Nox Lear [Vamp's] * voix des anges * [Bella ???!]

Nom : Lear

Prénom(s) : Nox, Xander

Age : 9ans depuis 1770 ans

Catégorie : vampire (avec l'autorisation de Bella ^^)

Classe sociale : extrêmement riche mais sa richesse se trouve disposés sur plusieurs comptes dispersés dans le monde, dont un aux caraïbes.

Lieu de résidence : Seattle

Famille : A présent, il se trouve totalement seul mais par le passé, sa seule vraie famille fut sa mère, esclave d’origine suédoise dont il a oublié le nom par dépit. Il lui reste des doutes sur l’identité de son père, néanmoins il semble que ce soit le maître de la maison, qui n’a jamais daigné baisser les yeux sur lui. Par pure vengeance égoïste, Nox l’a saigné de ses propres mains. Par la suite, il ne s’est vraiment attaché à personne, à part à Aro Volturi et son maître, Lucius…

Caractère : Nox étant avant tout un enfant, il garde le caractère taquin de ces derniers, en ayant tendance à jouer avec la vie de ses victimes. Cependant, après 1770 ans, sa personnalité si enfantine est devenue celle d’un adulte ; il gère lui-même son argent, discute avec une étrange maturité qui trouble souvent ses interlocuteurs. Dans ces moments, il se fait passer pour un enfant précoce mais son intelligence tourne à plein rendement Il se laisse facilement approcher pour blesser plus facilement par la suite, habitué à retourner sa veste et à se montrer haïssable. Néanmoins, il est souvent touché par le mauvais sort des gens et essaye de les faire souffrir le moins possible lorsqu’il les exécute, bien que ses jeux soient cruels. Il est capable de compassion, se montrer affectueux et hautain. Il sourit souvent, petit hypocrite. Durant les années 1939-1945, il s’est montré sous l’aspect d’un collaborateur caché, plus connu sous le surnom de « Corbeau Blanc », autant avouer qu'il lui est aisé de se montrer indifférent au sort de milliers de personnes. Il penche plus dans son intérêt, gamin égoïste et méprisant. Il ne fait pas confiance facilement et brode sur les détails lorsqu’il raconte son histoire à quelqu’un. Tel que nous le connaissons, c’est tout de même l’un des plus vieux vampires de l’Histoire. Il n’est pas très intéressé par le passé, faisant mine de pardonner ceux qui l’ont vexé pour les attirer dans un coin tranquille par la suite. Il cherche toujours à comprendre pourquoi son corps est resté celui d’un enfant, gardant l’impulsivité de ces derniers. Chercher à comprendre Nox, c’est chercher à regarder 17 siècles dans son regard. Il n’est pas partageur, déteste facilement et se cache derrière des sourires amusés. Il joue avec les sentiments de son entourage, fait des avances aux hommes plus âgés, se montre imprévisible et sournois avant de les voler avec le plus de discrétion possible. Le vampire se montre tout de même quelque peu maladroit avec les enfants. Il ne les comprend pas et les hait, car eux ont une chance de grandir, alors que lui l’a perdu bien trop tôt. Ce mauvais coup du sort l’a rempli d’aigreur, il ne respecte pas ses aînés et se moque des vieilles personnes. Il est sarcastique, gracieux lorsqu’il parle. Sa façon de prononcer ses mots reste empreinte d’une certaine dignité élégante, il refuse de laisser savoir qu’il a été un esclave autrefois, sn honneur passe avant tout. Il est quelque peu narcissique et adore qu’on s’occupe de lui. L’humilité n’est donc malheureusement pas sa plus grande qualité et si une personne qui ne lui plaît pas lui adresse la parole, il reste simplement muet. « Les moches ne méritent pas d’exister » murmure-t-il souvent… Il joue à la victime lorsqu’un homme plus âgé abuse de son corps, mais il n’en a pas grand-chose à faire, son être appartient encore et toujours à Lucius, son mentor… Enfant, il est taquin, curieux, souvent amusé par les aléas que la vie fait subir à d’autre. Il est chanceux aux jeux d’argent, et assez précoce. Adulte, il est sérieux, charismatique et complètement incontrôlable. En société, il apparaît comme un enfant extrêmement bien élevé, mais au regard vide. L’indifférence se peint sur ses traits comme une épaisse couche de vernis. Ses objectifs comptent avant le reste : réussir dans la vie. Lorsqu’il n’a pas envie de répondre, il reste silencieux et plongé dans ses pensées ; c’est un expert en philosophie et a apporté son conseil à de nombreuses personnes par le passé. Hors, il peut tout autant être cruel, garçon à deux faces. Le plan qui attire le plus son attention est celui qui lui rapportera le plus d’intérêt, il est calculateur...

Histoire :

L’enfant se cramponnait au tablier de sa mère, ses longs cheveux blonds dorés collés à son visage rond par la sueur qui poissait son front. Ses yeux humides débordaient de larmes, et ses mains pitoyables s’agitaient fébrilement, sans trouver une quelconque utilité. A 8 ans, à peine, ce n’était qu’un petit garçon trop malingre, au teint maladif. « Il ne survivra pas. »Avait murmuré la maîtresse de maison lorsqu’il était né, petit nourrisson emmailloté entre les bras frêle de la jeune esclave. Pourtant, le garçonnet avait survécu, s’était assagi. Sa mère, esclave originaire de Suède, avait, au contraire, trop souffert des contraintes climatiques de la Grèce. Ses longs cheveux tout aussi blonds que ceux de son fils tombaient par poignées, alors que la maladie se creusait déjà sa place dans son organisme affaibli par les maigres repas. « Non, il n’est vraiment pas gentil. »Soufflait-elle le soir, allongée sur sa couchette et tenant l’enfant contre elle avec attention.

Hors, de là où elle se trouvait à présent, allongée sur la margelle dure d’un puit bouché, elle ne pouvait pas faire grand-chose pour son fils. Il se lamentait, émettant les sons rauques d’un animal apeuré par l’approche de la mort. La Mort qui sent fort le macchabée, qui empuantit l’atmosphère. La femme sait que lorsque son corps se sera refroidi, les maîtres la jetteront aux ordures. Les esclaves ne valent même pas la nourriture qu’ils mangent, valeur négligeable. Aussi, seule la douleur de l’avoir perdue pourra maintenir son garçon en vie. Cet enfant issu du viol et de l’abus, mais qu’elle aimait de tout son cœur quand même. Ces grands yeux bleus pleins de larmes qui se posaient sur elle la rassuraient, elle pouvait partir tranquille. Sa respiration se ralentit, tandis que son cœur se faisait chant fragile d’une alouette :
- Non ! Répliqua le garçonnet, outré face à la maladie
- Nox, si je t’ai appelé ainsi, c’est pour que tu ne tombes jamais dans la Nuit. Retournes un jour tu réussis… à t’émanciper, dans notre patrie et n’abandonnes jamais.
Les pupilles liquéfiées par la fièvre de la femme tremblotèrent un instant avant que ses paupières gonflées ne se ferment sur les démons de la chaleur qui l’envahissait, faisant frémir ses bras décharnés. Ses lèvres craquelées s’étirèrent en un mince sourire tandis qu’elle abandonnait la vie. Après tout, il n’y avait plus rien à faire. Si elle avait eu le courage de surmonter ces dernières années, c’était par la force de son fils, mais le temps a passé et les temps sont durs…

L’enfant hurla, déchiré, animal sans vocabulaire. Il ne savait sûrement pas que l’année qui suivrait serait la dernière à souffrir, aussi il n’économisait plus ses forces en cris de tristesse. Il aimait sincèrement sa mère, qui l’abandonnait à présent sans remords à la triste vie d’esclave. La douleur poignardait son cœur et dans son dos, la maisonnée s’agitait sans prendre garde à ses larmes d’enfant. Non, personne ne prenait la peine de recueillir les perles délicates de ses yeux liquides, si semblables à ceux de sa mère. Elle gisait, elle se perdait, il se détruisait, installé sur la pelouse sans confort. Lorsqu’un esclave prédisposé aux leçons des enfants des maîtres vint prendre le pouls de la femme, il se jeta sur le corps maigre, comme pour le protéger de cette main hardie. Seulement, l’homme lui confirma que déjà elle se refroidissait, ses pieds étaient froids. Il n’en hurla que plus puissamment, petit fauve abandonné. Mais le corps fut bientôt emmené, et, du haut de ses 8 ans, il ne pu rien y faire, griffant ceux qui s’approchaient trop prés de lui. Il mit quelques mois à oublier que sa mère avait pu être gentille avec lui. Cette dernière avait fini entre les crocs du cerbère de la maison, dîner fort inutile mais moisi par la maladie. Nox devait faire son chemin seul. Et lorsque l’on est esclave, rien n’est moins aisé. S’il s’enfuyait, il serait sûrement repris, puis tué. Il n’y avait que la gratitude des maîtres à attendre. En vain…

GRANDE SOEUR !!!!!

rerererererebienvenue ^^



LLevana : *adopte Nox*

Il devait travailler tout le jour, à chercher de l’eau à la fontaine du quartier ou à servir aux cuisines, tâche harassante et bien trop dur pour un corps frêle comme le sien. Les enfants de la maison se moquaient souvent de ses étranges cheveux blonds, dont les mèches gracieuses battaient le long de son visage rond, ainsi que de ses grands yeux bleus si profonds. Hors, depuis la mort de sa mère, il n’avait pas acquis un grand vocabulaire, s’exprimant souvent à la manière d’un petit sauvage docile. « On oublie vite à cet âge-là. » Souffla la maîtresse de maison en lui jetant un regard en coin. Il est bien vrai que la souffrance dûe à la perte de la femme s’était vite estompée, l’indifférence mécanique peignant sur ses traits un masque étrange de dureté mature. Pourtant, il pleurait encore en secret, pelotonné sur sa couche sale, pour une douleur qu’il s’efforçait au mieux de cacher. Ce ne fut qu’une année plus tard, en 237 après le messie, que sa vie bascula pour toujours. Oh, c’est bien un début digne d’un bon roman mais l’ombre qui suivait l’enfant lors de ses trajets à la fontaine n’en restait que plus présente. L’ambiance légère d’un homme vicieux, drapé dans sa toge avec une élégance anachronique, ses yeux étrangement rouges fixés sur le petit être. Enfin, un soir de printemps, alors que l’olivier embaumait les rues d’Athènes, Nox se glissa dehors pour l’éternelle corvée d’eau. L’ombre se glissa dans son dos, colla ses lèvres glacées à son cou avant de percer la petite gorge gracile à peine voilée. L’enfant hoqueta, ses jarres se brisèrent au sol tandis que son corps s’abandonnait aux mains du vampire. Il faisait si noir tout d’un coup et la douleur qui irradiait dans son cou, brûlante, lui rappelait la souffrance de son cœur :

- Pas souffrir, pas souffrir !!!! Hoqueta-t-il, son tortionnaire aspirant goulûment son sang

La vie le quittait et il ferma les yeux avec nervosité, les lèvres entrouvertes. Il ne pouvait plus se débattre malheureusement et l’inconscience vint, réconfort rassurant. Il poussa un soupir alors qu’il sombrait dans le coma… Pour n’être réveillé que par une douleur sourde qui irradiait dans tout son corps. Allongé sur une vague paillasse dans un coin de cuisine, il hurlait à s’en déchirer la gorge, écartelé par la souffrance qui l’assommait une nouvelle fois. Son décor se brouillait dans son regard vague, de longs crocs ivoiriens poussaient dans sa dentition désordonnée, sa peau devint quasiment translucide. Mais la souffrance seule restait. Lorsqu’il se redressa enfin, trois jours plus tard, ce fut pour voir le monde sous un nouveau jour. L’homme qui l’avait mordu se trouvait accroupi à côté de sa paillasse. Nox aurait voulu lui exprimer ce qu’il ressentait mais les mots ne sortaient pas, il se rendit alors compte qu’il n’avait absolument aucun vocabulaire. Seule une nouvelle faim rageuse l’envahissait. L’être aux longs cheveux noirs fit venir une servante et lui fit pencher le cou vers le jeune garçon, qui entreprit de mordre dans l’artère, avec l’efficacité d’un professionnel. La femme ne réagissait pas entre ses mains, l’homme l’observait avec bienveillance, comme si tout cela ne le concernait pas :

- Je suis Lucius… Se présenta-t-il, dés que l’étrange dîner de l’enfant fut terminé

Le petit leva la tête vers lui, un filet de sang coulant sur sa lèvre supérieure :

- Tu en auras plus si tu fais ce que je dis. Comment te nommes-tu ?

- Nox…

- Es-tu esclave, comme tu m’as laissé le voir ?

- Oui…

- Donc, c’est la liberté que je t’offre, mais il faudra m’obéir. Le veux-tu mon garçon ?

-…

- Je vois. Il faut d’abords t’apprendre à lire et à parler avec plus d’efficacité. Ce n’est pas ainsi que je veux présenter mon nouveau disciple.

- Pourquoi ?

- Pourquoi quoi ?

- Pourquoi… disciple ? Questionna l’enfant en abandonnant le corps de l’esclave

- Parce que tu me parais un enfant excellent. Tu sauras écouter mes leçons et surtout… tu es beau.

La main pâle aux longs doigts fins de l’homme erra sur la peau glacée du garçonnet, qui la fixa d’un air interrogateur. Liberté… Ce mot éveillait un sens lointain en lui. Il lui avait donc fallu changer pour l’avoir, et tout cela pour obéir de nouveau à quelqu’un…

Les jours qui suivirent ne devaient pas le décevoir sur ce point. Lucius le laissa tranquille quelques jours dans sa maison, afin qu’il s’habitue à son nouveau statut. Ainsi, l’enfant vampire courrait toute la journée dans les grandes pièces sans savoir exactement le nom de ce qu’il était devenu. Il ne pouvait s’empêcher de se jeter sur les esclaves qui passaient dés qu’il en croisait une et, en six jours, la superbe villa se vida petit à petit :

- Nox, il ne faut pas tuer à tort et à travers. Le gronda gentiment son nouveau mentor, avant de lui donner un résumé des quelques préceptes de sa race

- Il faut… tenir les humains à notre merci ? Répéta le nouveau né d’un ton doux.

- Exactement. Nous sommes des vampires, nous nous nourrissons de leur sang.

- Des ?

- Des créatures se nourrissant du fluide vital des humains. Nous sommes immortels et ils sont à nous, ils nous appartiennent !

Lucius se montrait un professeur acharné et exalté. Ses traits en lame de couteau s’adoucissaient dés qu’il enseignait à l’enfant la langue latine ou les citations vampiriques. Par bonheur, Nox apprenait vite et l’homme lui amenait souvent de nouvelles victimes. Acheter des esclaves restait chose facile durant l’Antiquité. Ainsi l’enfant passa sa première année de vampire enfermé dans la grande demeure de son mentor. Il n’eut aucune envie de visiter l’extérieur, bien trop passionné par la beauté du jardin de l’homme. Lorsque enfin, il eut la permission de sortir dans Athènes, la ville lui sembla bien changée, merveilleuse et pleine de couleur. Il déambula seul dans les rues, tout contrôle pris sur lui-même. Ses mains erraient au hasard des bourses avec rapidité et les dissimulaient sous sa pauvre toge d’esclave. Il ne connut jamais réellement la fonction que Lucius avait dans la grande capitale mais il était sûr que le vampire ne manquait pas de moyens, pour pouvoir se payer une grande demeure. Seulement, Nox décida de se confectionner son propre pactole, à l’aide de ses talents de chapardeur, ainsi que de sa petite taille. Athène connut une grande ère de vol à la tire, sans que jamais on ne pu attraper le coupable. Epoque qui dura durant 20ans, grâce à la discrétion de maître Lucius. Entre temps, ce dernier réitéra plus fermement ses avances à Nox, qui finit par les accepter, sans réticence. A courts intervalles, l’homme revenait dans le lit de l’enfant, abusant de son corps glacé et ferme. Mais aucun dégoût ne venait troubler l’éternel garçonnet au visage de marbre. Il passait ses journées à cheminer dans la ville, à voler les passants. Il cacha son butin dans un petit coffre que lui confia Lucius et en 258 après J-C, le vampire mentor décida enfin de partir vers d’autres cieux. Destination Katérini, petit village niché au creux de l’Olympe, où l’attendait sa prétendue fonction d’intermède des Dieux. Nox, devenu de marbre, visitait à présent le lit de son maître sans que celui-ci ne le demande :

- Maître Lucius ? Murmurait-il, tandis que les lèvres délicieuses erraient sur ses épaules délicatement musclées

- Ne m’appelles pas ainsi lorsque nous sommes seuls.

Il avait perdu toute pudeur et parlait de lui-même parfois comme d’un automate. Devait-il considérer avoir réussi son objectif ? Il se retrouvait immortel et meurtrier. Ses canines firent de nombreuses victimes parmi la population rurale. Des années encore passèrent dans une ambiance calme, sans qu’ils ne se soucient des guerres de conquête qui faisaient rage autour d’eux. C’était une vie simple qu’ils traversaient sans difficultés. Chaparder à longueur de journée et faire l’amour le soir, dans un silence quasi-total. Non, pas de honte à avoir sur ce point. L’enfant s’était déjà constitué une agréable petite fortune lorsqu’il s’aperçut la première fois de son don. Lucius lui avait ramené un petit cheval de bois d’une de ses sorties, que le garçonnet avait tourné et retourné :

- Je ne suis pas un enfant.

- Qu’est-ce que tu es alors ?

Le petit blond se posait précisement cette question, les mains serrées autour du jouet; Lucius se figea, pantelant :

- Comment as-tu fait cela ?

- Quoi donc ?

- Tu m’as semblé apparaître un instant sous ta forme d’adulte. Allons, réessayes !

L’enfant se tourna vers un miroir, mais la face luisante ne lui renvoya que son propre reflet :

- Je ne comprends pas…

- Cela doit être donc ton don. Chaque vampire possède un don précis. Comme je t’ai enlevé la possibilité de grandir un jour, ton organisme s’est adapté en fonction. Si j’ai bien compris, tu pourrais émettre une apparence différente de la tienne. Cela confirme les inquiétudes, il faudrait que je t’emmène voir l’un de mes amis, en Italie. Marmonna le mentor, pensivement

- Qui donc ?

- Aro Volturi…

Le jeune garçon leva les yeux vers l’homme, laissant rouler sur son palet ce nom étrange. Aro Volturi… 40ans s’étaient écoulés dans la petite ville de Katérini, durant lesquelles Lucius avait déclaré que les Dieux lui avaient accordé une jeunesse éternelle. Jupiter est un homme bon. L’enfant ne risquait rien à courir tel quel dans les rues vides du village, attirant dans des coins sombres les passants. Personne ne remarquait cette ombre blonde et gracieuse. Dés qu’il eut la connaissance de son don, il s’employa à le peaufiner, le testant sur quelques adultes, sous le sourire bienveillant de son maître.

Enfin, en 294 après J-C, le grand départ fut donné pour partir à Volterra, ville où le grand Aro s’était réfugié. Arrivés là-bas, Lucius demanda au vampire, en tant que vieux camarade, s’il aurait la possibilité de prendre en charge Nox quelques centaines d’années, à l’abri du regard des mortels. Au vu des capacités de l’enfant, Aro accepta de bon cœur et Lucius partit un beau soir de printemps vers d’autres horizons, sans dire aurevoir à son disciple.



[à suiiiiiiiiiiiiiivre xD]

hihiiii =)


Bienvenue à ton new perso ma belle

Elli*ait un gros gros poutou à Nox*

Cassie*lui donne les clès de son duplex *

Pfffiou ca dvient même plus la peine de te souhaiter la bienvenue mdr

Jolie fiche pour l'instant *-* - faudra jme mette à la lecture ^^ -

Biienvenue ma choute!^^

Un perso de 9ans, hu hu ça va être marrant!

oooh... y se fait une topine vamp' ? C'est-y pas meugnon....

LLevana : *gaga à 200000 %*

Hisa : MON GRAND FRERE C'EST LE MEILLEUR ^^

oh je l'aime ce petit, je l'aime, je l'aime, je l'aime !
Attila ? uuuuu...
et si je te dis Jack... ça te dis quelque chose ? ^^ (laisse planer le mystère)
j'adore Aro mais ce qu'il a fait à Nox...

Kity : PAS BIEN !!!! Je vais faire de son éternité un enfer ! (offre à Nox un cadeau pour le consoler et lui fait un câlin)
Sid (se joint au câlin) : c'est qu'un vieux c*n Aro, toi t'es mignon et tordu...
Kity : tu es parfait
Kity&Sid (font un gros bisou à Nox)

Hisa :Mon ch'tit Nox.....

Mais siiii, t'a du talent, grand frère T^T
*gros câlin*

hiiiiiiiiii t'as mis longtemps à revenir j'ai cru que Aro t'avais...

Sid : mais naaaaaan
Kity : on sait jamais...

j'aiiiiiime ton histoire ! Nox recordman des vampires ? ^^

Kity *offre une bouée canard à Nox*

Cear, une fois transformé, se révéla être l’une de ces créatures malveillantes et rusées, un point de plus pour l’œuvre de son créateur. Le défunt Svolrg, originaire de Suède, grand blond finement musclé, n’est finalement qu’un pion de plus pour Nox. Cette fois, enfin, il se décide à l’éduquer de telle manière à ce qu’aucun écart ne soit toléré, et une famille, aussi puissante que celle des Volturi, naîtra de ces soldats.
En quelques mois à peine, il lui parle des différentes manières de tuer, il l’entraîne aux manipulations, il le pousse aux mauvaises actions, et Cear, seulement, le respecte. Le maître reste avec son disciple à Athènes. Ils attendent l’avènement d’un nouveau siècle. En 1445 enfin, ils repartent vers d’autres horizons, en direction de la Prusse. Cear démontre des dons de manipulation avancée, ainsi que des talents dans le vol d’information. Un lien étrange se noue entre lui et son mentor ; il semble à Nox qu’il n’ait plus besoin de personne, sans même songer à vivre une relation charnelle avec l’homme. Se glisser dans son lit serait se dégrader.
1446, l’actuelle Berlin. Ils œuvrent pour faire grandir la cité, l’établir en tant que future capitale. En 1456, Cear propose un deuxième homme à la métamorphose. Nox l’étudie sous tous les angles, avant de daigner le mordre. Svann devient Eat. It. Une armoire à glace, coiffée d’une crinière de cheveux noirs, et dont les yeux, tisons ardents, brûlent au fond de leurs orbites. Lui, constitue le garde du corps du trio, le militaire. Il se prend aussi d’affection pour son maître et ressent du mépris pour Cear. Ex-garde du palais de l’actuelle Berlin, il rechigne à suivre les ordres d’une seule personne mais ce garçon à l’air si pâle…
Il manque encore quelqu’un, murmure souvent Nox. Ils font régner une loi étrange dans la petite cité, les poignes de fer de Eat se referment sans pitié sur ceux qui transgressent la loi. On parle à présent d’un enfant qui contrôle tout dans l’ombre. L’enfant qui connaît le maire. L’enfant au teint si livide qu’on dirait qu’il est mort. Et ses étranges gardes du corps… Hors, ils ne furent pas assez prudents et l’actuelle Allemagne n’était encore que trop plongée dans le barbarisme. Ils fuient en 1470, poursuivis à cause de « sorcellerie » ; les chasses aux sorcières sont déjà présentes dés le XIIéme siècle mais jamais encore, ils n’avaient montré à ce point leur plein pouvoir sur les hommes.
Ils s’exilent en Amérique, et s’échinent à créer l’histoire. L’année 1485 salue une bataille mémorable contre un clan de Loups garous. Durant l’affrontement, Eat est blessé à mort. Cear l’abandonne sans regrets, en achevant l’un des derniers Loups. Ce n’est qu’à cet instant que l’enfant vampire se rendit compte à quel point l’être qu’il avait créé était cruel. Ils repartent sur les routes à deux. A nouveau, 25 ans d’errance avant qu’ils ne s’arrêtent dans une petite ville, comme deux voyageurs. Ils se font une vie de roi, à coups d’escroqueries, petites ou grandes. Le temps file encore une fois durant 20 ans, durant lesquelles Nox apparaît sous son apparence d’homme mûr. Il envoie encore de l’argent vers l’Europe, et choisit une nouvelle compagne à leur duo. Une jeune fille trouvée en ville, d’une quinzaine d’années. Après l’avoir mordue, Nox la rebaptisera « Lil’ », une pré adulte attachante et sincère, qui avoue le reconnaître comme un fils. Il la hait déjà lorsqu’elle commence à lui dire cela. « Je n’ai pas besoin de mère ». 1526, ils repartent, le temps d’enseigner à Lil’ les préceptes du vampire. L’enfant voit que Cear aime sa compagne, il en est même fou. Avant de laisser des liens réels se nouer avec la jeune femme, il les libère tous les deux. « Fuyez ».
Et puis, il les abandonne, simplement. Il part au Canada, où il rencontre un autre vampire « Well ». A deux, ils créent des nouvelles fonctions de l’écriture. Il resta 100 ans avec lui, rien de plus, rien de moins. Après, départ pour l’Europe à part d’un bateau qui coule en route. Il se retrouve à Madagascar. Il aide à construire plusieurs cités et enseigne aux indigènes une dizaine d’années, avant de repartir à nouveau, en faisant une épingle par l’Asie. Il s’arrête en Chine, pays dans lequel il reste 30 ans, à le parcourir de long en large. 1636, famine en Inde, il aide à déboiser le pays d’un surplus de population. Nouvelles épidémies pour le peuple qui n’y voit que du feu. 1656, retour en Italie, auprès d’Aro. Il lui parle de toute son existence et se demande s’il ne peut pas tenter à nouveau l’expérience. Le vieux hausse les épaules, l’enfant sourit. Il part vers l’Angleterre en 1664, où il croise un bel homme brun. Coup de foudre. Il le mord et le renomme « Sid », qui devient rapidement un as dans la musique. L’enfant rit à nouveau. Ils tuent ensemble durant 20 années, avant qu’il ne le prie de revenir avec lui à Volterra. Sid le porte souvent sur ses épaules, ou dans ses bras. Aro le regarde avec défaitisme, bien je m’en foutisme. 1700, ils prennent quelques années de vacances. 1800, Nox se replonge dans les sciences occultes. 1850, l’enfant participe à la Révolution Industrielle. 1900, Sid a envie de partir découvrir le monde, le garçonnet le relâche. 2000, après 100 ans à se tourner les pouces, Nox retourne en Amérique. Plusieurs escroqueries à son actif ( fort facile de tirer du fric à des vieux pédophiles). Et puis 2007, l’enfant arrive à Forks. Pourquoi ? Vacances…

[et voilààà, fin baclée mais enfin terminée ^^ !]

Pourquoi t'a pas choisit Seattle ? T^T

'fin bon, chuis contente que t'aie fini.

Hisa : *serre son grand frère dans ses bras et lui sert du sang chaud*

Ah, rectification : j'avais choisi Seattle à l'origine donc c'est plus forks xD

Okay....


*fais un gros câlin à sa grande soeur*

je t'aiiiiiimeuh >____<""

(et comme j'ai eut les félicitations, j'ai échapé au sermon maternel ^^ *a eut chaud*)

T'as le droit de me taper ><"" je viens juste d'avoir le temps et le courage Xd de lire toute ton histoire TT"" Et evidemment je n'ia qu'un truc à dire: waaaaaouuuuuuuuuuuuuuh Oo et aussi que je suis trop trop fan =)

kiiiiiiiiiiit j'ai envie de Faire Sid Y_Y

aaaaarf, nan, c'est elle qui doit le faire T^T

Hisa : JE VEUT MON SIIIIIIIID !!!!! TT^TT

Physique : La beauté divine des vampires conjugué au charme innocent commun aux enfants. Des grands yeux, d'une lueur rouge acide, perdus dans son petit visage livide, à la peau aussi glacée qu'un bloc de marbre. Ses traits sont délicats, immuables. Bien qu'il garde la plupart du temps un grand sourire éclatant de pureté, en privé, son visage d'enfant perd son innocence pour arborer une certaine indifférence, un peu vexante. Ses cheveux, d'un blond vénitien, sont mi-longs et lisses. Il les garde lâchés contre ses épaules frêles, ou en catogan lorsqu'il souhaite se grandir. Au maximum, on lui donne 10 ans à peine. C'est surtout dû au fait qu'il mesure à peine 1m42 pour 35kg. Le sang qu'il boit à longueur de journée ne lui suffit pas à prendre du poids. Tout son corps est fin, il ressemble un peu à une poupée de porcelaine, tant ses bras sont longs, blêmes. Il ressemble un peu à un mannequin pour enfants, s'habille dans un genre décadent : chemises blanches, jeans noirs, cravates lâchées sur son torse de marbre. Pour tout avouer, il n'est vraiment pas musclé, son corps en est encore au stade prépubère. Impossible de croire qu'un adulte est enfermé dans cet organisme jeune et en bonne santé, construit tout en longueur. Ses lèvres minces abritent deux crocs étincelants, plantés au centre d'une dentition parfaite. Il incarne un idéal, pour les mères qui le rencontrent. Beau, gentil, obéissant... alors qu'il dissimule sa vraie personnalité perverse derrière une belle panoplie de sourires tous plus crédibles les uns que les autres. Dur de croire que cet enfant agréable, au physique peu commun, soit si calcutaleur. Sa beauté divine, son parfum, en a attiré plus d'un dans le piège de pédophilisme et, à chaque fois, il s'en est mis plein les poches. Son style de vêtement assez élégant ne le rend que plus charismatique, il parvient souvent à se faire écouter des adultes, malgré son jeune âge... Il exprime un magnétisme certain, une douceur contenue dans sa voix chantante, et un pouvoir presque oppressant sur ceux auxquels il s'intéresse...

Tout finiii =)

Magnifique *-*
J'adore ton côté historien, n'est-ce pas Elli =)

Pi l'histoire est superbe, c'est un ptit bou de choux attachant difficile à cerner ^^

Et vous allez pas mcroire mais ça risque d'être le 1er perso auquel Keith' pourrait s'attacher

Excusez-moi pour ce retard
Bref tout est très bien, donc comme dit : tu es acceptée ! Re bienvenue ! =)

rppppppppppppppppppppp avec Cass

Huhu félicitations ma belle =)