Chelsea Volturi [Terminé]

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Il n'y a rien de mal à la mort.

Ne sais-tu pas que la source de toutes les misères de l'homme, ce n'est pas la mort, mais la crainte de la mort ?, Epictète

Alors, pourquoi s'en priver. La mort ne nous offre-t-elle pas un renouveau ? C'est vrai non ? La plus belle chose que l'on peut faire c'est choisir et orchestrer sa mort. La mettre en scène comme une ultime représentation. De la mort je n'ai jamais eu peur. Et aujourd'hui ? Si j'en avais peur ... j'aurais sûrement peur de moi !

Certain trouve comme excuse que la mort nous prive de tous. Mais il n'y a pas d’excuse à la mort. Soit vous mourrez vieux et faible, soit vous mourrez jeune et beaux.

L'expression "mort naturelle" est charmante. Elle laisse supposer qu'il existe une mort surnaturelle, voire une mort contre nature, Gabriel Matzneff.

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La pièce était sombre et ses pas fantomatiques se firent plus lent. Il faisait noir, si noir qu'aucun humain ne pourrai voir ce qu'il se tramait. La nuit était tombée depuis quelques heures. Le plancher grinçait comme à son habitude, mais quelque chose était diffèrent. La peur me bloqua dans mon lit. Je n'étais pas ou plus à l'endroit que j'avais cru. Je n’étais plus à cet endroit où je m’étais endormis la veille. Je n'osais pas sortir la tête de dessous de ma couette. Quelque chose d'anormal. Puis la peur se dissipa et sa main me toucha. Il était si froid... J'étais venus ici sans en connaître la raison. Non … Je n’étais pas venu ici. Je sentis son souffle s'approchait davantage de moi. C'était impossible d'y résister. Je n'entendais plus mon frère, ni ma sœur. Mes parents eux n'étaient pas là. Et depuis des années. La peur s'effaça encore plus lorsqu'il me prit dans ses bras. Il était beau. Son visage si blanc... Ses yeux si rouge. Bizarrement je n'avais pas peur. Il me fascinait. Le noir semblait disparaître.

Sans décrochait son regard du mien il me fit sortir de l'immeuble. Mes bras s'enroulèrent d'eux-mêmes autour de son cou. Je savais que je n'étais plus dans le manoir où je m'étais endormi la veille. Je ne savais déjà plus si une heure ou des jours c'était écoulés.

Son cœur ne battait pas. Je compris alors qu'il n'était pas humain. Il continuait à marcher. Son regard m'hypnotisait complètement. Puis il me déposa. Mes jambes ne tenaient plus. Je m'écroulais presque aussitôt. Mais je n'eus pas mal. Ses bras si puissant me tenait encore... si délicatement. Il déposa sur moi une veste emplie de son odeur. Si forte. Je l'aimais. C’était si soudain. Puis toujours en me regardant il partit. Ni ma voix, ni mon corps ne répondaient. Je n'avais que mon cœur et mes yeux pour le rappeler. Lui. Un homme si beau... Je ne pouvais y croire. Quelqu'un comme lui me regardait ainsi. Moi... pauvre fille de seize ans.

Quand il quitta mon champ de vision mon rêve s'évapora. J'étais seul. Sur le bas côté d'une demeure que je connaissais bien. L'orphelinat. Il m'avait ramené. Et pourtant j'aurais voulu restait des années avec lui. J'avais, semble-t-il, frôlée la mort une seconde fois. De part sa présence ou de part mon existence. Aucune personne ne pourrait m'apporter la réponse. A ses côtés le temps m'avait semblé passer avec une tel vitesse que je fus surprise de voir le soleil se levait. Combien de temps avais-je passer avec lui. A combien de kilomètres étais-je pour qu'une nuit n'eu pas suffit à me ramené. Qui était-il ?

Ca présence me hanta durant quelques jours. Juste le temps avant que l'on m'apprenne le départ de Eric et Louise, mon frère et ma sœur, dans une nouvelle famille. Moi j'étais trop vieille pour espérer avoir une nouvelle famille. Et surtout avec les rumeurs qui couraient à mon sujet... Il semblait que je fus était touché par la main du diable. Comique non ? Surtout quand on sait que je ne suis ni croyante ni sataniste. J'aime beaucoup trop la vie et ces petites joies pour être un suppôt de Satan. Et pire. Je suis beaucoup trop réaliste pour y croire rien qu'une seconde... Enfin ce dernier point fut mis à rude épreuve ces derniers temps. Avec mon sauvetage par ce bel Apollon sans... rythme cardiaque ...

J'avais réussi à , presque l'oublier. Mais quand les derniers membres de ma famille me quittèrent je me rabattis sur se souvenir. J'avais toujours sa veste. Son odeur. J'avais envie de le retrouver, mais l'orphelinat semblait décider à me garder captive. Par peur qu'un autre chrétien ne me capture pour vouloir me tuer une quinzième fois. Qu'ils me tuent si cela leurs fait plaisir. La vie c'est la vie. Même si je l'adore, je trouverais un moyen de la vivre aussi bien une fois morte ... J'avoue ce n'est pas cohérent.. Enfin bref. Il fallait que j'explique au responsable de cette prison que j'allais parfaitement bien dans ma tête. Parce qu'une fois mon frère et ma sœur partit, ils se sont sentis obliger de m'aider psychologiquement, une innovation à l'époque, mais... inutile à mes yeux. C'est ainsi qu'un "spécialiste de comportement chez les enfants" me rendit visite tous les jours. C'était marrant, car il semblait être terrifié par moi.

Séance 1:

Très instructive ... Il fallait que je réponde à cinq malheureuses questions de la façon la plus personnelle possible... Nom, prénom, âge, date et lieu de naissance... Oula. Attention il allait réussir à me cerner le psychopathe... Ce qui semblait le déstabiliser c'était que je répondais toujours avec une certaine joie de vivre. Une bonne humeur étonnante. Mon nom était Kent. Et oui je descendais de cette très grande et puissante famille qui dirigé la presque totalité de la Louisiane avant que la guerre de Sécession commence. Mon prénom ? Chelsea Elisabeth. Mais Chelsea pour l'entière population de ce monde. J'adorais mon prénoms. Pour moi il était symbole de différence. Car aucune autres filles de tous l'état n'avait mon prénoms. Il était sorti de l'imagination débordante de ma maman. Mon âge ... 16 ans. Jeune, mais aussi déjà trop vieille. Je suis née un 16 Novembre de l'année 1846. Et mon lieu de naissance ... une pâture en Louisiane. Je suis née avec deux semaines d'avance et ma mère était en train de rentrer les vaches quand elle a perdu les eaux. Et après quelques heures de souffrance un bébé avec des bouclettes blonde apparue. J'avais déjà pas mal de cheveux à l'époque !!!

Séance 2:

Attention on rentre dans l'intime. Mes loisirs ? Mes centres d'intérêt. A vrais dire étant enfermé ici 24h/24 je ne peux pas trop savoir. J'aimais bien les animaux quand j'étais petite. A vrais dire je les adorais. Surtout Mississippi le poney que mon père m'avait offert pour mes dix ans. J'aimais bien m'occuper de lui, mais j'étais trop petit pour le monter. Aujourd'hui avec ma situation... J'aime la liberté. Les nuits d'orage et plein d'autres choses. Mais pour lui avouer il faudrait déjà que je le connaisse mieux.

Les autres séances:

Plus nous parlions plus il me découvrait que j'étais tout à fait normal. Je ne souffrais pas trop de la mort de mes parents, car je m'y étais préparé. J'en pleurais pas le reste de ma famille car ils étaient mieux où ils sont maintenant. Mais pourtant cet homme n'avait rien fait de particulier. Il ne savait pas qui j'étais en profondeurs. Et il ne savait pas ce dont j'étais capable de faire. J'avais remarqué avec le temps que les gens avaient tendance à se diviser autour de moi. C'était ça qui m'avait valus une sale réputation. Mais en tête-à-tête cette constations était impossible...

Il partit enfin. Et moi aussi. J'avais besoin de bouger. Et mes six derniers mois dans ses quatre murs m'avaient plus énervé qu'autre chose. J'avais fugué en quelque sorte. Sûr que le monde extérieur serait plein de découvert. Sûr que je retrouverais cet homme... Celui qu'i m'avait séduite en une minute. Le seul qui m'était à l'épreuve ma raisonnement logique

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Inutile de perdre un temps fou sur une partie aussi banal que la vie d'une enfant. Je suis née en 1846. A cette époque les Etats unis subissaient un changement important dans leurs constitutions. Mais nous ne somme pas la pour parler de fait historique. Je suis la première d'une famille de trois enfants et demi. Le "et demi" sera pour plus tard. Ma mère était une riche héritière, mon père un riche exploitant. Ils se sont rencontrés en 1844, et se sont mariés en 1845. Un ans plus tard je naissais. Mon père possédait un domaine agricole immense et de nombreux esclave. Dont Popy un jeune africaine de cinq ans plus âgée que moi. Mon frère Eric vit le jour en Aout 1849. En 1860 j'eus ma première expérience sexuel avec Popy. A cette époque sortirent avec un noir était très mal vu. Coucher avec était pire. Surtout lorsque la classe social étaient si différente. Mais l'âge auquel nous avions fauté était des plus normal. 14 ans l'âge moyen de la perte de pureté chez les jeunes femmes. Le fait que nous devions cacher notre relation était plus qu'excitant. Et plusieurs fois par semaine nous re violions l'interdit. Si bien qu'un jour nous fûmes découvert par ma mère en pleine action. Ca m'avait fait sourire. Car ma mère aimait bien Popy et au fond elle aussi était révolutionnaire. Elle ne dit rien. Et je l’en remercie encore aujourd’hui. J’aimais les interdits … C’était si vivant ?

Malheureusement pour elle. Elle fut frappé de plein fouet par une maladie. Une grippe, ou une autre maladie dangereuse. Le fait qu'elle était enceinte la tua. D'où le et demi. Mon père ne s'en remis jamais. Il découvris Popy et moi-même dans une position des plus explicite. Encore une fois. Et il le renvoya. Il me fit la tête longtemps. Mais il ne résista pas une éternité et fut obligé de me pardonner. Ce fut la première vrais victime de ma capacitée. Il fut obligé de se rapprocher de moi.

1861, début de la guerre de sécession. Mon père fut un des premiers à mourir. De petite famille bourgeoise nous sommes passé à pauvre orphelin. Le reste de l'histoire vous le connaissez.

Ma fuite ne passa pas inaperçu. Mais une belle blonde comme moi avait plus de chance de se faire violer que d'être embauché dans une maison comme femme de ménage. Et vus que je ne tenais pas vraiment en place. Je partis à la découverte du monde. Fière d'être libre et déterminer.

Le temps passa et le corps d'une jeune adolescente devint celui d'une jeune femme de 20 ans. C'est d'ailleurs l'année de mes 20 ans que beaucoup de choses changèrent pour moi. Mon corps était devenu élancé. Mes poignets et chevilles étaient si fin que moi-même je ne comprenais pas comment je tenais. Mes cheveux poussèrent jusqu'au milieu de mon dos. Et mes yeux verts s'étaient affinés. Une peau légèrement allé. Un corps athlétique et une forme d'enfers. J'étais devenus quelqu'un. Mon don, si je peux appeler cela comme cela, m'aida à de nombreuse reprise, me montrant ainsi la fragilité des rapports humains. Mon caractère s'affirma avec les années et je le retrouvai enfin.

Cet homme qui avait obsédé mes nuits durant des années. Enfin c'était plutôt lui qui m'avait retrouvé. Un soir où je rentrais chez mon petit chez moi temporaire. Un homme chaudement vêtus me bloqua la route. En même temps je ne tentais pas du tous le diable, en me promenant de nuit et vêtus ainsi. Un corsé comme haut, avec une tunique large d'épaule à manche longue en dessus. Elle retombait sur un pantalon serré d'esclave. Des bottes haut chaussées comme chaussure. Je le reconnus de suite et lui sauta presque dessus. Heureuse d'avoir retrouvé l'homme de mes rêves. Il n’avait pas changé d’un pouce… C’était troublant.

Je me rappelle de cette nuit, car il m'annonça qu'il était un vampire. Et que jamais au grand jamais, il fallait que je le dise. Cette nouvelle avait eu l'effet d'une bombe dans mon esprit. Et le vieux château où il m'avait en mené devint d'un coup trop petit. Mes réflexions se figeant sur chacun des murs. Je n'avais pas peur. Ni de lui. Ni de la mort. Il passa près d'une heure à répondre à mes questions. Et ce qui devait arriver arriva.... Il ne me mordit pas, mais il céda à un de mes gestes. Je m'étais approché de lui et l'avait embrassé. C'était presque frénétiquement qu'il répondit à cette tentation.

Même si ses gestes étaient durs et parfois violent, le désir de son corps était trop grand. Mon corsage tomba. Mes bottes furent expulsé bien loin. Ses vêtements tombèrent sur le sol. Puis mes mains passèrent sous sa tunique et la retira. Nos regards ne cessant de se chercher. Puis mes derniers vêtement tombèrent. Son corps froid contre le mien, me fit réagir violemment. Mon corps en entier trembla. Mais pas uniquement de froid. D'excitation, d'énervement. Puis nous passâmes réellement à l'action. Mon corps se cambra presque aussitôt. C'était la première fois qu'un rapport était si intense. Si puissant. Nos lèvres se cherchèrent. Nos mains se faufilèrent. Son corps était parfait. Mais à plusieurs reprise il grogna. Ou ses mains se faisaient trop dure. Mais quelques soit la violence de l'acte, j'aimais ce vampire.

Et c'est avec beaucoup de douleurs que je constatais son absence à mon réveille. Je n'avais que sa tunique sur le dos. Et des bleus sur le corps. Cette nuit avait sûrement était la plus extraordinaire de toute ma vie. C'était comme si je n'avais jamais autant vécu.

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Après cette nuit je me sentis mal. J'avais perdu ma joie naturelle. J'avais l'impression que ma vie n'était pas parmi les mortels. Je voyais dans l'immortalité une renaissance. Cette année là je trouvais enfin un travail. Assistante dans un atelier d'artiste. Un peintre qui ne m'offrais aucun salaire, mais un logement et une amitié améliorée. En effet. Je m'étais en quelques sortes résigné à vivre une vie mortel. Et mon instinct joyeux avait repris le dessus avec une vivacité rare. Chasser le naturel et il revient au galop. J'étais devenus sa muse. Il dessinait mon corps, le peignais, je sculptais. Et enfin le touchais avec une précision rare. Il savait me faire posé. A son contacte je développais une âme artiste fabuleuse. J'avais un don pour cela. Et grâce à cela je pus travailler réellement pour lui.

Je comprenais comment il modelait les formes. Et avec de multiple effort je réussis enfin à atteindre son niveau. C'était diffèrent qu'avec mon bel inconnue. Il n'y avait aucun sentiment réelle.

Un an passais et cette situation commença à être rébarbative. J'avais besoin de changement au point que pour une nouvelle fois je changeai de lieu. Qui dit nouveau lieu nouvelle rencontre. J'atterris dans une petite bourgade totalement diviser par les clans. Je me retrouvais dans un Roméo et Juliette format réel. Je n'avais jamais vus autant de haine entre les humains. Comment des personnes ditent civilisé pouvaient-elles se faire de telle crasse. C'était presque malsain. Et pour la première fois, je réussis à imposer mon désir d'union entre les deux clans. Leurs engueulades venaient juste d'un mal entendus stupide. J’imposais à un nombre affolant de personne l’union.

Il n'y avait rien d'intéressant dans cette ville, mais les paysages étaient sublimes. Au point que je passais mes journées à l'observer. Je crois qu'on aurait pus me prendre pour une folle, mais non. J'étais loin de l'être. Les années se suivirent et le temps passais. Mon corps se transforma d'avantage. J'embellissais avec les années. Sûrement le sang pur de centaine de génération avant moi. Mais ce stéréotype de la jeune femme parfaite était trop ... stéréotypé. Surtout avec les activités que je pratiquais. Je savais très bien que mon vagabondage ne durerais pas. Mais je m'y étais attaché. Comme au risque.

Alors que j'avais 22 ans les premiers cirques ambulant Américaine se créèrent. Un chef de troupe m'engagea pour faire des numéros d'équilibriste sans protection. J'acceptais avec joie. Ce métier allié mon besoin de changement à une certaine joie de vivre maladive. Je découvris avec plaisir que j'avais un équilibre à toute épreuve. Et mon poids était assez bas pour que je puisse tenir sur la corde sans qu'elle s'incline. On aurait dit que j'étais faite pour ça. J'enchaînais les spectacles avec cette même satisfaction.

Celle de me faire plaisir et d'en donner aux autres. Mais les conditions étaient rudes. Et le taux de mortalité assez élevé. Et un jour je me blessai. J'avais 24 ans. Autant dire que je ne remonterais plus jamais. Nous étions en 1870. L'approche d'un nouveau siècle était aux bouches de tous. Ils ne pourraient pas se calmer ? C'était dans trente ans. Et j'aurais 54 ans. C'est fou comme d'un coup je me sentais vieille.

Je crois qu'à ce moment là je n'était pas encore prête à endurer ce qui allait ce passer. Même si j'allais vieillir ... Je m'en foutais. Pour le moment je m'amusais. J'aimais ne pas savoir ce dont était fait le lendemain. Encore plus dans les conditions actuels des Etats Unis...

Le cirque me garda comme fille d’écurie. J’étais charger de nourrir les animaux. Mes préférés ? Les fauves. Car de une il fallait être très prudent à ne pas prendre un coups de pattes mal placé. Et de deux car, même petit ils étaient dangereux.

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Nous étions en Décembre 1870. J'avais 24 ans depuis un peu moins d'un mois. J'étais heureuse. Il faisait nuit quand je décidai de quitter le parc où j'avais passé toute ma journée à penser. J'avais loué une chambre à deux kilomètres d'ici. Ma cheville ne me faisait plus du tous mal. Mais mon équilibre en avait pris un coup. Dommage, mais c'est la vie. Mes vêtements étaient encore ce que j'avais quand j'allais nourrir les chevaux. Un pantalon serré des boots et chaps et une vielle tunique, par-dessus laquelle j'avais la veste que mon inconnue m'avait donné il y a des années.. J'étais frigorifiée. Je pris un peu de vitesse pour sortir du parc puis ralentis.

Un mauvais pressentiment. J'avais l'impression d'être suivis. Alors sans attendre davantage je me mis à courir le plus rapidement que je pouvais. Quelques minutes après je me retournais brutalement. Si quelqu'un me suivait je l'aurais vu. Je marchais à présent à reculons quand je me cognais contre un mur. Ce dernier m'éjectai sur le sol. Je pris quelques minutes avant de retrouver mes esprits. Ce n'était pas un mur, mais un homme. Je m'excusais, toujours au sol, quand un détail me frappa. Ses yeux. Il ne bougeait pas, mais je savais qui il était. J'avais peur. Un vampire. Un autre que celui avec lequel j'avais ... autant le dire, couché.

Je savais que celui-la n'était pas si gentil que ... l'homme que j'avais rencontrée. Je fis marche arrière. Puis je me mis à courir. En une seconde il se retrouva devant moi. Je recommençai dans l'autre sens cette fois. Manquant de tomber dans un virage. Je courus le plus vite possible. Je ne savais pas ce qui allait m'arriver. Il réapparut devant moi. Impossible il allait trop vite !

D'une démarche assurais il se dirigea vers moi. Je reculais. Mais un mur me coupa toutes retraites. Un vrai mur et non pas un vampire. Il était à moins d'un mètre de moi. J'avais peur. Mais mon corps ne tremblait pas. Mon don n'était d'aucune utilité face à lui. J'étais juste prise au piège. Ma respiration s'accéléra encore plus. Au point où l'air n'avait plus le temps de venir. Je fermais les yeux trop terrifier pour le voir venir. Son bras s'abattit sur mon menton. Une prise forte et invincible. Il me tourna la tête, lui offrant ainsi ma gorge. Puis une autre de ses mains s'abattirent sur ma hanche droite. Il me faisait mal. Sa prise était trop forte. Je sentis sa respiration souffler contre ma nuque. Au dernier moment je ré ouvris les yeux. Non ! J'essayais de le repousser de toutes mes forces, mais ce fut juste l'étonnement qui le fit me lâcher. L'étonnement de voir sa proie, pourtant résigner se battre une ultime fois en essayant de le frapper. J'avais plus mal aux mains qu'autre chose.

Je m'écroulais sur le sol. Consciente que la peur me tétanisait. Et lui qui était toujours la... Je réussis à bafouiller quelques mots : " Qui es-tu ?" Il me répondit avec une certaine indifférence " Sawyer". Puis il s'abattit sur moi une seconde fois. Je sentis mon corps être tiré d'un coup vers le haut. Il tenait la gorge d'une main. Puis presque aussi vite il me mordit. Un feu, non une éruption, non des millions de lance me transpercèrent le corps. Mon premier réflexe fut de rabattre mes mains sur son dos. Essayant de le griffer le plus fort possible. Mais en vain. Puis le repousser. Mais mes mains retombèrent tout seul dans le vide. Mon corps convulsait alors qu'il se nourrissait. Mes jambes se rompirent sous moi et je m'écroulais. Il me tenait à présent la tête. Un bras contre le mur, l'autre sur moi. Je sentais mes fonctions vitale s'arrêtaient. Puis dans un ultime effort je criais. En vain. Ma voix ne serait jamais assez forte. Je le sentais être de plus en plus présent.

La douleur me brisa totalement. Alors, c'est comme cela que l'on mourrait ? Dans la douleur et l'ignorance. Mon cœur s'arrêta et tous mes nerfs se relâchèrent. Les dernières goutte de sang me quittèrent, enfin je crois. Je sentis ma tête se fracasser contre le sol. Il m'avait lâché... Mais j'étais toujours vivante. Quelques un de mes sens reprirent le dessus. Et j'entendis. Je sentis. Des hommes parler. Puis me prendre. Un groupe de personnes m'avait donc sauvé ?.

Je perdis définitivement connaissance. Et pourtant la douleur était toujours présente. J'avais de plus en plus mal, mais aucune de mes fonctions voulait se réveiller. Et puis je sombrai à nouveau dans un coma sans faille. Une douleur horriblement insoutenable survint de nulle part. Mon cœur se brisa une ultime fois. Puis toutes les douleurs s'arrêtèrent. Je me sentais différente. J'avais l'impression de tout entendre de tous sentir. J'ouvris enfin les yeux. Tous était sombre autour de moi. J'étais dans une sorte de boite ?. Alors j'étais morte ? Donc si je poussais le bois de ce cercueil je pourrais voir ma tombe ?

Je posa ma main sur le dit objet et au lieu de le transpercer, je le brisai. Puis en forçant un peu j'en sortis. De la tête tomba sur moi, mais avec quelques efforts, qui ne m'essoufflaient même pas, je réussis enfin à sortir. Il faisait nuit, mais je voyais clairement. Je vis aussi clairement une pierre avec écrit : Kent Chelsea. 1846-1870. Et merde ... J'étais bien morte mais vivante à la fois. Je venais de sortir d'une tombe sans corps ... Je ne serais quand même pas ? Je replaçai la terre pour faire en sorte que personne ne crois que je fus inhumer puis je partis en courant ... Oula c'est plus courir à ce niveau là , c'est volé !

Et puis quelques choses m'attirais au fond du cimetière. Je m'attaquai alors à suivre cette odeur si attirante ... un humain ! Je l'attaquai. Presque instinctivement je le mordis et le vida de son sang, sans aucune chance de survie. J'étais donc ... un vampire ? Le corps de ma première victime tomba à mes pieds. C’était donc ça d’être un vampire ? Etre dieu ?

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Vous ne croirez peut-être pas, mais j'adorais être une vampire. Je pouvais vivre sans vraiment me soucier de ce qui m'entourait. Je chopais un humain et m'arrangeais toujours pour qu'il meurt. J'adorais être si ... Vivante. J'avoue ce n'est pas logique, mais la vie que je menais n'allez me mener qu'à une mort définitive alors que là... Je pourrais le retrouver et vivre avec lui. Aussi stupide que cela puisse paraître. La seul chose qui m'intéressé pour le moment c'était de le retrouver lui et uniquement lui. C'était niais sur les bord, mais tellement vrais.

J'avais son odeur en tête et chaque jour je le cherchais, en vain. J'avais besoin de son corps, de ses bras, de son souffle. J'étais persuadé que c'était lui mon âme sœur. Mais en 30 ans de recherche je n'avais trouvé qu'une seul chose... Les ennuies. Et un nouveau siècle

J'étais partis en Italie pour essayer de le trouver, et au lieu de ça j'avais trouver les fameux Volturi. Par pure politesse j'avais accepté de séjourner chez eux. Mais vraiment par pur politesse.

Le deuxième soir, alors que j'étais tranquillement en train de dessinais sur des pages. Quelqu'un toqua à ma porte. Je me levais avec difficulté, en fait non mais je l'ai simulé. Quand j'ouvris je vis l'homme que l'on nommait Aro. Sans demander la permission il entra et s'assit sur un fauteuil de l'époque Louis quelque chose. D'accord ça commence bien ... Je ne lui avais parlé qu'une seul fois. Je ne l'avais jamais touché, jamais observé, mais pourtant, lui, semblait avide de combler nos manques en ces matières. Je refermais alors la porte nous bloquant ainsi tous les deux. C'était un homme, pardon, un vampire imposant. Peau presque translucide et des cheveux d'un noir si profond qu'il choquait. Il avait un regard rouge flamboyant. Quand il prit paroles je fus de nouveau surprise de constater qu'il avait une voix si ... douce:

- Chelsea, je te verrais bien porter le nom des Volturi... Si seulement je pouvais avoir ta main, que je demande dans les règles....

Hein quoi ? Il est fou lui ou quoi. Pourtant je le fis. Ma curiosité me perdra. Je lui tendis ma main. J'eus une étrange impression. Et lui un étrange sourire aux lèvres. Je n'aimais vraiment pas cela. Pourquoi il avait encore fallu que je me fourre dans des situations pas possible. Ce fut moi qui retira ma mains en premier. J'avais l'impression qu'il 'étudiait. Malheureusement son sourire ne s'effaça pas et ses propos me déstabilisèrent encore plus:

- On dirais que tu cherches Afton ? Il doit être au Michigan en ce moment. Il doit nous rejoindre d'ici peu. Et je serais extrêmement ravie de t'avoir dans nos rangs

- C'est très gentil, vraiment merci. Je me sens honorais, mais ... Non j'ai à faire voyez vous..

Puis je disparus. Préférant m'éloigner de lui un moment. Malheureusement pour moi, je reviens alors que lui et ses frères, et plusieurs autres vampires discutaient joyeusement ensemble. Vous imaginerez bien que je ne pus m'empêcher de semé le trouble parmi eux. Il me fallut, comme par hasard, trois minutes pour relier l'entrée des escaliers. Et durant trois minutes plusieurs conflits furent lancé au sien du groupe. C'est suite à cela que mes problèmes ont commencé. Il semble que Caius n'a pas vraiment apprécier de se faire gueuler dessus par sa femme. C'est aussi pour cela que Caius ne me tient pas vraiment dans son cœur. Contrairement à Aro qui semble, me vouloir.

Je repartis bien vite d'Italie. Ma nouvelle direction était le Michigan. Mais ou ? Je ne serais vous le dire. Afton ... Ca lui allait bien, enfin je crois. Mon arrivait au Michigan se fit en douceur. Mais aucun Vampire à l'horizon. J'en étais malade. Il ne pouvait pas se cacher bien loin. Et puis je me rappelais d'un détail. Quand nous avions ... fauté, il m'avait amené dans un vieux château en ruine. Le seul en ruine, mais encore habitable était au fin fond de l'état. 1905... Je trouvais enfin le château. Mais personne. Il était déjà reparti. Enfin c'est ce que je croyais. Je sentis et entendis quelqu'un arrivais derrière moi. Face à moi un lit des plus somptueux. La personne derrière moi ne m'était pas inconnue. Afton:

- Ce n'est pas vraiment des manières, même pour une dame de rentrer chez les gens

- Ce n'est pas vraiment des manières, même pour un vampire de coucher avec une femme et de la laisser sans un mot le lendemain.

Je me retournai alors en sa direction. Toujours aussi beau. Il me reconnue presque de suite. Depuis ce jour nous vivons ensemble. Je l'aime et il m'aime. Nous sommes devenus inséparable. Et par amour j'ai accepté de le suivre chez les Volturi... Aro avait raison, un jour je le rejoindrais. Afton et moi avons rejoints Caius au Texas. Notre mission... Mettre fin au massacre et à la prolifération des Loups-garou. J'ai crus détecter une meute que je mets à rude épreuve ses dernier temps. L'un à même faillis quitté le reste de cette meute. Mais sans réussite. Je crois qu'ils sont capables de se mettre des bâtons dans les roues tous seuls.

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Nom: Kent à l'époque, Volturi aujourd'hui ... Ah mon grand desespoire

Prénom(s): Chelsea Elisabeth

Date de naissance: 18 Novembre 1846 en tant qu'humaine, Decembre 1870 en tant que vampire.

Lieu de résidence: Louisiane étant enfant, Texas acctuellement.

Statut: Vampire suceurs de sang Humain.

Classe sociale: Riche puis pauvre puis modeste étant humaine. Riche étant vampire.

Emploi: Avant : Muse d'un peintre et Acrobate dans un cirque. Aujourd'hui : Officiellement rien. Mais je suis la dessinatrice d'une bd connue et j'illustre les magazines qui reclame mon talents.

Famille:

Famille humaine:

Marie Tomsone- RIP- 1824-1860
Fidgeral Kent- RIP- 1822-1861
Chelsea Kent-RIP- 1846-1870
Eric Kent- RIP- 1849-1927
Louise Kent/ Rodrique- RIP- 1855- 1941
???? Kent - RIP- 1860-1860

Famille Vampirique:

Mon père: Sawyer ??? - ?- ????-????
Afton Volturi- Alive- ????- ???

Caractère:

Je ne sais pas si vous l'aurez remarqué, mais je suis une fille (Si on peut le dire) Assez réaliste. J'ai du mal avec la rêverie constante des humains. En revanche j'adore la vie, bien que je sois morte, je profite pleinement de cette nouvelle chance. Je suis pleine de vie, et joyeuse assez souvent... Sauf quand Afton me taquine de trop. En revanche je suis assez sarcastique avec les roi Volturi, surtout Caius.

Je trouve juste dommage que je sois obligé de briser des amitiés ou clan, pour les beau yeux des Volturi.

J'adore discuter avec les gens, mais je ne m'attache jamais. Après tous je passe ma vie à manipuler des liens. Je sais comment ils se forment et se rompent, je n'en vois donc pas l'utilité.

Description physique:

Sans me vanter ?

Je crois que je suis de ses canons de beauté. Je suis blonde aux cheveux légèrement ondulés. Ma peau est blanche, quoi que beaucoup moins que Afton. J'avais les yeux verts par le passé. Aujourd'hui ils sont rouges écarlate.

Mon visage est fin comme toutes mes autres articulations. J'ai une taille de guêpe, des jambes immenses et des doigts d'une finesse folle. Pour mes attributs féminin ? J'ai une poitrine assez fines. Je ne peux pas me vanter d'avoir une poitrine forte. Pour ce qui est de mon fessier. Il est ferme et présent.

Avant, quand j'étais humaine, comme quand j'étais vampire, j'étais assez garçon manqué. Je ne mettais que des pantalons, car je ne m'identifiais pas dans les robes du passée. Aujourd'hui j'ai un look assez Rock. J'assume et je suis bien comme cela.

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Invité

Loisirs:

Mes loisirs sont très malsains par moment. J'aime faire des galipettes avec Afton. Passer des heures à regarder l'orage. Mettre des tensions parmi les Volturi .

Mais mes loisirs favori reste le dessin, surtout la caricature. Ecouter de la musique, je suis comme vous l'aurez deviné assez porté rock. Me promener la nuit. Et surtout... être avec Afton.

Aime:

Ce que j'aime c'est les plaisirs simples de la vie de vampire, chasser, écouter tout ce qui se passe. Mais aussi passer des journées à regarder des films, surtout ceux sur les vampires qui sont très comiques. J'aime aussi le cirque. J'y vais dès que je peux.

Jouer avec Afton ou le voir partir seul dans des délires est quelque chose d'unique et si bon.

En gros j'aime bien les jeux ou ce qui peut me faire rire. Je ne vois pas l'intérêt d'être toujours de ce monde si c'est pour broyer du noir tous les jours.

N’aime pas:

Vous l'aurez compris aussi... je n'aime pas particulièrement les vampires. Je n'aime pas non plus culpabilisé sur le sort des gens que je tue. Car je me demande à chaque fois ce qu'aurait pu être ma vie si j'avais vécu. J'aurais eu des enfants si ce Sawyer ne m'avait pas pris la vie.

Mais bon je ne vais pas broyer du noir. Je n'aime pas non plus les choses inutiles. Ou les multiples promesse que fond les gens et promette une vie extraordinaire.

Car la vie n'a rien d'extraordinaire si on ne la vie pas pleinement

Caractère accentué:

Influe sur les liens affectifs que tissent les gens. Peut rapprocher et diviser les membres d'un groupe.

J'ai un peu la capacité de detruire une famille ou au contraire de les rapprocher. Qu'ajouter de plus ?

{L’histoire de votre personnage:

Vous la revoulez ?

Alors ?

Invité

Wouhouuu bienvenue !!

J'trouve Chelsea est une vampirette trop intéressante, j'ai hâte de voir ce que tu vas en faire Wink

EDIT: Haha, Adam xD

Invité

J'étais sûre que c'était lui....Mouhahahaha.

ReBienvenue Very Happy

Invité

>< Non on m'a déjà grillé !!!

Ah mais Callie fallait pas le dire !

Et comment tu pouvais en être sur ? Je t'avais parlé de Caius pas Chelsea ?

Invité

Non mais je t'avais déjà grillé mon grand... Le style, et puis le lien Deezer^^

Invité

Haaa, t'étais motivé par Caius ??? xD

Invité

Ouais J'allais m'inscrire sous Caius et après je me suis dit .... Trop d'histoire.

Ah ouais Exa le lien deezer ><'

Invité

Baaa, Chelsea j'la trouve plus intéressante que Caïus, après, moi j'aurais p'tetre pris Marcus mdr

Invité

Faut pas, celui qui prend Marcus va se retrouver réduit à l'état d'esclave par Santi quand il dominera le moooonde *.*
Cool, une autre Volturi <3

Mamie est trop balèze, c'est tout.

Invité

Bon bein voilà.

J'ai fini. J'ai bien galéré à mettre les accords aux féminins. Je suis pas sur du tous que cela puisse convenir, car je crois que je me suis vachement éloigné de Chelsea, enfin c'est une impression.

Après j'ai remis la fiche de base à la fin histoire de tout recadrer.

Invité

Tout lu xD On en discute entre admins Wink

Invité

D'acc. Si faut rajouter une partie de l'histoire ( depuis qu'elle est avec Afton) Je peux la mettre. (Enfin faudra que je le retape)

Edite: J'ai modifié quelques points et corriger les fautes que je n'avais pas encore vus

Invité

Alors, après en avoir parlés entre Admin, nous nous sommes mis d'accord pour refuser ta fiche. Certains points ne collent pas, nous savons pour les fautes, et avons essayés d'en faire abstraction.
Mais malgré ça il réside dans cette fiche beaucoup d'incohérences par rapport à l'époque à laquelle se déroule l'histoire. Certains passages, notamment le début lorsqu'elle se fait sauver par Afton sans que l'on ne comprenne pourquoi, ou encore qu'elle couche avec lui alors qu'elle est humaine semble vraiment trop surréaliste. Et au final, nous avons peut-être aboutit vers une Chealsea pas vraiment fidèle au personnage d'origine...

Désolée Adam, j'espère que tu nous en veux pas trop...

(C'pas ma fauuute, j'ai hérité du titre de 'Passe le msg des fiches refusées'.... xD)

Invité

Pas grave je le savais ^^. J'avais une p'tit impression. Je l'ai fait trop vite mais entre les devoirs et tous j'ai pas pris plus de temps. Et encore moins pour rendre cohérent l'histoire. A vrais dire je crois que je suis partie dans un délire et que j'ai pas sus m'arrêter ^^'. Et vus que je sais pas du tout si je serais sortir de se delire, je vais pas m'acharner .

Tant pis c'est que je devais pas l'avoir ;P

Spoiler:

Invité

Mdrrr, merci de ta compréhension kiss: