Z. Aoden Queen |On touche avec les yeux mesdames ... (u;c)

Character

Aoden Queen est un jeune homme possédant un caractère a multiple facette, multiple couleurs diverses et variés. La première chose que l'on remarque c'est que le jeune homme a une facilité d'élocution déconcertante, surtout quand on apprendre qu'il à vécu pas mal d'année dans un quartier à risque de Londres. Mais il est vrai qu'Aoden s'exprime de manière très clair et très distingué, comme si à chaque fois qu'il parlait avec quelqu'un s'était dans le cadre d'un dîner à la maison blanche. Le jeune homme utilise beaucoup le sarcasme, mais seulement quand il n'a aucun lien d'affection avec les personnes à qui il s'adresse, il est simplement très habile dans le jeu de l'humour et de l'ironie, c'est un terrain sur lequel très peu sont capables de le battre. Sûr de lui et déterminé dans son travail comme dans sa vie privée, Aoden n'hésite pas rabaisser les gens pour obtenir des réponses à ses questions. Le jeune homme peu parfois se montrer arrogant, mais quand cela lui arrive il s'agit le plus souvent de son travail, qui l'oblige a ce placer au dessus des autres pour obtenir des aveux. Dans sa vie privée et intime, Aoden est un tout autre homme, il peu se montrer très doux envers les personnes qu'il affectionne et à une grande capacité d'écouter, ce qui lui a valu au lycée d'être relégué au rang de "meilleur" ami pour toutes les filles qu'il accostait. Doté d'un tempérament très calme dans sa vie privée, contrairement à son caractère agacé et hyperactif au travail, Aoden n'a jamais vraiment eu de problème pour s'intégrer dans une société, il est même tout de suite accepté par le reste de la communauté car il est vu comme le "gardien" du quartier. Toutes les années qu'il a passait en temps qu'agent de police l'ont renforcé plus que ce qu'il veut bien en dire. Car lorsqu'il était enfant, le jeune Aoden n'a jamais vraiment réussi à s'imposer auprès des autres, c'est sans doute pour ça qu'il est devenu agent, pour que les autres aient besoin de lui. Le jeune homme est un garçon soucieux de l'image qu'il peut bien donner aux gens, il essaye de se montrer le plus droit possible, le plus imposant et surtout comme quelqu'un a qui on peu faire confiance. Ayant subis un complexe d'infériorité dans sa jeunesse, Aoden se rattrape en essayant de sauver le plus de vies possibles, même si c'est parfois contradictoire avec le règlement de son boulot. Malgré tout ça, le jeune homme reste un garçon très sensible et surtout vis à vis des femmes, Aoden tombe amoureux comme un tombe d'une chaise. Oui, c'est sans doute difficile à croire mais c'est un jeune homme romantique qui à toujours peur de l'avis des femmes.

Passions

Tout et n'importe quoi, mais surtout n'importe quoi en fait. Aoden est un jeune homme qui cumule les passions sans jamais les exploiter, par exemple : il y a deux ans, Aoden s'est découvert une véritable passion pour le surf, sauf que voilà .. Mr Queen n'a jamais été doué pour faire du surf alors ça n'allait pas commencé maintenant. La chose que l'on peut retenir au mieux c'est que le jeune homme abandonne très vite quand il se lance dans quelque chose, que se soit le sport, la cuisine, ou bien même un domaine artistique quelconque. Aoden n'a jamais su tenir plus longtemps que 2 semaines, et encore ça fait très long pour lui. Mais il y a quand même des passes-temps qui l'intéresse plus que d'autres, comme le cinéma par exemple. Aoden est un fondu de cinéma, il y va dès qu'il possède un tant soit peu de temps libre devant lui. Que se soit des blockbusters ou des films d'art & essais, tout y passe du début à la fin. Il peut même vous sortir quelque répliques de film quand il ne sais plus quoi dire pour vous charmer. Pour son travail le jeune homme doit être dans une excellente forme physique, ce qui le pousse à faire du sport, chose qu'il déteste par dessus tout. Mais Aoden tente tant bien que mal de s'entrainer pendant la semaine, on ne peut pas forcément appeler ça une passion mais le jeune homme passe deux jours sur sept dans une seule salle de musculation. On peut dire qu'Aoden à tout essayer avant de tout abandonner, c'est quelqu'un qui beaucoup d'envie mais peu de patience.

Story

« Danny ! Reviens ! » Je n’ai jamais eu assez de voix et commencer ma vie par le pire est sans doute la meilleure chose que je puisse faire. On entend souvent dire qu’écrire ce qui nous torture est une excellente thérapie pour chasser ce mal qui a planté ses griffes dans la matière flasque de nos mémoires meurtries. Peut-être. Une chose est sûre, je peux l’écrire dans toutes les langues, sur les murs, sur le sable ou sur une feuille à carreaux, jamais je ne parviendrai à me retirer les cinq lettres qui me tourmentent tant. D-A-N-N-Y. Danny. Chapeau. Quel crétin. Je lui en veux. Je lui en veux d’être parti. Je lui en veux de m’avoir laissé. Je lui en veux de me laisser lui courir après sans même m’aider. Je lui en veux parce que je tiens à lui. Je ne lui ferai jamais payer et j’en suis bien conscient. A l’époque je croyais que le jour où je le retrouverais, mes vagues grognements disparaîtront pour laisser place à une joie incontrôlable. Je sais, j’ai tendance à m’emporter mais qu’il soit rassuré, je n’irais pas jusqu’à me pendre à son cou ou l’embrasser, ivre de joie. Quoique. Rien n’est jamais sûr, et ça, tâchez de ne pas l’oublier car si moi je l’occulte souvent, il vaut mieux pour vous que vous vous en souveniez pour tenir vos distances avec ma personne...

Mais revenons plutôt à Danny, parce que sans le savoir, c'est lui le vrai héros de cette histoire. Gamin je m'amusais a déformer son prénom, au début c'était réellement une erreur de langage de ma part, puis c'est devenu comme un jeu comme pour n'importe quel gosse de 11 ans. Je continuais mon petit jeu malgré le fait que je connaissait par cœur toutes les lettres qui composaient son prénom, j'aurai même pu l'epeller à l'envers si on m'avait demandé de le faire. Tantôt raccourcis, tantôt à rallonge, son prénom n’a plus jamais eu sa forme originelle dans ma bouche sauf le jour où j’ai appris son départ. Digne d’un acteur hollywoodien dans ses débuts, j’ai couru sur la route comme un imbécile en beuglant son nom, comme si le fait que je m’époumonais au milieu de nulle part pouvait le faire revenir. Son image est restée telle qu’elle dans mon esprit malgré les années passées. Je n’avais que neuf ans, lui treize et dans mes souvenirs il garde cette même tête d’adolescent blondinet au regard si captivant. J’ai toujours adoré courir après lui pour marcher dans son ombre. Il aurait pu partir à cloche pied avec un filet à papillons que j’en aurai fais de même avec fascination car je le prenais en modèle.

Vous vous demandez sans doute qui est ce fameux Danny, qui est ce mec au allure de dandy sorti tout droit d'un film des années 60. Danny, c'était mon frère, mais n'importe lequel non, un de ceux qui vous enferme une après-midi entière avec les poules pour vous apprendre la vie, un de ceux qui vous apprend a réciter l'alphabet en rotant ou bien à vous montrer comment on fait pour faire gonfler un crapaud avec un pétard. Et puis c'est surtout un de ceux qui décide de partir faire des études supérieurs et qui vous abandonne en vous promettant de revenir chaque dimanche du mois pour aller voler des œufs chez Mme Arlette la voisine. Et surtout un de ceux qui ne reviennent jamais mais qu'on s'abrutit a attendre sur le pas de la porte dans l'espoir d'apercevoir sa tête blonde se pencher vers vous un pétard à la main.

C'est grâce à lui que j'ai appris tout ce que je sais, mise à part le fait de faire exploser des grenouilles le long de marais, mais c'est à lui que je dois tout ça. Mais peut-être que vous vous voudriez en apprendre plus sur moi, mais je vous préviens, c'est moins intéressant que celle de Danny.



Je suis né le 06 août 1988 à Londres et ma vie n’a rien de passionnant. J’ai toujours été le gamin qu’on appelle comme on peut car on oublie le prénom et je devenais alternativement gamin, le garçon au t-shirt blanc, celui du fond de la pièce. On oubliait mon visage, mon prénom, mon utilité ou même, pourquoi j’étais là mais je n’ai jamais été suffisamment susceptible pour m’en importuner. Après tout, être inconnu, à bien des égards, peut être particulièrement utile lorsqu’on désire se faire oublier. J’avais beau avoir des notes qui marquent, et de grands yeux innocents, rien n’y faisait. J’aurai pu porter une étiquette avec mon prénom ou bien avec une gourmette mais je préférai être ce gosse qui courrait après son frère pour combler un manque affectif et brutalement je passais du côté des « pauvres enfants troublés à l’enfance malheureuse ». Ce côté flou et indéfinissable qui émanait alors de moi lorsque les gens tentaient de se remémorer comment m’interpeller m’a toujours subjugué et je savais que dans cette course folle je me précipitais dans un bain d’arrogance brûlante. On ne m’a jamais beaucoup entendu et c’est sans doute pour cette raison que je ne marquais pas les esprits mais j’avais ce don indéniable pour le travail et c’est à partir de là que tout a pris place. Enfin j’étais Aoden, le premier de classe, et non un gosse au t-shirt blanc.

J'ai commencé à m'intéresser aux filles parce qu'elles étaient toujours gentille avec moi, moi Aoden, la pauvre petite chose fragile et que les autres ne regardaient pas par peur de me froisser. Les filles elles, et ben elle étaient gentilles et à l'écoute de cette pauvre bête. Sans doute parce que je développait en elle une soudaine envie de maternité, ou bien alors parce qu'elles se fichaient complètement de moi. J'ai passé le plus clair de mon adolescence à écouter Patti Smith & Janis Joplin, j'avais des rêves trop grand pour moi et je ne savais rien faire d'autre que fabriquer des armes avec des bouts de bois en attendant que Danny revienne. Plus le temps passait et plus j'avais cette impression sordide et folle qu'en fait il ne reviendrai pas, pas après 5 en tout cas, mais je n'ai jamais supporté l'idée que mes parents l'es oublié si vite. C'est cette brume qui m'emporta littéralement dès que j'eus quitté l'âge de l'enfance, de l'insouciance et de la tranquillité. J'ai fini par oublié Danny comme j'ai oublié mon nom, mon frère n'était plus qu'un sujet comme un autre, j'en parlais comme on parle d'une série télé et non pas comme un être qui avait fait de moi l'homme que je suis.

J'ai intégré la police à l'âge de 18 ans, parce que je ne savais rien faire de mes dix doigts. Trop féniant pour être avocat, trop gentil pour être voleur, trop con pour faire médecin, il me restait plus que la police. Alors j'y suis allé, le cœur vide et la tête tout autant. Mes parents avaient désertés le front, préférant s'offrir des vacances au soleil, mais ça n'est pas l'absence qui me fait peur c'est surtout de voir que je risque de choper Alzheimer avec leur conneries, parce qu'on dirai que l'oubli c'est génétique chez nous.

Writing

Il n'y avais pas de moments plus intense pour Aoden que celui ou il pointait son arme droit devant lui, un léger sourire aux lèvres et une émotions intense se dégageant de tout son corps. Ses yeux se remplirent d'émotions qui lui étaient inconnues, sa main ne tremblait pas le moins du monde et toute son attention était porté sur sa cible. Le monde aurait bien pu arrêter de tourner, les anges auraient pu tomber du ciel sans que le jeune homme s'aperçoivent de quoi que se soit.

Concentré sur sa cible, le jeune homme ferma les yeux un instant, se remémorant les maigres souvenirs de sa jeune enfance, de sa vie d'avant. Danny lui apparaissais comme dans un rêve, le visage entouré d'une brume blanche, puis le souvenir fut effacé par le bruit du déclencheur de son arme qui cliqua dans la salle avec une grande détonation. La balle effectua son trajet avant de toucher le centre de la cible en papier qui était tendu devant lui. Aoden repris la respiration qu'il avait coupé avant de tirer dans la cible, souriant et fier de lui, le jeune homme se retourna avec la lassitude d'un homme ayant déjà fait ça des tonnes de fois.

" - Tu n'es pas si mal que ça finalement. On pourrai presque te confier une mission un de ces jours. "

Le rire gras et sarcastique du commissaire s'éleva dans l'air, Aoden ne prit même pas la peine de se retourner pour voir son collégue en face. A près tout, a quoi cela pouvait bien servir ?

" - Je pourrai aussi te prendre ta place un jour. "

C'est ce qui était remarquable avec Aoden c'était cette faculté a répondre du tac-au-tac sans prendre le temps de savoir si cette paroles blesserai ou pas. De toute façon le jeune homme n'en avait pas grand chose à faire, qui a être anonyme autant l'être jusqu'au bout.

Aoden sorti de la salle le sourire aux lèvres, son tir avait été l'un des meilleurs de la sélection. Cela pouvait paraître complètement banal mais c'était pour lui la plus grandes des satisfactions personnelles. C'était comme réussir a coucher avec cette fille que vous convoitez depuis deux mois, comme de gagner au loto ou de prendre sa première cuite quand vous avez 17 ans et la vie devant vous. Aoden s'alluma une cigarette avant d'essuyer une goutte de sueur avec la manche de son tee-shirt, le soleil était au zénith et le jeune homme avait une de ces envies de bière qu'on ne contrôle pas et qu'on laisse passer sans rien faire. Mais ça n'était pas pour aujourd'hui puisque que son téléphone sonna avec une intensité alarmante, c'était là tout le choix d'être agent de police, il fallait laisser tomber ses envies pour aller sauver des vies.

Behind the screen

Ton p'tit nom (ou surnom) : Spyro.
Comment t'as connu le forum ? J'ai cherché sur Google, mon meilleur ami.
Tu le trouves bien, dis ? Il me plait oui (:
Et c'est quoi le code ? Tope-là/edit Vlad
Avant qu'on se quitte (ou qu'on se retrouve ! \o/) tu veux ajouter un petit mot ? On fera moins les malins quand les canards domineront le monde.