est plus qu'un fantôme s'opposant à moi. Un fantôme ne donnant son avis que lorsque la situation le demander. Mais j'avais perdu Marcus. Il n'était plus. Même Hadrien ne reconnut son père. Lui qui était le fruit d'une union interdite à présent. Mais nous ne pouvions le rendre responsable d'une chose qu'il n'avait pas commis. Du moins pas lui. Il était de notre sang. Alors, après avoir vu Marcus absent sur un fauteuil, l'enfant de sang mêlée m'attirait dans une pièce. Loin de tous. Voulant sans aucun doute me parler de son père.

    — Qu'est-il arrivé à Marcus ?
    — Didyme a été tué par des loups...
    — Je dois partir ?
    — Non Hadrien ...

Un échange bref qui signa l'éloignement de mon neveu. Il avait compris que malgré notre attachement pour lui, son sang nous repousserai inconsciemment.

Un échange bref qui signa l'éloignement de mon neveu. Il avait compris que malgré notre attachement pour lui, son sang nous repousserai inconsciemment.

Le temps fut assez calme, du moins jusqu'en l'an 500. Les Volturi ne dominaient pas le monde. Enfin le monde Vampirique. C'était les Balanesco. Un groupe de vampire Roumain appliquant une monarchie sans pardon. Fier et sur de leurs puissances, ils ne firent pas attention à nous. Ils ne virent pas leurs murailles s'écrouler... Et un jour, le coup de grâce. Nous volâmes leur trônes sans ce faire prier. Utilisant la violence pour les soumettre. C'est trop tard qu'ils comprirent que personne n'arrêter les Volturi. Année de grâce. Ils n'étaient plus. Plus rien d'assez influent pour diriger ce monde.

Ils jurèrent notre mort et leurs ris au nez. Me tuer ? Sérieusement ? C'est un blague ?

Cette victoire était un renouveau pour nous, une renaissance. Rome n'était plus assez forte pour nous. C'est pour cela que nous quittâmes la ville impériale pour Volterra. Dans l'ombre, mais puissante et forte. La ville que Santiago nous avait refusé dans le passé. Double victoire. Nous étions au sommet à présent. Au sommet du monde. Rien ne pouvait plus nous retenir d'être la main qui dirigerait les vampires.

Des années de règnes qui nous menèrent naturellement à rechercher ce qui avait fait défaut aux Balanesco. Des Vampires, des gardes. Nous avions deux millénaires derrière nous et notre puissance de frappe était toujours aussi limité. Ce n'était pas acceptable. Ce fut Skelton, un vampire crée par Marcus qui fut notre première arme dans ce monde. Un jeune homme plein de puissance que Marcus n'éduqua malheureusement pas. Ce que je dus faire afin de faire de lui un vampire digne de ce nom. Et quel vampire ! Capable de cacher sa présence, de se rendre humain alors que sa puissance était celle d'un vampire.

Je fus un peu dure avec lui, je dois bien l'avouer. Il s'était attaché à une mortel et n'avait pas la force de la transformer. Dommage. Je lui forçais alors la main. Lui faisant boire son sang. Chose qu'il vecu très mal. Mais comme Marcus, il resta. Il nous devait beaucoup et je pense qu'inconsciemment, il nous était reconnaissant.

Et puis nous rencontrâmes beaucoup de vampires, mais peu avait la puissance de Skelton ou d'Hadrien... Mon cher Hadrien qui avait disparu de ce monde. Je pense que malgré moi, je m'inquiétais pour lui. Le pensant mort ... Et puis nous tombâmes sur une femme des plus ... Sublime. Un potentiel en tant qu'humaine que l'on retrouverait sans aucun doute chez la vampire. Car oui, le lui proposait d'être des notre. Jouant sur le fait que sa beauté ne serait pas éternelle. Elle fit la fière et refusa. Sauf qu'elle se ravisa rapidement. Oui, l'éternelle jeunesse était bien le plus grand défaut d'une femme. Ce fut Laa qui s'en chargea. Toujours sous mes ordres et ne pouvant se rebeller tant que je tenais son cher Santi.

Ce fus au tour de Skelton de refaire des siennes. La création de Marcus décida tous simplement de nous quitter. Affaiblissant un peu plus notre famille. Sauf qu'un de perdu, dix de retrouvé. Je n'eus pas longtemps à attendre avant de trouver une nouvelle perle. Un comte vaniteux à qui l'on ne refusait rien et à la mémoire un poil capricieuse. Vlad Tepes. Encore un qui fut piégé par la beauté et puissance éternelle.

Pauvre gamin qui fut séduit et transformé par Elizabeth Bathory... Mais comme elle. Il ne resta pas dans nos rangs. Nous leurs offrions l'immortalité et ils préféraient nous tourner le dos ! Bande d'ingrat. Et dire que je dus attendre plus d'un siècle et demi pour retrouver quelqu'un digne d'être un Volturi. Démétri Haros, vampire doter du don de traquer efficacement ses victime devient Volturi sans trop de difficulté... Suivit de très prés par l'énigmatique Roland. Vampire bouclier décidant de changer de nom et me demandant de ne pas révéler le sien. Ainsi, Roland devint Matthew.

Un homme sage et puissant. Non, un vampire sage et puissant de bonne compagnie, mais loin d'être fidèle à notre cause. Il me l'avoua. Et cette franchise fit que j'acceptais ouvertement son choix de ne pas nous suivre aveuglement. Après tous il n'était pas Marcus, ma vie ne dépendait pas de Matthew.

Mais la vrai découverte de ce XVII ème siècle fut sans aucun doute les jumeaux. Jane et Alec. Deux enfants extraordinaire. Jane, la jeune fille, était capable de nous provoquer, même à nous des maux de têtes. Mais rien qu'exceptionnellement puissant dans le fond. Alec lui, pouvait nous donner l'impression d'un vide. C'était intriguant, car ils semblaient fonctionner en paire. L'une augmenter les sensations, l'autre les réduisé. Alors je ne leur menti pas. Allant les voire et leurs disant qui j'étais. Étrangement, mon annonce ne leurs fit pas si peur que cela. Comme-ci cette optique les intéressait.

Le seul problème était leur jeune âge. Douze ans. Nos lois interdisaient les enfants immortels. Je disparue donc de leurs vie en leurs promettant de revenir. Je pensais sincèrement revenir cinq ou six ans après. Mais les humains était stupides et ils se lancèrent dans une chasse aux sorciers qui conduit les jumeaux sur le bûcher. Treize ans, jeune, plus acceptable mais jeune. Caché dans la foule, j'assistais à la mise à feux. Je devais prendre une décision et vite. Violer nos lois et avoir deux éléments prometteur ou rester là à ne rien faire ? Je n'avais personne pour la main. Personne pour les créer... Je pris trop de temps à réfléchir, car Alec sembla succomber.

Ma décision était prise. Glissant dans le feu en ayant conscience qu'il pourrait me tuer. Je libérais les jumeaux. Les attirants le plus rapidement possible loin du village. Jane était mourante et Alec l'était sûrement. Mordant Jane en première, je passais à Alec lorsque je le vis se tordre sous mon venin. Elle au moins serait sauve. Alec en revanche ... Il ressemblait à un animal pas assez cuit. La moitié du corps brûlait et plus le moindre signe de vie.

Le mordant une première fois à la gorge, ce fut une première tentative sans succès. Je devais être plus proche du coeur. Je mordis alors ce dernier jusqu'à ce qu'il y ait une réaction. Mes tentatives n'avaient pas été vaine... Il finit par convulsé. Enfin. Leur sang m'avait affamé et ce village avait bien faillit les tuer. C'est donc sans le moindre remords que j'y tuait quoi me nourrir. Ramenant alors quelques proie pour les jumeaux qui ne tarderait pas à revenir à eux.

Un spectacle long, mais gratifiant. Leurs corps brûlaient finirent par se régénérer et enfin, ils devinrent beau et fort. J'avais eu raison de croire en leurs puissance. Le fait que Jane est subit plus longtemps la douleur du feu léchant ses chaires firent d'elle une vampire capable d'imposer n'importe qu'elle douleur. Alec de son côté fut bercer par sa mort. À sa renaissance, il fut donc capable d'anesthésier toute personne présente prés de lui. De magnifique renaissance. Des gardes d'exceptions.

Mais pas le temps de souffler. Ce siècle était un siècle de lumière. Un siècle de puissance. c'est en 1691 que je rencontrais cette vampire du prénom de Heidi. Une femme exceptionnelle capable de provoquer la confiance chez ceux qu'elle croisait. Une sorte d'hypnose. Un don qui devient rapidement Volturi. C'est grâce à des gens comme elle que nos rang gonflèrent un peu plus chaque jours. Car après elle, Renata, Chelsea, Afton et bien d'autre arrivèrent dans la garde. Des personnes plus puissante les unes que les autres. Chealsea par exemple était capable d'empathie, comme Octavia. Elle permit de garder Marcus à nos côtés. Renata fut une véritable aide, un soutien sans pareil.

Et puis les ennuies arrivèrent de nouveau. Maiwen, une vampire nous mit en danger et fut exécuter, devant les yeux de sa protéger bien évidemment. Et puis, pas très longtemps après, Corin arriva dans nos rang. Brave garçon, don exceptionnelle. Bref, ce qu'il manquait à nos rang. Sauf que voilà... Il copina avec Santiago et je crains durant des mois qu'il monte une vendetta inutile contre nous, moi. Sauf que non, Santiago partie en mission et Corin resta.

Je vous passe les éternelles jugement des Volturi pour arriver en 1840 et l'arrivé d'un vampire un peu particulier... Carlisle Cullen. Un vampire se nourrissant d'animaux et médecin. Un grand amis et bon conseillé qui rejoint le nouveau continuant au début de la première guerre mondiale. Le temps était passé bien vite. Il filait à une vitesse ... Nous approchions des trois millénaire. Cela faisait deux millénaires que Marcus jouait au mort... Je n'aurais jamais cru qu'il tienne autant à ma soeur. Triste constat. Bien que j'aime profondément Suplicia, je ne me pense pas capable d'un tel sabordage de ma propre existence en punition...

Marina, la tendre amie de Santiago et proche de Démétri que j'exécutais sans peine. Exécution signa sans aucun doute le dégout de Démétri pour moi. Car depuis, il ne fit qu'exécuter silencieusement ses missions sans jamais s'investir. Pauvre chose que tu es Démétir. Inutile et impuissant. Enfin face à moi. Nous étions alors en 1961. Dernier événement marquant avant sa découverte. Non, leurs découverte ...



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Aro Volturi

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Aro volturi




A whole story — Autumn


Comment savoir que découvrir leurs existence allait signé la fin de l'âge d'or des Volturi. Comment savoir qu'à cause d'eux... Nous allions vivre une descente aux enfers ? 2004, cela fait 3020 que je vivais sur cette planète. 3020 à chercher la puissance. Et rare était les fois ou en une semaine, je rencontrais trois prodigue. Je n'irais pas par quatre chemin. Je fus fasciné par cette déclinaison de mon don. Fasciné par Edward Cullen. Ce fut bien pire lorsque je rencontrais Alice Cullen... Voir l'avenir des personnes qu'elle connaît ... Quelle puissance ! Mais le mieux resta cette humaine. Amoureuse d'un vampire, voulant donner sa vie pour lui.

Impressionnant. Cette situation me rappelait la mienne. Suplicia voulant mourir pour être à mes côtés. Cette jeune femme acceptant son destin avec plaisir. Et cette capacité... Un don si puissant pour son état. Une simple humaine bloquant les pouvoirs de ma très chère Jane... Une simple humaine m'empêchant de lire dans ces pensées. Si Caius la voulait morte, moi je la voulais vampire. Alors j'acceptais sans aucune appréhension sa requête. Qu'elle fasse ses adieux et qu'elle devienne Vampire... Je ne pouvais refuser pareil demande.

Ainsi donc nous les laissâmes partir. Malgré le comportement de Edward. Mais j'allais sérieusement les surveiller. Ainsi, quand Seattle fut frappé par une vague violente de meurtre, je crus que Bella était des notre. Mais mon instinct me hurla le contraire. Ainsi donc j'envoyais les jumeau, Felix et Démétir voir ce qui se passait. Donnant les rênes à Jane, car me sachant espionné à présent. Non Alice, je ne t'avais pas oublié. Ce fut malheureusement une fausse alerte... Une simple bande de nouveau-né.

Et puis presque un an après ma rencontre avec Bella, Irina Denali vint m'informer que les Cullen possédé une enfant immortelle. Bien, notre décision étaient prise... Il était temps d'aller voir les Cullen et de leurs rappeler les lois de ce monde. Ils avaient peut-être des dons exceptionnelle, mais rien comparé à ce qu'il venait de faire. Leurs singularité ne les sauverais pas. Loin de là. Il était donc temps de taper fort et de rappeler qui était les dirigeants de ce monde. Les Cullen n'étaient que des nouveaux-né face à nous.

Lorsque nous arrivâmes sur place, nous fûmes forcer de remarquer que les Cullen s'étaient assez bien préparé à notre réponse. Beaucoup de vampire dont des visages loin d'être inconnue. Le conflit commença assez fort avant qu'Isabella, magnifique vampire à présent, ne nous prouver qu'aucun enfant n'était vampire ici. Il n'y avait que sa fille. Renesmé. Elle m'offrit alors la possibilité de lire les pensées de l'enfant et de me rendre compte par moi-même qu'elle n'était pas un danger. Contrairement à sa mère, l'enfant s'offrait aux autres. Et ce fut claire. L'enfant n'était pas vampire.

Ainsi donc nous avions fait le déplacement pour rien... Quelqu'un devait payer et ce quelqu'un fut Irina Denali. Elle nous avait menti, elle nous avait appelé pour rien... Mais surtout, les Cullen venaient de gagner contre nous et notre crédibilité en avait pris un coup.

    — Bien, excusez-nous de vous avoir si rapidement juger, mais la loi et la loi... Et quand quelqu'un nous induit en erreur ...Il doit payer.


Des cris, des plaintes, mais je n'en avais que faire. Irina fut exécuté pour fausse accusation. Devant repartir face à cette imposture, je ne pouvais que penser à l'enfant... Une Hybride comme ils disaient. Hadrien en était alors... Un retour difficile à Volterra. Une défaite, non, une humiliation publique... Mais surtout, nous n'avions pas eu Bella, Alice et Edward... Un échec complet qui me plongea dans une rage noir.

Et dire que ce ne fut que le début. à peine trois ans après Laa fut libéré d'un façon inconnue. Rendant l'arme qui tenait Santiago. Et puis ce fut au tour de Heidi de nous quitter pour son amour mortel. Notre régime perdait sa grandeur sa puissance et ce fut la chute libre. Mariage de Vlad avec une pauvre vampirette. Elle avait des hybrides et je voulais les tuer. Un mariage électrique dans le fond. La femme de Vlad m'offensa en m'attaquant. Et je pris la décision de tuer ses hybrides. Sauf que quelqu'un m'en empêcha. Bella. Elle préféra me rejoindre plutôt que de savoir sa fille en danger.

Un acte désespéré qui réussit à me faire épargner sa fille et les enfants de Vlad... J'avais enfin Bella. Elle était mienne. Elle se plia alors à notre régime alimentaire. Devenant mon précieux jouet. Jane la jalousa, mais Bella était si parfaite. Momentanément supérieur, les Volturi regagnèrent du terrain. Mais nous avions trop perdu. Nous avions trop joué avec le feu... Et notre paix serait sans aucun doute de courte durée.

La trahison allait venir de l'intérieur. Au sein même de nos rangs. Et cela, je ne le savais pas. Je scanais les mauvaises personnes ou celle dont je connaissais déjà les pensées... Nous étions proche de la fin, proche d'une nouvelle ère sans les Volturi... Et comme les Roumains dans le temps, nous allions perdre notre place sans s'en rendre compte... Qu'avions nous fait ? Pourquoi notre chute allait-être aussi violente ?



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Dernière édition par Aro Volturi le Mar 21 Juin - 13:04, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Aro Volturi [99,99999999999999999999%]   Aro Volturi [99,99999999999999999999%] Icon_minitimeJeu 16 Juin - 14:55




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A whole story — Winter


J'avais vécu 3027 ans et en une nuit, je perdus tout. Santiago avait préparé une vengeance de taille. Il avait décidé de me faire tomber et ce le plus tôt possible... Comment cela était il possible ? Ou même acceptable. S'opposer à nous, nous pousser dans nos retranchement. Cette révolution comme ils se plaisent à l'appeler. Une révolution qui me coûta mes deux frère. Si Caius mourut, Marcus retourna simple sa veste. Une blessure bien plus grande que la mort de ma femme. Suplicia. Bien plus grande que celle de Felix, Renata et Chelsea.

J'en étais réduit à fuir si je voulais un jour venger ce qu'ils m'avait retiré. Fuir comme un lâche devant l'immobilité de Marcus. Fuir et demander à Démétri son aide. Fuir et voir Skelton me regarder... Les événements s'était enchaîné bien plus vite que je ne l'aurais voulu. Cette royauté n'était plus.

Mais Santiago avait fait des erreurs. De grave erreur. Comme celle de s'entourer des roumains. Roumains qui n'aspirait qu'à retrouver leurs trônes. Roumain qui le tuerait dès qu'il en aurait l'occasion. J'en étais sur et certain. Et Marcus serait en première ligne. Santiago... Combien de temps comptes-tu survivre ? Combien d'années ? Car jamais tu ne dépasseras le siècle. Jamais les Roumains attendront si longtemps. Ta chute sera plus violente que la mienne et ce jours la, tu comprendras que je n'étais pas à évincer... Non, l'on ne trahissait pas Aro Volturi. L'on ne se mettait pas à dos un vampire aussi intelligent que manipulateur ... Des erreurs tu en auras fait, mais celle-là fut la pire.

Nous étions en 2012, je n'avais plus rien. Sauf ma folie instable qui m'embrassait chaque jour. Je n'étais plus. Aro n'était qu'un fantôme. J'étais ruiné, nous vivions dans un lieu insalubre indigne de nos personnes. Comme des lycans, comme des chiens. Drame d'une existence que d'avoir douté au luxe pour ensuite goûter aux souffles de la terre.

Mon seul réconfort fut sans aucun doute Hades. Panthères noir venant tous droit de Medan et me vouant un culte à l'égale de Jane. Lui qui me ramena un autre animal de compagnie du noms de Bianca. Trouver ma force dans des animaux longtemps torturé. J'étais tombé bien bas... Mais Hades était d'un profond soutien. Je ne serais dire ce que je serais sans sa présence. Au même titre de Jane. Leurs fidélité aveugles me calmaient les jours difficile. Mais c'était toujours temporaire. Jamais bien long.

Ou était passé le calme et la sérénité de mon visage ? Ou m'étais-je perdu ? Ô Marcus, prend garde à toi. Moi qui t'aime tant pourrait te faire payer ta trahison... La mort ne sera rien face à ce que je vous ferais une fois mon trône retrouvé. Il ne me reste plus qu'à trouver les armes. Hadrien peut-être. Si jamais mon neuveu est vivant t-il de faire revenir son père à la raison ? Et Thanatos. Divine comédie souhaitant ma mort. Voudrais-tu m'aider à reconquérir Marcus ?

L'avenir est obscure. Mon présent est ténèbres... Mais bientôt, Aro Volturi renaîtra de ces cendres tel un phenix et ce jours-là .... Vous prierez pour votre vie.



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Aro Volturi

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MessageSujet: Re: Aro Volturi [99,99999999999999999999%]   Aro Volturi [99,99999999999999999999%] Icon_minitimeMar 21 Juin - 15:48

BON FINI ! Mais correction en cours, car là c'est pas relu... Euh, 20 pages Word ... J'en ai marre, j'avoue, j'ai un peu expédié la fin (voir totalement).

Je vous viole, et le premier qui me dit que je l'ai oublié je le tue ... NÉ MARRE !
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MessageSujet: Re: Aro Volturi [99,99999999999999999999%]   Aro Volturi [99,99999999999999999999%] Icon_minitimeMar 21 Juin - 17:52

J'adore ! Bravo pour ce travail de titan Roro !
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Marcus Volturi

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MessageSujet: Re: Aro Volturi [99,99999999999999999999%]   Aro Volturi [99,99999999999999999999%] Icon_minitimeMer 22 Juin - 1:43

Mon frèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèère *__________________________*
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Un fantôme

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MessageSujet: Re: Aro Volturi [99,99999999999999999999%]   Aro Volturi [99,99999999999999999999%] Icon_minitimeSam 2 Juil - 0:30

Bon mon chéri, T'ES VAAAAALIIIIIDEEEEEEE ! j'ai pas lu la fin en fait mais je lirai, genre heu... plus tard... On m'a dit qu'elle était bien, alors voilà, et puis bon... *sort*
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Lucas Randour
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MessageSujet: Re: Aro Volturi [99,99999999999999999999%]   Aro Volturi [99,99999999999999999999%] Icon_minitimeSam 2 Juil - 0:39

Avoue que c'était long pour tes pauvre noeil ! (la fin c'est du passage extrême sur les gens ><)

Et il manque les 0,000000000001% comment tu oses me valider ?!

(Merci au passage ! même si je vais m'en prendre plein la gueule T_T)
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Rebecca Klington

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MessageSujet: Re: Aro Volturi [99,99999999999999999999%]   Aro Volturi [99,99999999999999999999%] Icon_minitimeSam 2 Juil - 0:40

Mais non, pas plein la gueule *tousse*
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MessageSujet: Re: Aro Volturi [99,99999999999999999999%]   Aro Volturi [99,99999999999999999999%] Icon_minitime

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