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 | Sujet: Alex Maxime Azraël // A finir  Sam 30 Jan - 14:38 | |
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{RP: Nom : Azraël
Prénom : Alex, Maxime
Âge : 19 ans, depuis 289 ans.
Status :
Je suis un vampire un vrai, qui bois du sang humain.
Classe Sociale :
Ma classe Sociale… Euh… C'est-à-dire ? Solitaire, c’est bon ? Je ne suis pas ce que vous appelez "riche", à vrai dire, je ne me suis pas amusé à accumulé de l'argent pendant 289 ans, j'en n'y vois aucune utilité. Je n'ai jamais créé de compte en banque, mon argent est plus en sécurité avec moi...
Lieux de résidence:
En 289 ans de solitude, j’ai eu le temps de parcourir beaucoup de lieu de la petite Belgique à la grande Chine. J’ai finalement élu résidence à Forks, petite ville pluvieuse. Mais à la base, je suis né en Alaska.
Emploie :
Sans Emploi
Race :
Ah ! Je suis un vampire, chérie. Aurais-tu besoin de lunette ? As-tu déjà vue un humaine qui conte deux siècles derrière lui ? Si t’en connais un, tu me le présentes ?
Camp : Caractère/Aime /Aime pas :
Physique : VOTRE TEXTE ICI
Pouvoirs :
Armes :
Des valeurs ? :
Fujets sensibles :
Phobies :
Le détail à ne pas manquer: Histoire :
I. PROLOGUE.
Il fait froid, mais je m’y étais habitué. C’était normal d’avoir froid, selon moi. Je m’enfonçais lentement de le sommeil, la chaleur commençant à me bercer. Mais aussi soudainement que l’on appuie sur la détente d’un revolver, on me soulevant de mon berceau en me serrant fébrilement, mon instinct me souffla que s’était ma mère, je reconnaissais aisément les forme fine de son corps, mais je fus tout de même agacé qu’elle m’arrache à mon sommeil. Levant les paupière, je vis mon père allongé face contre terre, gémissant et une femme terriblement belle aux longs cheveux noir, portant une robe faites d’or et de dentelles, un sourire fou sur les lèvres. Elle s’avança, alors que ma mère reculais inexorablement, mais son dos heurta – trop tôt – la parois de la maisonnette, la femme bondit… et mon petit monde bascula, tout devint sombre, un hurlement retentit et puis plus rien, le néant, l’obscurité.
II. RENAISSANCE.
Assis sur ma chaise, j’observais avec un intérêt poli Dennah, celle qui m’a kidnappé et tué mes parent, converser avec Dean, son compagnon, ils parlaient et à voix basses, leurs voix presque silencieuse, comme faisaient-ils pour parler aussi vite. Dean poussa un long soupir résigné alors que Dennah retroussait ses lèvres sur des canines anormalement longue en se tournant vers moi. Je levai à peine les yeux sur elle, à présent accaparé par un nœud dans le bois de la table. J’entendis ses pas résonné, lent, trop lent, elle préparait un sal coup, sur le planché, je relevais alors la tête, sachant que la cadence de ses pas n’augurait rien de bon.
« Alors, Alex ? »
Je fronçais les sourcils, alors quoi ? Dennah était cruelle, lorsqu’elle était de mauvaise humeur, son jeux préféré était de posé des questions sans réponse à mes yeux pour ensuite me frapper. Je me raclais la gorge, jetant un regard suppliant à Dean, qui fixait ses chaussures avec obstination. Elle se racla la gorge, sa voix douceâtre retentit peu de temps après.
« Veux-tu te lever, je te prie. »
Je m’exécutais. Mes genoux s’entrechoquant frénétiquement, je dégluti bruyamment et reculai en voyant son regard meurtrier et assoiffé.
« Allons, Alex, as-tu peur ? »
Je secouai la tête. Peur ? Mais c’était pire que ça, cette folle m’inspirai de la terreur, elle hantait tout mes cauchemar, elle était la bête, lorsque j’étais enfant qui se cachait sous mon lit et dans mon placard.
« Quel âge as-tu, à présent, Alex ? »
Demandant-elle avec des accent victorieux, alors que mon dos heurtai la parois de marbre. Cela me rappelais étrangement quelque chose, mais quoi ? Cela remontait d’il y déjà longtemps. Je cherchai désespérément dans ma mémoire ce que pouvait représenté ce nouvel axés de colère de Dennah. Au point, que je manquais d’oublier sa question. Ce qui aurai été une grave erreur étant donné que Dennah haïssais de devoir répéter ses questions.
« d-dix-dix-neuf ans. »
Balbutiais-je ne écarquillant les yeux. On ne fêtait jamais mon anniversaire, le jour de ma naissance était un jour comme les autres à mes yeux, je l’avais juste conserver en mémoire pour savoir qu’elle âge j’avais. Elle hocha lentement la tête, l’air triomphant.
« Sais-tu ce qui va se passez aujourd’hui ? »
De nouveau de secouai irrémédiablement la tête. Qu’allait-elle me faire ? Me tué ? Eh bien, tant pis. Je tressailli quand elle posant sa main glacé sur ma poitrine qui se soulevait de plus en plus vite. Au secours. Bien sûr, que je ne voulais pas mourir, je tiens trop à ma petite vie pour ça, même si elle se fait sous le joug de Dennah.
Mais pour toute réponse, elle retroussa ses lèvres sur ses canines trop grande et se pencha sur moi, Dean s’avança alors à une vitesse qui n’était humaine. Ses mains se posèrent sur le coup de Dennah, alors que celle-ci plantait ses dents dans mon coup. Incompréhension, douleur, peur. Voilà tout ce que je ressenti avant de m’évanouir.
III. DAMNATION.
Incendié. Torturé. Embrassé.
L’incendie se propageait lentement dans chacune des partit de mon corps, la couleur le suivant comme son ombres. Ils étaient partout. Dans tout mes muscles, dans chacun de mes 206 os, à moins que j’en eusse plus ? Sans doute. À moins que j’en aie perdu ? Cela m’étonnerai, on devait me scié en deux, non en trois, en quatre ? En une centaine de morceaux. Ma peau est meurtri et frissonne de douleur, intense. Mon cœur bat fébrilement, assourdissant, il résonne à mes oreilles comme un clairon. Suis-je mort ? Sans aucune doute, on je pouvais pas survivre à ça. Mais est-ce qu’on souffre autant quand on est mort. Suis-je entrain de mourir, alors ? Je veux mourir. Mon nom. Alex. Je m’y accroche pour garder la raison. Mais très vite il m’échappe. Qui suis-je ? Où suis-je ? Ces questions pourtant capital n’ont aucune importance. Confusion. Je ne savais plus comment j’étais arrivé là et depuis combien de temps j’y étais, tout ce qui comptait c’était la douleur, elle occupait chaque parcelle de mon corps, de plus en plus forte.
J’ai l’impression que mon corps explose, totalement désarticulé. Enfin, mes yeux s’ouvrent, mais je reste englouti dans les ténèbres. Mes poumons se dilatent, pompent l’air. Non ! NON ! Je ne devais pas respiré, ma mort serait alors trop lente, mais rien à faire, je suis humain et je m’accroche désespérément à la vie. Même si je sais que je vais mourir et que je ne fais que prolongé ma souffrance. L’oxygène me brûle encore plus, comme si j’avais avalé des ronces. Ma poitrine se bloque, mes poumons ne peuvent en supporter plus, ma poitrine reste gonflé, la douleur à son summum. Je n’arrive plus à pensé. Cela allait-il duré encore longtemps ? Etais-ce bientôt terminé ? Ou… n’y avait-il pas de fin ? Ça me dépassait. Je ne comprenais pas. Je comprenais à peu prés ce que ressentait un lapin coincé dans son terrier par un renard. Le terrier est mon corps, le lapin est mon âme, le renard est la douleur. J’étais coincé dans mon corps avec pour seul compagnie, ma douleur. J’allais mourir, mais dans combien de temps ? Et là, il y une trêve. Un once d’espoir s’ouvrirait-elle à moi ? Une éclairci dans un ciel orageux ? Non. Si la douleur est faible et sourde. J’entend. J’entend un bruit traînant. Bou-boum boum. Je le reconnaît pour l’avoir déjà entendu. Un cœur qu’on force à battre. Je forçais mon cœur à battre. Mais il n’u avait plus d’oxygène, ou presque plus dans mes veine et dans mon sang, mon cœur battait à vide.
Bou-boum boum.
Il tressaute essayant en vain de rétablir la vie en moi. Mais mes poumons n’envoyais plus d’air dans mon sang.
Boum. Boum… boum.
Mes battement de cœur on des défauts, lent, de plus en plus lent. Il meurt lentement, cédant le terrain à la douleur.
Boum. B-boum…
C’est terminé. Il est mort. Je suis mort. Il tressaute essayant de me sauvé. Mais c’est trop tard. Je le sens au plus profond de mon âme, dés le début c’était trop tard. Mais il n’y pus de douleur.
Mes paupière se lève, lentement. Mon odorat perçois l’odeur de la poussière, un parfum doux de rose et un autre lys. Du chocolat. Beurk. Je suis choqué par la répulsion que m’inspire le chocolat. Mes oreilles capte un frottement infime, mais qui résonne à mes oreilles, un chuchotement. Je sens les échardes en bois de chêne s’enfoncer sous mes ongles sans percé ma peau. Comme pouvais-je être aussi certain que c’était du chêne ? Quand j’ouvris les yeux une lumière éblouissante obligea ma pupille à se rétracter. Plein de couleur, bleu, mauve, jaune, rouge, vert, rose. Toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. Je me rend compte alors que j’observe une lampe, une lampe en cristal qui ne me semble pas inconnu. Je tourne les yeux et vois une forêt, tout me semble trop clair, trop net, il n’y a pas d’ombre dans ma vision, rien. J’entend des bruit de pas précipiter. Je tourne la tête vers la porte, je vois chaque détail du bois qui la constitue. Elle s’ouvre et une femme très belle entre. Deux homme portant des uniforme passe devant-elle et ce mette ne position de défense. Un grondement sourd et menaçant qui me choque monte de ma gorge et avant même d’y avoir pensé, je suis début. Observant la femme avec une rage froide. Les hommes siffle et posent chacun un genoux à terre. Mais je n’ai d’yeux que pour la belle diablesse qui m’observe avec un sourire doucereux. Je gronde de nouveau et elle éclate de rire. Sans réfléchir je bondit à une vitesse hallucinante, elle me regarde droit dans les yeux et quelque chose me plaque au sol.
« Voyons, Alex, ne fait pas l’idiot ! » Dit-elle en cachant mal sa joie.
La femme pose un main autoritaire sur les épaules des gardes, qui s’efface la laissant passé. Elle s’approche alors de moi à une vitesse qui n’était pas humaine et me fais un sourire malveillant.
« Bienvenu en Enfer, Alex.»
IV. L’ARMEE DE DENNAH.
Je ne comprenais pas ce qu’il m’arrivais. Je savais juste que j’étais différent. Plus rapide. Plus fort. Ma gorge me brûlait. Et toutes mes pensées tournaient autour de cela. Ça brûle. C’était certes moins douloureux ce que Dennah apellait la « Transformation » mais cela me semblait important. Je n’avais plus besoin de respiré. Mon cœur ne pulsait plus. Qu’étais-je devenu ? Que m’avais fait Dennah. Je savais que ça remontait au jour de mon anniversaire où elle avait planté ses dents dans ma gorge. Mais c’était flou, indistinct. Inconnu. Je m’efforçais de me convaincre que je rêvais, mais j’étais trop encré dans ce rêve que s’en soit vraiment un. Alors qu’est-ce que c’était ? Et puis, qu’elle jour étions-nous ? Je levai les yeux vers Dennah, son sourire dangereux toujours plaqué sur ses lèvres. Et j’aboyais :
« Qu’est-ce que vous m’avez fait, espèce de veille harpie ? »
Elle me décocha un regard empreint de patience. Et je me renfrognais un peu plus.
« Vien, je n’aime pas cet endroit. »
Agacé, mais curieux de la suivait dans un vaste jardin aux mille couleurs. Elle s’assis en tailleur à l’ombre d’un hêtre, et me fis un regard sardonique et je me sentis obligé de m’asseoir.
« Bien, bien. J’ai fais de toi un être meilleur. »
Hum-hum. Ok. C'est-à-dire ?
« Pardon ? »
Elle pinça les lèvres.
« Tu es un vampire, Alex »
Un vampire… Un monstre… Un buveur de sang… Une sangsue… Une créature de cauchemar. Bizarrement je l’a cru. Pourquoi me mentirait-elle, aussi vil soit-elle ? Alors, elle m’expliqua. Tout ce que j’avais à savoir, pourquoi j’avais si mal à la gorge… Elle raconta… Me plongeant dans des souvenirs floues. Nous étions 6 jours après mon anniversaire. En hiver. Il faisait d’ailleurs remarquablement chaud, nous n’étions plus en Alaska, nous étions au Brésil. Et elle m’expliqua qu’elle construisait une armée, pour je ne sais plus quoi, enrôlant de puissant vampire et créant des vampires susceptible d’avoir un dons hors du commun, c’était pour cela qu’elle m’avait kidnappé, car Dean, son compagnon, voyait les dons que pouvait avoir les humains si on les transformaient. Il avait vu en moi un puissant dons, de ce fait elle m’avait pris à mes parent qu’elle avait tuée.
Ma première chasse fût une expérience atroce. Elle m’emmena en ville. A une fête plus précisément. J’étais beau dans un smoking blanc, de l’époque. Les femme se tournaient pour me dévisager avec intérêt, même si pour cela elle risquait la courroux de leur mari, même chose pour Dennah, les homme lui souriaient d’une manière assez appuyé. Mais la soif était trop dévorante, occupant chacune de mes pensés. Mais Dennah avait été claire. Je devais attiré une femme de mon goût à l’écart, m’abreuvé puis filé. Ce que je fis. Une belle humaine, brune aux yeux gris accepta de ma suivre dans un coin sombre. Alors qu’elle me suivait, je sentais son sang pulsé dans ses veine, je sentais le liquide vermeil, une senteur cuivré et épicé. Ni tenant plus je la plaquais contre le mur, elle sembla assez choquée par de telle manière, mais se laissa faire, alors que j’embrassais son coup, jusqu’à trouvé la plus grosse artère, et y plantait avidement mes canines tout en plaquant une main sur sa bouche car elle commençais un pompé de l’air pour hurler. Son sang, épais, coula dans ma gorge augmentant encore l’acuité de mes sens. Je suçais voracement son sang jusqu’à ce qu’il n’en reste plus une goûte et que son corps se ramollisse dans mes bras, je la posais alors respectueusement sur le sol carrelé de la salle et tournais les talons, retournant vers le brouhaha de la foule. Je sentais leurs regards posé sur mes épaules, insistant. Je repérais Dennah qui essuyais, comme moi, le coin de ses lèvres et nous partîmes ensemble dans la nuit noire, pas si noire, en fait, juste que tout changeait de couleur, prenant des teintes violettes.
Famille :
Ma famille d’origine, je ne l’ai connu que trois brèves années, ensuite j’ai été enlevé par une femme. Une vampire. Une pauvre sadique et cruelle bonne femme. Elle ma « élevée » si on peut appeler ça comme ça, moi j’appellerai ça apprendre l’art de l’indifférence et de la prétention. Elle m’a inculqué le fait que je sois plus fort, meilleur que les autres, ce qui est faux, je suis comme les autres, mais elle prenait un savant plaisir à faire de moi sa future arme. Une fois que je devint un être froid et indifférent elle me transforma… De l'autre côté du miroir
Surnom, pseudonyme :
Marine
Age :
18 ans
Façon dont vous avez découvert le forum :
En tappant " RPG twilght sur le moter de recherche Google =D
Fréquence de connexion et décalage horaire :
Je ne pense qu'il ait de décalge horaire entre la Belgique et la France * En même temps vu mes notes en géographie... * et 3 jours par semaine, le mercredi, le samedi et le dimanche ; )
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