Cochez : Poste Vacant [ X] Poste Vacant d'un membre [ ] Personnage inventé [ ]
{RP:
Nom: Denali
Prénom(s): Katrina, mais elle préfère Kate.
Date de naissance et âge: A vrai dire, Kate n’a aucune idée précise de la date à laquelle elle est venue au monde. Cependant, elle sait juste qu’elle a été la première des trois sœurs à être transformée.
Lieu de résidence: Forks temporairement, mais Kate vit dans une résidence en Alaska avec les autres membres du clan Denali.
Statut: Vampire végétarienne.
Classe sociale: Comment définir une vie pour laquelle on a œuvré durant des années, accumulant des masses considérables d’argent au fil des ans ? S’il faut appeler cela riche, alors appelons le ainsi.
Emploi: Aucun.
Famille: Kate est l’une des trois sœurs Denali. Cependant, elle a subi une bien grande perte avec, tout d’abord, la mort de leur mère, jugée par les Volturi pour avoir transformé un bambin en vampire ; puis le décès d’Irina, condamnée injustement par ces mêmes italiens. D’ailleurs, Kate ne s’est jamais vraiment remise de cet épisode et éprouve une haine sans nom vis à vis d’Aro et de sa clique. Eleazar et Carmen sont venus s’ajouter au clan quelques décennies auparavant. La dernier les ayant rejoint, n’est autre que Garrett, qui a souhaité se convertir au régime végétarien après s’être épris de la jeune femme.
Caractère: Le don que possède Kate est sans conteste un excellent reflet de son caractère. Elle s’avère être une vraie pile électrique, à l’instar de sa cousine adoptive : Alice Cullen. Elle aime s’amuser, plaisanter et relever de nouveaux défis. Elle se montre parfois imprudente, ce qui n’est pas sans exaspérer Tanya qui doit souvent la recadrer. Pleine de vie, c’est une jeune femme pétillante qui ne manque pas de ressources et de caractère. Garrett l’a parfois appris à ses dépends, bien qu’elle se montre beaucoup plus patiente et plus sage en sa compagnie. Elle a trouvé en lui un compagnon idéal, aimant, possédant une âme d’aventurier entachée d’un humour à toute épreuve. Kate est un excellent professeur, et ne cesse pas de vouloir se rendre utile et enseigner à ceux qui le lui demandent. Ainsi elle a prêté main forte à Bella lorsque celle-ci désirait perfectionner son don, n’hésitant pas à la pousser dans ses retranchements, en utilisant notamment Renesmée contre l’avis de sa mère. Néanmoins, même si la vampire se révèle être casse-cou et parfois impulsive, elle possède deux grandes qualités qu’elle a acquéries après avoir traversé les affres de l’immortalité : la loyauté et le respect des lois. En effet, elle ne sait que trop bien ce qu’il advient de ceux qui enfreignent les règles dictées par les Volturi, comme ce fut le cas de sa mère.
Une dernière chose : Kate est de nature rancunière, aussi, ne la contrariez pas…
Description physique: Kate, à l’instar de ses congénères, est d’une beauté sauvage et envoûtante. Elle cultive cet aspect farouche et joueur de sa personnalité en laissant ses longs cheveux blonds foncés onduler au gré des vents du grand Nord canadien, les nouant parfois d’un simple lien en cuir que lui a gracieusement offert Garrett. Ses yeux mordorés, caractéristiques de son régime pour le moins inhabituel, sont rieurs mais toujours aux aguets. La jeune femme est effectivement une observatrice hors-pair. Son visage est d’une finesse sans pareille, et, lorsqu’elle sourit, deux légères fossettes creusent ses joues à la peau diaphane. Son corps, bien que moins féminin que celui de sa sœur, Tanya ou celui de Carmen, n’en conserve pas moins une grâce qui attire les regards appréciateurs de la gent masculine. Tout en elle dénote d’une sensualité féline, une sensualité de prédateur : de ses lèvres charnues et rosées, en passant par sa silhouette longiligne, et ses muscles fins et déliés. Sa démarche silencieuse et fluide renforce un peu plus encore ce tableau.
Loisirs: Kate se plaît à parcourir le monde aux côtés de son bien-aimé. Il lui fait ainsi découvrir sa vie de nomade, et en échange, elle lui offre l’amour et le soutien dans sa lutte pour ne plus ingérer de sang humain. Aussi, elle aime rendre visite à Bella et sa fille, pour lesquelles elle s’est prise d’affection.
Aime: Ce qu'elle apprécie par dessus tout: sa liberté et les liens qui unissent le clan des Denali. Elle a également trouvé en Garrett l'amant idéal, friand de grands espaces et de solitudes. Aussi, elle se plaît à repousser toujours plus loin ses limites, essayant d'étendre son don hors de son enveloppe charnelle. Son compagnon apprécie d'ailleurs de l'aider à s'entraîner et de la pousser dans ses retranchements afin qu'elle y arrive. Kate est un joyeux luron, les défis, les farces et les moqueries en tout genre lui occupent également une bonne partie de son existence vampirique.
N’aime pas: Kate, tout comme les autres membres du clan Denali, voue une haine sans pareille aux Volturi. Ces derniers lui ont effectivement brisé le cœur par deux fois, en tuant tout d'abord leur mère, certes à juste titre, et une seconde fois en réduisant Irina en poussière sous leurs yeux, abusant des pouvoirs qu'ils s'étaient attribués. Aussi, bien qu'elle respecte la loi, elle ne l'apprécie qu'en surface puisque les italiens en sont à l'origine et qu'ils se plaisent à la contourner lorsque bon leur semble. Aussi, la jeune femme n'aime pas évoquer sa mère d'adoption qui, selon elle, les a abandonnées, puisqu'elle connaissait les risques qu'elle encourait en transformant cette enfant de dix ans à peine.
Caractère accentué: Kate est dotée d’un talent assez particulier, elle peut en effet électrocuter ses adversaires lors d’un combat au corps à corps. Garrett se plaît souvent à lui dire qu’elle devait être une pile électrique durant sa vie humaine.
{L’histoire de votre personnage:
« Qu’on l’enterre et qu’on lui coupe la tête.
-Mais père Jean, elle est la fille du seigneur de ces terres.
-Elle a péché mon fils, le Ciel en a décidé ainsi, nous nous devons de respecter la volonté du Père tout Puissant.» Furent les dernières paroles que je discernai avant de sombrer dans l’inconscience.
Je ne saurais dire combien de temps cela avait duré, mais une chose était sure : si le Ciel n’avait pas voulu de moi comme l’avait prétendu l’abbé, alors l’Enfer m’avait accueillie à bras ouverts. La douleur qui me brûlait était telle que j’aurais été prête à épouser cet homme rustre et violent auquel m’avait destiné mon père. Aussi, je me trouvai là pour cette raison : j’avais fui mon devoir et déshonoré ma famille, ou du moins ce qu’il en restait. Ma mère était effectivement décédée d’un mal virulent l’an passé. Elle était tout pour moi, ma confidente, ma protectrice et celle qui tempérait mon paternel, m’accordant bien plus de liberté qu’en avaient les jeunes filles respectables de mon époque. Elle était d’une grande beauté, d’une grande intelligence et faisait preuve d’une immense gentillesse. Ainsi, c’était grâce à elle que j’avais pu échapper aux promesses de mariage. Elle avait fait promettre à mon père, avant de s’éteindre, de me laisser choisir mon époux, celui-ci, bien trop attristé par l’état dans lequel elle se trouvait, avait accepté, sans penser au serment qu’il venait de prêter. Les mois se succédèrent sans que mon géniteur ne sorte de sa dépression. Aussi, il se laissait facilement influencer par son frère qui avait trouvé une parfaite occasion de me fiancer à un riche seigneur, qui lui même aurait eu l’âge d’être mon père. C’est ainsi que je fus promise à ce dernier dont je ne connaissais pas même le nom. Je dus dès lors renoncer aux douceurs de l’enfance, à cette liberté qui m’était chère. Le seul moyen pour moi de la retrouver était de retourner aux côtés de ma mère. C’était ainsi que je m’étais échappée du domaine, emportant avec moi une lame de mon père, fermement décidée à intenter à mes jours, qui devenaient de plus en plus malheureux.
« Te voilà enfin réveillée mon enfant. »
Quelle était cette douce voix qui m’appelait ? Celle d’un ange ? Impossible, au paradis la douleur n’a pas sa place. J’ouvris péniblement mes paupières, posant un nouveau regard sur le monde alentour. Mes yeux rencontrèrent deux pupilles mordorés ainsi qu’un visage dénué défaut, bien trop parfait pour être réel. La jeune femme m’observait, un sourire avenant dessiné sur ses lèvres charnues et rosées. J’essayai de prononcer quelques mots, mais ma gorge était sèche, trop sèche. La douleur se réveilla à nouveau, se cantonnant cette fois-ci à ma gorge, celle-ci s’apparentait à une brûlure, intense, comme celle qui m’avait embrasée tel un bûcher quelques instants plus tôt.
« J’ai soif.
-Je sais mon enfant, je sais. »
La voix était aussi légère qu’une plume, apaisante. Ma sauveuse, puisqu’il s’agissait bien de cela, passa une main délicate dans mes cheveux, me rassurant. Même si elle ne ressemblait en rien à ma mère biologique, je la considérai ainsi, car elle m’avait protégée de ces hommes sans scrupules.
« Où suis-je ?
-En sécurité. »
Son sourire bienveillant me confirma ses paroles. Elle s’éclipsa quelques instants hors de ce que je croyais être une grange, et revint rapidement, tenant un agneau au creux de ses bras. Ma gorge me tiraillait un peu plus, et je perçus les battements affolés du cœur de l’animal. Ma compagne déposa le petit être à mes pieds et m’enjoignit de boire.
« Comment ? » L’incompréhension se lisait sur mon visage. Aussi, elle se pencha avec grâce sur l’agneau et planta ses crocs dans sa chair tendre. Un sifflement ténu s’échappa de mes lèvres et, horrifiée, je me reculai prestement. La jeune femme releva son doux visage, dont les lèvres étaient maculées de sang et me tendit la main, me faisant signe de m’approcher.
« N’aies pas peur ma fille, je ne te veux aucun mal. Tu dois te nourrir avant de perdre pied. »
Incertaine, je m’avançai vers l’animal et, à mon tour, sous le regard fier de ma nouvelle mère, je m’abreuvai de son sang.
Elle me conta ensuite son histoire et m’avoua qu’elle m’avait observée longtemps avant de prendre la décision de me transformer. Néanmoins, selon ses propres mots, elle serait capable de me redonner goût au monde et à ses couleurs, me rendre ma liberté d’antan ainsi que ma joie de vivre. J’étais devenue un vampire.
Nous restâmes quelques années encore dans le royaume de France. Je pus ainsi régler quelques vieux comptes avec mon oncle et laisser mon père sombrer dans la folie, après l’avoir dispensé d’une visite nocturne ô combien fantomatique. Néanmoins, j’éprouvai pour lui bien plus de peine que de rancœur. Ma mère biologique avait été son monde, celui-ci s’était effondré lorsqu’elle avait disparu.
Tanya, Irina et moi-même avions affiché un air sceptique. Qui était donc cette enfant au visage sauvage ? Elle semblait de loin bien plus incontrôlable que ne l’avait été Irina, ce que nous confirmèrent les semaines qui suivirent. La petite était bien plus forte que nous quatre, et je devais user et abuser de mon talent pour lui éviter de massacrer des maisonnées entières. Néanmoins, j’étais bien vite à bout. Aussi, notre mère nous ordonna de quitter le pays rapidement. Nous nous retrouvâmes donc en Suisse, laissant dans notre sillage de nombreuses familles décimées, à cause de la soif toujours plus forte de l’enfant.
C’est là qu’ils nous arrêtèrent. Ils étaient venus en grande pompe. Je ne les avais jamais vus auparavant, mais ma mère nous avait expliqué leur rôle : les Volturi, gardiens de notre anonymat, les pères fondateurs des règles vampiriques. Quiconque leur désobéissait se voyait mis à mort sur le champ. C’est ainsi qu’ils tuèrent la petite fille qu’avait désirée notre mère, et qu’elle tenait dans ses bras au moment même où ils l’avaient réduite en poussière. Nous fûmes alors conduites jusqu’à Volterra, leur demeure, enfin jusque dans les cachots de Volterra serait plus juste. Nous passâmes toutes trois un interrogatoire, notre mère n’ayant même pas ce privilège. Lorsque ce fut mon tour, je tremblai de tous mes membres. Jamais je n’avais aussi été impressionnée moi qui, à mon habitude, fonçai tête baissée. Je regardai avec appréhension la main d’Aro se poser sur mon bras, me volant mes moindres souvenirs. Les prunelles rouges de Caïus me toisaient avec hargne et cruauté ; si bien que je pensais que notre Destin était définitivement scellé. Néanmoins, à ma grande surprise, Aro ordonna à Tanya de nous emmener loin de là, nous laissant, auparavant, assister à la mise à mort de celle qui fut notre mère. Avant que les flammes de l’Enfer ne l’emportent, elle put lire sur mon visage une immense déception. Ainsi, celle qui m’avait sauvé alors que je souhaitai mettre fin à mes jours n’avait en somme pas fait autre chose que de se condamner à mourir en transformant cette fillette.
Tanya que nous avions, d’un accord tacite, désignée comme notre guide, nous conduisit jusqu’en Alaska où nous établîmes notre résidence permanente. Nous eûmes l’occasion de rencontrer Carlisle Cullen, dont nous avions entendu parler lors de notre bref passage en Italie. Ce dernier vivait tout comme nous, en paix avec les humains. Nous nous liâmes d’amitié avec ce dernier et accueillîmes au sein de notre clan deux nouveaux venus : Eleazar, que nous avions déjà croisé à Volterra, et sa compagne, Carmen. Nous formions à présent une famille heureuse, et plus rien ne semblait vouloir ternir notre bonheur.
Néanmoins, l’arrivée d’un dénommé Laurent troubla notre quiétude. Ce vampire, qui disait vouloir s’essayer à un régime végétarien, s’enticha d’Irina, de loin la plus influençable du groupe. Je n’aimais guère ce personnage qui, tout comme le pensait Tanya, me semblait faux. Il nous quitta pour quelques jours selon lui, à cause d’une affaire urgente qu’il se devait de régler rapidement. Cependant, nous ne le revîmes jamais, apprenant par la suite qu’il avait été tué par les modificateurs. Irina en devînt folle, plus anéantie que jamais, elle se rendit à Forks, ayant dans l’idée de venger son amant. Durant plusieurs jours, nous n’eûmes aucune nouvelle d’elle, jusqu’à ce que Carlisle nous enjoigne de nous rendre à Forks dans les plus brefs délais.
Ce que nous découvrîmes nous laissa glacées d’effroi, Tanya et moi. Comment les Cullen avaient-ils pu faire une chose pareille ? Cette enfant immortelle allait causer notre perte à tous. Néanmoins, à bien y écouter, son cœur battait, semblable au frétillement des ailes d’un oisillon. Edward et Bella, dont nous avions fait la connaissance quelques mois plus tôt, nous contèrent l’histoire de la petite Renesmée ainsi que la raison de notre présence en ces lieux. J’étais littéralement tombée sous le charme de la petite, et prête à tout pour réparer les erreurs de ma sœur. Aussi, j’avais accepté de témoigner en la faveur des Cullen ainsi que de me battre à leurs côtés. Moi qui appréciai me rendre utile, j’avais été servie en enseignant à Bella comment développer son pouvoir. Aussi, j’avais fait la connaissance d’un personnage bien singulier : Garrett, un nomade parcourant le monde. Son engouement pour les défis, sa beauté sauvage et son attrait nouveau pour le régime végétarien avait finis par me convaincre. Au départ, tout cela n’était qu’un jeu, auquel je me plaisais à participer, mes les liens s’étaient précisés, renforcés. Le jeune homme m’avait alors promis que si nous sortions vivants de cette confrontation, il rentrerait avec moi, en Alaska, et ne toucherait plus au sang humain, ce à quoi j’avais accepté avec une joie non dissimulée.
Ce jour là, les Volturi arrivèrent en une funeste procession, Irina les accompagnant. Je regardais ma sœur avec inquiétude et reproche. Comment avait-elle pu mettre ainsi en danger nos amis de toujours ? Certes, j’avais moi aussi été surprise par cette petite Renesmée, néanmoins j’avais attendu leurs explications. Irina, quant à elle, s’était empressée de se rendre chez les Volturi sans prendre la peine de vérifier le bien-fondé de ses paroles. La scène se déroula bien trop vite à mon goût. Lorsque Caïus et ses sbires se pencha sur ma sœur afin de la réduire au silence, je me précipitai en avant, déversant toute la haine que j’avais pour les italiens. Fort heureusement, Garrett me plaqua au sol, évitant ainsi que le combat ne s’engage par ma faute. Bien qu’il eut beaucoup de mal à me maîtriser, il y parvint avec l’aide de Bella et m’intima de me calmer.
Bien que la bataille ne survint pas, je pressentais que ce n’était que partie remise.
Effectivement, nous eûmes quatre années de répit. Quatre années durant lesquelles je partageais ma vie avec Garrett. Quatre années passées à voyager et à explorer les moindres endroits de la planète. Nous étions ensuite rentrés en Alaska, et avions retrouvé Tanya, Carmen et Eleazar.
L’invitation que nous avions reçue quelques semaines plus tard avait mis à mal nos espérances de vivre un jour en paix. Nous devions une nouvelle fois nous confronter aux Volturi lors du mariage de Jade et du comte Dracula. L’accepter avait été difficile, néanmoins, notre cousine Alice, avait usé de toute sa force de persuasion pour cela.
Aujourd’hui nous attendions notre Destin.
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Avatar pris: Josie Maran
Votre âge IRL: 18 ans
Code: Ok/edit Vlad
Hello, c'est Alice, me revoilà avec un nouveau perso. L'idée me travaillait depuis pas mal de temps et j'avoue apprécier le caractère de Kate, qui, en passant est assez similaire à celui d'Alice, allez savoir pourquoi j'aime avoir des persos un peu délurés et très énergiques.
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Lun 23 Nov - 21:06
