| | | Kaël Stymet - & The innocence of the monster [TERMINEE] |  |
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| Sujet: Kaël Stymet - & The innocence of the monster [TERMINEE] ![Kaël Stymet - & The innocence of the monster [TERMINEE] Icon_minitime](https://2img.net/i/fa/icon_minitime.gif) Mar 1 Sep - 21:17 | |
| Kaël Stymet & Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.
Dernière édition par Kaël Stymet le Mar 13 Oct - 21:06, édité 1 fois |
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| | Sujet: Re: Kaël Stymet - & The innocence of the monster [TERMINEE] Mar 1 Sep - 21:18 | |
| Personnage Inventé [ X ]
Avatar pris: Ash Stymest
Votre âge IRL: 18 ans
Code: =>[ Hahahahahahahahahahahahaha tu le veux le code ?!! ===> Ok/edit Vlad … voilà !] ----------------------------------------------------------------------- - Spoiler:
{RP:
Je m’appelle Kaël Stymet. J’aurai voulu m’appeler autrement, un nom qui sonne plus agressif, un truc comme Boxer ou bien Kurt, un truc qui en jette quoi. Mais non, j’ai hérité de parents qui pensent que le prénom d’un enfant dirige toute sa vie, comme la voile sur un bateau. Tu parles, le prénom ne veux rien dire du tout, c’est débile et niais de donner un prénom, autant s’appeler la chose, parce qu’il faut avouer que vos parents vous traite un peu comme la dernière des raclures. Enfin je dis ça mais c’est plutôt moi qui le pense comme ça. J’ai 18 ans, ce qui veut dire que dans la tête des gens je ne suis qu’un petit con irresponsable qui ne pense qu’à s’amuser et à foutre la merde. Moi je m’en fiche bien de ce que pense les gens, je les emmerdes au pire. Alors oui, je suis sans doute un petit con irresponsable mais moi au moins je vis une vie qui n’est pas dicté par les impôts, le crédit de la maison ou encore la niche du chien. J’habite au Texas, dans une ville qu’on nomme Houston. Là où les jeunes tuent le temps en rampant dans les caniveaux après une fête trop arrosée, ou alors au coin de la rue assis a refaire le monde comme ils les voudraient. Houston n’est pas une ville pour moi, je m’ennuie, je hais les jeunes de cette ville et déteste encore plus l’idée de traîner avec eux. Ils me font vomir avec leurs idéaux, leurs utopisme et leurs façon de se comporter. Je ne supporte pas de vivre ici. Mes deux parents sont humains, de sang et de chair, il était donc pas très étonnant que j’en sois un moi aussi. Je fais parti de ce qu’on appelle la « jeunesse dorée », mon père possède la moitié des actions d’une grande entreprise de construction automobile, il ne pense qu’à l’argent et ne vis que part l’argent, ma mère quant à elle se contente de se faire entretenir par son mari, comme la princesse qu’elle croit être. Au moment où je vous parle je suis élève au lycée général d’Houston, mais je suis un peu comme un touriste là-bas. J’y passe quand je veux bien et au pire j’en ai rien à foutre. ---------------------------------------------------------------------------- Famille:
Haha. La famille, certains disent qu’il n’y a rien de plus beau que la famille. Tu parles, moi ma famille me fait vomir, elle me fait rire, me fait pleurer tellement j’en ai honte. Une vie bien rangée dans un petit tiroir, papa qui joue au golf ou au tennis dans son petit pull rayé trop court et ces petites chaussettes blanches. Mon géniteur s’appelle Barthemus A. Stymet premier du nom. Ça vous laisse rêveur hein, un nom comme ça évoque beaucoup de pouvoir et surtout beaucoup de fric derrière. Mon père n’a que deux principes dans sa vie : gagner encore plus et ne pas se faire choper quand il trompe sa femme. Un exemple a suivre n’est-ce pas ? Quant à mère elle est tout aussi pathétique que son mari, Francesca Gallioni Stymet, voilà le nom de ma mère, c’est tout ce que je sais d’elle. A h si, je sais aussi qu’elle est née en Italie, qu’elle a épousé le premier Américain riche qui passait, lui a fait deux enfants, et puis ensuite elle est partie. Où ? Aucune idée, et je m’en tape, pour moi elle n’existe plus. Il n’y a qu’une seule personne dans ma famille qui mérite mon attention, une seule personne pour qui je n’éprouve aucune animosité, mon frère Caleb.
Dernière édition par Kaël Stymet le Ven 4 Sep - 19:09, édité 3 fois |
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| | Sujet: Re: Kaël Stymet - & The innocence of the monster [TERMINEE] Mar 1 Sep - 21:18 | |
| A quoi bon ? C’est une bonne question n’est-ce pas ? A quoi bon vous donner des traits de mon caractère, je ne vous plais pas comme je suis ? La bonne blague. Moi, je suis comme tout les adolescents de 18 ans, je suis égocentrique, méfiant, arrogant, dangereux, manipulateur, vil, sournois, schizophrène, drogué, alcoolisé, taré, et tout autres mots que je ne serai vous dire. Il y a des choses que l’on remarque très clairement chez certaine personne, leurs penchant pour l’art, leurs gentillesse, leurs amabilité ou bien encore leurs compte en banque. Oubliez donc les clichés que la télé veut vous faire gober. Il y a aussi des gens dehors qui ne vous veulent que du mal, je suis l’un d'eux. Ma vie a toujours été dictée par des règles, des interdictions, des principes, voilà pourquoi je ne réponds qu’à une seule règle, 1ère règle : Y’as pas des règles, pas d’interdictions, pas de principes. Je fais ce que je veux, quand je veux. Point à la ligne. Les codes, les lois, même la politesse la plus simple m’est égale. Je ne suis pas quelqu’un de gentil, pas quelqu’un de bien, pas quelqu’un d’attachant. Moi, Kaël, je suis le mal. J’oblige les faibles à se courber, les adultes à s’excuser, les filles à se traîner a mes pieds. Pas de place pour la pitié, le monde tel que nous le connaissons ne changera pas, la loi du plus fort est toujours la meilleure. Je suis de ceux qui ne pensent pas au bien des autres, de ceux qui sont dictées par les lois animales, dominer est la seul solution. Je ne suis qu’un petit con égocentrique qui se fait respecter par les poings ou par le nombre de dose d’héroïne que je peux prendre en 2 heures. Je suis dénué de tout sentiments humains, l’affection, amitié, pitié, amour, tout ces mots ne veulent rien dire pour moi, je leurs crache dessus à l’amour et aux autres. Pas de place pour les inférieurs, pas de place pour les pleurnichards, tel est ma loi. Je fais parti de la pourriture du monde, ces gens qui se font montré du doigt dans la rue parce qu’ils ne s’habillent pas comme tout le monde ou bien qu’ils jurent a voix haute, le genre de gens que tout le monde déteste. Les provocateurs qui aiment se battre et faire peur aux grand-mères dans la rue, le genre de personne qu’on évite. N’allait pas croire que je n’aime pas ça, c’est tout le contraire, je suis un fouteur de merde et j’aime ça. Je défie les lois de la nature, je fume, je bois, oh mon dieu je suis un rebel. Tu parles, le monde n’a pas de place pour moi, le monde n’est pas assez grand pour moi. Je crache au visage de la société, je suis ce qu’on appelle « un adolescent en difficulté » haha je me marre. Je suis un utopiste, un artiste qui trouve l’inspiration dans le caniveau, un profanateur d’église, je ne crois pas en dieu ni en une autre divinité supérieure, je suis le seul a décider de ma vie et de ce que je veux en faire. Les choix, les décisions, je les mets de côté pour l’instant, je ne suis qu’un enfant trop grand, le Peter Pan d’un monde en rébellion. Ce que l’on remarque chez moi c’est que je n’ai aucun sens de la justice, aucun sens du devoir humain, n’importe qui pourrai bien crever sous mes yeux que je ne ferais rien pour autant. Je suis indifférent au malheur des autres, tout cela me passe bien au dessus, je ne suis pas compatissant, je vous l’ai dit je ne connais pas les sentiments humains. Je peux passer du rire aux larmes, de ma gentillesse à l’envie forte de vous casser la figure a coup de batte de base-ball. Lunatique ne serait pas un mot assez fort, je souffre de personnalités différentes, ce qu’appellent les gens normaux de la schizophrénie. Je ne suis pas tout seul dans ma tête, il y a plusieurs moi et tout ceci à le don de m’effrayais. Voilà bien la seule et unique chose dont j’ai peur, de ne plus savoir trouver de place pour moi. La violence marche sur moi comme du carburant sur une voiture, j’aime la souffrance, j’aime le mal, en donner et pour moi la meilleure des récompenses. Qui suis-je ? Tout le monde, quelqu’un, personne. L’innocence du monstre. Description PhysiqueJe ne ressemble en rien a ce que vous avez pût voir jusque là. Mon caractère a beaucoup déteints sur mon aspect physique au cours des années qui ont suivies. Je suis la pourriture de se monde n'est-ce pas ? Alors pourquoi ne pas le faire voir à tout le monde. J'ai hérité d'un corps androgyne, il arrive même quelques fois qu'on me confonde avec une femme, naïfs sont ceux qui ne le croient pas. Mon corps est le seul moyen que j'ai trouvé pour faire passer mes expressions, je ne mange pas ou peu ce qui fait que ma carcasse squelettique se traîne avec aisance. Je flotte dans l'air comme un maître Jedï, me déplaçant dans un seul et unique mouvement fluide. Mon corps maigre et fin me permets aussi de me déplacer dans les trous noirs de cette ville, dans les recoins inconnus des gens normaux qui restent chez eux pour regarder la télévision. Je ne suis pas très grand, avantage ou inconvénient a vous de voir. Pour moi cela rime plutôt avec avantage, la chance de pouvoir passer inaperçue quand on monte un coups un peu trop dangereux mais qui pourtant nous fait monter l'adrénaline dans les veines comme l'héroïne' dans une seringue. . Je ne possède pas mon corps, c'est lui qui me tiens entre ces mains. L'assurance que je peux dégager se ressent jusque dans mes tatouages, symbole de ma rébellion, symbole de ma chair, de ma vie, de mon sang. J'en possède 5 au total dont 1 est en grande partie marqué sur mon bras gauche, il retrace avec fidélité mon parcours dans se bas-monde. Il n'y a pas de partie de mon corps que je préfère, toute sont à elle seule le reflet de moi-même. Prenez mes yeux par exemple, rien d'exceptionnel dans mon regard, on ne peux y desseller que tristesse, haine et souffrance. Pourtant le bleu clair de mes yeux attendri la plupart des personnes que je croise, naïfs sans aucun doute. Le regard, les plus grands philosophes traitent le regard comme un moyen d'expression, comme une force cachée. Tu parles, mon regard n'exprime rien d'autre que « va te faire foutre » Les mains, les bras, le sang, encore un autre moyen de m'exprimer. La scarification n'est que l'appel au secours du corps de l'être humain, pour moi c'est juste un moyen de me faire beaucoup de mal sans tuer personne autours de moi. Mes bras portent encore les traces de cette souffrance, des cicatrises couleurs rouge brique ornent mes avant-bras. Moi elle ne me gêne pas, mais ça n'est pas le cas de tout le monde. Que voulais-vous, je m'exprime bien comme j'en ai envie. Peu importe les regards que me lanceront tout ces fils à papa coincé dans leurs ensemble Prada, je leurs crache dessus. Expression, je la transmet aussi dans un moyen moins violent que la scarification, ma coupe de cheveux. J'en change selon l'envie, passant de court à long, de brun à blond, tout m'est dicté par mon envie. Tout ce que je fais de mon corps n'est le résultat que d'un coup de tête, d'un coup de folie. Mon corps, mon physique, la seule partie de moi que je peux contrôler. L'innocence dans la souffrance de l'être.
Dernière édition par Kaël Stymet le Sam 5 Sep - 12:36, édité 4 fois |
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| | Sujet: Re: Kaël Stymet - & The innocence of the monster [TERMINEE] Mar 1 Sep - 21:26 | |
| Loisirs:
Des loisirs ? Mes quels loisirs ? Je n'ai pas d'autre activités que de faire chier mon monde, d'être un petit con inintéressant et d'amener les gens au suicide. Que voulez-vous que je vous dise ? On s'amuse comme on peu non ? Je ne voit même pas ce qu'un « loisir » veux dire. Faire du sport ? Plutôt crever que de ressembler au genre de mecs qui font du sport. Le genre dont le QI ne dépasse pas celui d'un huître semi-morte et dont les muscles sont gonflés au produits dopant. Il y a bien quelques choses que j'aime faire, certes c'est une question de point de vue mais c'est déjà mieux que de courir après un ballon en poussant des hurlements digne d'un homme des cavernes. La drogue est considérée dans mon milieu comme le plus grand des loisirs, un rail de came, une seringue d'héroïne, une taz de speed. Rien de mieux pour bien comment la journée. Mes journées a moi ne sont rythmées que par les coups de fouet incessant de ma langue sur mon palais, de ma cigarette qui crépite. Rien que ça, le bonheur. Je n'ai pas d'amis, pas d'attaches. A quoi bon sortir en bande quand la société actuelle nous fait douter de la confiance des autres. Garde tes amis auprès de toi et tes ennemies encore plus prêt. Voilà une chose que j'aime. Confrontation, je passe des journées a chercher de quoi m'occuper pour ne pas tomber dans un néant trop fade. Que fait-je alors ? C'est bien simple, je ne fais rien.
Aime:
C’est une blague n’est-ce pas ? Où est la caméra cachée ? Il y a peu de choses que j’aime dans cette vie. L’alcool, les filles, la drogue. Voilà en gros mes centres d’intérêts dans cette chose qui nous lie les uns aux autres et qu’on appelle la vie. La nuit environnante, les ombres dessinées sur les murs a l’encre de la peur, les rues faiblement éclairés, vous l’aurez compris je suis un corbeau de nuit. C’est la seule période de la journée où je peux être moi-même, le monstre de mes entrailles. Le milieu de la nuit est un univers effrayant, un constat remplie de peur et de souffrance pour les gens normaux. Pour moi la nuit est mon terrain de jeu, je chasse, je sors, je guide mes victimes dans la noirceurs de la ville. Je verse mon sang, pour me faire du bien je me fais du mal. J’aime le goût de l’amiante dans la bouche, se goût sucré et tendre de la chair fraiche, du couteau sur la plaie. N'est-ce pas excitant de savoir que nous sommes que de faibles humains ? Moi je trouve ça jouissif. J'aime la souffrance, la peur, la rage que je peux lire dans les yeux des gens a qui je fais du mal délibérément. Cette sensation de total contrôle sur les autres, cette supériorité. Je pourrai passer des heures à les regarder se débattre, a les regarder essayer de reprendre le contrôle sur moi. La torture psychique est bien plus forte que la physique, faire souffrir les gens avec des mots voilà ce que j'aime. Les enfoncer, les abattre a coup de phrase. Miam.
N'aime pas:
Tout. Rien. Moi. Toi
On pourrai résumer cette question par ces quatre petits mots innocents. Je déteste les humaines, voir qu'ils prennent plaisir a dévaster leurs monde, leurs vies. Voir qu'ils s'obstinent a bourrer le crâne de leurs enfants avec un déversé de conneries qui ne leurs serviront a rien d'autres qu'à ramasser les feuilles derrière leurs patron. Ce n'est pas la vie que je veux, ça n'est pas la vie que je mène. L'être humain est si complexe qu'une place dans un musée ne serait même pas suffisante. Je crache sur la société et sa morale de partage, tu parles, être égoïste c'est vivre dans un monde ou Je suis le maître. Qui refuserais ça ? Je hais les petites filles superficielles qui ne pense qu'à coucher avec le premier venu pour devenir une femme. Je trouve que c'est du gâchis, tant de combat pour mettre la femme sur le même pied que l'homme gâché par ces filles sans respect. Il y a des choses que les humains normaux aime faire dans la vie, sortir entre amis, boire un café au coin du feu ou encore se ballader main dans la main avec l'être aimé. Foutaises et conneries. La vrai vie ne se résume pas au bonheur mais au nombre de claques que tu te prendras dans la gueule. Je n'aime pas les hommes, ni les femmes, ni les enfants. Je suis un monstre n'est-ce pas ?
Dernière édition par Kaël Stymet le Mer 16 Sep - 15:08, édité 1 fois |
| | | | Un fantôme
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| | Sujet: Re: Kaël Stymet - & The innocence of the monster [TERMINEE] Mer 2 Sep - 12:12 | |
| Wah, une fiche qui commence comme je les aime ! xD Bienvenue =D | |
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| | Sujet: Re: Kaël Stymet - & The innocence of the monster [TERMINEE] Mer 2 Sep - 13:40 | |
| Merci beaucoup =)
J'essaye de finir ma fiche dans les plus bref délai, mais avec la rentrée qui approche je risque de patauger un peu. En plus je veux que la fiche soit la plus parfaite possible ( je suis un peu perfectionniste dans l'âme).
xxx |
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| | Sujet: Re: Kaël Stymet - & The innocence of the monster [TERMINEE] Jeu 3 Sep - 22:31 | |
| J'aime les perfectionnistes, te gêne surtout pas pour parfaire ta fiche ! <3
(c'est Vlad, c'est Vlad) |
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| | Sujet: Re: Kaël Stymet - & The innocence of the monster [TERMINEE] Dim 13 Sep - 13:22 | |
| Bonjour !
Je viens vous annoncer que je suis de retour ! Oui oui pas la peine de soupirer je suis bien là.
Concernant ma fiche, sa avance, sa avance. Il ne me manque plus que l'histoire pour que tout soit ok !
Je suis désolé pour l'attente, mais avec la rentrée et les problèmes d'ordi j'ai été servit ....
Bref, je me dépêche ! |
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| | Sujet: Re: Kaël Stymet - & The innocence of the monster [TERMINEE] Mer 23 Sep - 21:01 | |
| { Chapitre 1 – Caïn & Abel
« Mais pourquoi tu n'es pas comme ton frère ! » Mais c'est vrai ça, pourquoi je ne suis pas comme le grand Caleb. Pourquoi mes parents m'ont mis au monde si c'était pour les décevoir au fil des années, pourquoi m'avoir donné la vie si c'était pour en faire ce que j'en fais en se moment. « Regarde un peu Caleb, il est poli lui au moins » Oh oui, Caleb est poli, Caleb est gentil avec les enfants, Caleb ne tue les animaux comme moi je prends un plaisir à le faire. Vous l'aurez compris, j'ai toujours vécu dans l'ombre de mon frère, essayant de suivre ces traces, de marcher sur la même route que lui. Pourtant j'ai compris très jeune que je ne serais jamais pareil que mon frère. J'avais d'autres pulsions, des pulsions plus animales et plus sadique. Le genre de pulsions qu'on ne peut pas contrôle quand on y est confronté. Le sang, la souffrance, la haine. Tout ça a toujours fait partie de moi. Je jalousais tellement mon frère que j'avais des envie de meurtres, lui, le grand Caleb, le héros de mes parents, l'enfant prodigue. Malgré les pulsions assassines j'ai toujours admiré mon frère, lui qui faisait tout pour être le fils parfait et qui se droguait en douce avec ces copains dans la cave. Douce illusion pour mes parents, douce et forte pression pour moi. Haha, Caleb le magnifique allait enfin tomber de son piédestal. « Kaël ! Comment ose tu décréditer ainsi ton frère ! Tu n'es qu'un sale menteur ! » Oui papa, pense bien ce que tu veux, tout cela m'importe peu de toute façon. Tu l'a dit toi, je ne suis qu'un monstre. L'abomination de se monde, la puanteur de ta vie. Vous devez sans doute ne rien comprendre a tout ça, je vais vous expliquer en remontant un peu en arrière.
Mon père a toujours trouvé que l'argent était le meilleur moyen de faire parler de soit, d'être connu et reconnu dans la société comme le grand patron de cette grande entreprise. Il est le cliché de tout ce qu'on peut imaginer sur un patron de boîte, la quarantaine bien tassée, un ventre rond sous son costume a 30 mils dollars, des cheveux gris qu'il tente de cacher tant bien que mal, un compte en banque aussi énorme que sa cupidité, plus de prostituées en un mois que de visite a son fils. Pathétique. Quant à ma mère, elle ne vaut pas mieux que lui. Francesca Gallioni, italienne pure souche ne sachant pas parler un mot d'anglais a trouver bon de se marier avec le premier milliardaire venu. Manque de bol que ça soit tombé sur lui, pauvre Barthemus. Deux ans plus tard elle avait foutu le camp et avait laissé a mon père deux enfants en bas âges, pathétique. Mon frère et moi nous avons grandi sous la direction de plusieurs nourrices que mon père payait en cash et en nature, un peu de plaisir dans se monde de fou. Caleb a développé dès son jeune âge un caractère de saint, un gentil garçon, la pierre précieuse sur le diadème de mon géniteur. Moi j'étais le vilain petit canard, le méchant garçon qui passait ces journées a décapiter des poupées et a y prendre beaucoup de plaisir. Dès mon plus jeune âge j'ai été l'esclave de mes pulsions, j'avais soif de souffrance, soif d'animosité. Je faisais peur aux autres et j'en étais fier, très fier même. J'avais envie de voir la souffrance et la peur sur le visage des gens qui m'entourait, je voulais les voir terrorisés, affolés. Ça me donnait encore plus envie de leurs faire du mal, envie de les achever sous les coups de ma volonté de les blesser. Un monstre, mon père l'a toujours dit.
Caleb Stymet, mon frère, mon héros. Il a toujours été celui que j'admirais le plus, derrière son côté ange il était tout aussi diabolique que moi. C'est lui qui m'a tout appris, qui m'a tout dictée, qui m'a montré que ma vrai nature n'était pas celle que je croyais. « Tu n'est pas un monstre Kaël, loin delà. Tu est juste sujet a des pulsions animale qu'on ne contrôle pas. Je le sais, je suis comme toi. » C'est ainsi que j'ai découvert que mon frère et moi partagions plus de choses que j'aurai pût le croire. On avait cette même soif, cette même envie de souffrance incontrôlable. Alors oui, nous étions des monstres, mais au moins on était deux. C'est alors que ma vie a changé de sens, elle a pris un virage a 360 degrés, fait un dérapage et c'est engagé sur une nouvelle route. Je n'avais plus peur de mes pulsions, mon ange gardien était a mes côtés. Je me suis laissé glissé dans la noirceur en sa compagnie, le monstre caché à l'intérieur était enfin sorti de sa cachette.
{ Chapitre 2 – Shadows of the night
La nuit est un élément compliqué, une abstraction de l'âme qui dévoile aux autres des parts de nous que l'on ne connaît pas encore. J'ai commencé dans les ruelles sombres de mon quartier, a attendre, traquer et suivre ceux qu'on s'obstinait a appeler « Les profanateurs d'âme » Il n'y avait que deux règles dans se jeu, première règle : On ne prends que ceux qui ont fait du mal, deuxième règle : on ne laisse jamais de traces de notre passage. J'avais treize ans quand tout cela a commencé, Caleb lui en avait seize. Je me souviens très bien de la première fois que se jeu malsain a pris place, il m'avait mis en garde contre la gravité de nos gestes, m'avait fait promettre de ne pas agir pour cette première fois et de ne jamais rien dire à personne, jamais. Accoudés au mur qui donnait sur l'entrée arrière d'une boîte de nuit branchée d'Houston on avait attendu deux heures durant que notre première proie veuille bien se montré. Caleb fumait sa cigarette comme on consume la vie, a grandes inspirations fortes et douloureuses, du haut de mes treize ans je l'imitais en tout, même en ce qui concernait la drogue ou l'alcool. J'étais son ombre, son autre côté, son autre lui. . « Tiens c'est lui regarde » Effectivement, le premier profanateur était sorti par l'arrière de la boîte de nuit. Dans sa petite veste en cuir et ses lunettes de soleil il avait l'impression d'être un dieu, le meilleur des meilleurs. Caleb écrasa sa cigarette contre le mur et parti devant sans que je ne m'y attende, je bondis pour suivre ces pas, sentant l'excitation et l'adrénaline montée de plus en plus dans mes veines.
Je rejoinds mon frère au plus vite et marcha derrière lui, dans son ombre comme je le faisais déjà si bien. Le petit con devant nous ne s’était même pas aperçu de notre présence, que les gens sont cons quand ils se croient forts. Marchant tout les deux dans le silence de la nuit, Caleb avait le visage fermé, les yeux grand ouvert et on pouvait lire sur son visage l’animosité qu’il ressentait pour se fils de bourge. J’avais treize ans, j’étais encore en passe de devenir quelqu’un. Je ne savais pas ce que je faisais là, encore moins où je devais aller. Je me suis contenté de suivre Caleb comme son ombre , collant mon épaule contre son torse. « Mais qui voilà ! Le grand Mickael ! » La victime se retourna après les paroles qu’avait émis mon frère, la surprise dans son regard ne fit qu’amplifier la soif de Caleb. Je le voyait bien a ces yeux, et dans mon cœur a moi cela n’avait fait qu’animer mon animosité et à ma rage. Mais laisser moi d’abord pour présenter Mickael. Mickael a 17 ans, il est le fils d’un grand patron, il aime les vestes en cuirs, les polos de marques et violer les amies de sa sœur dans les fêtes qu’il organise. Voilà, c’était lui le premier que j’allais vois, le premier de la liste de Caleb. « Qui êtes-vous ? On se connaît ? » Le rire de Caleb s’éleva dans la nuit noire, j’essayais de deviner son regard mais il était bien trop loin de moi pour que je puisse voir quoi que se soit. « Non mais nous on te connaît Mickael. On connaît aussi ta sœur Pénélope, ainsi que toute ces amies dont tu a abusé »
La peur sur le visage du jeune homme fût remplacé par une émotion que je n’arrivais pas a décrire, un mélange entre affolement et surprise. Dans mes veines, l’adrénaline avait pris sa place dans mon sang. La colère en moi ainsi que l’animosité n’avait fait qu’augmenter quand le visage apeuré de Mickael m’était apparu. Ô douce violence de mon âme, doux parfum de la peur et de la sueur sur le visage déconfiture de ce profanateur, comme je me sentais bien, comme je me sentais vivant devant lui qui allait bien connaître le jugement. Mon frère s’avança dans la nuit, il sorti de sa poche l’arme qui nous suffirait pour arrêter les déboires du jeune violeur. Je m’avançais à mon tour quand la main de Caleb se plaça devant moi « Toi tu restes ici, tu regarde et tu apprends. Le prochain sera pour toi mon frère » Et dans un seul et unique mouvement, le couteau s’enfonça en même temps que la main de Caleb. A l’intérieur, tous mes sens étaient en action, je tremblais de plaisir, j’étais secoué de spasmes de bonheur. Le sang, le sang et encore le sang. Qu’il coule à flot pendant que je jubile, comme c’est bon. Mon dieu, j’aime le voir ainsi se trémousser en hurlant, chercher a comprimé la plaie de son cœur. J’ai envie de lécher le sang, de me laisser aller a mon plaisir néfaste. Caleb était aussi heureux que moi, mais plus habitué a se genre de chose il me prit par le bras et m’entraîna loin de la ruelle ou Mickael a trouvé la mort ce soir là.
{ Chapitre 3 : God is my Lover !
Je suis un être abominable et sans scrupules. Je suis l’abomination de toute une génération portée par la télévision, les drogues et l’alcool. Je suis un petit con narcissique et mythomane. Un homme chargé de haine qui la dépense en faisant du mal. Je suis le criminel d’une génération suicide. Je suis l’être qui pollue tes pensées. Je suis le vengeur dans la nuit. Je suis l’homme au masque noir. Je suis l’être aux veines noires. Je suis la peur. Je suis le plaisir que j’en retire à chaque fois. Je suis le mal. Je suis le contraire. Je suis l’horreur. Je suis la peur. Je suis formaté au sang. J’aime le sang. J’aime le voir couler. J’aime la haine. J’aime la voir percée. J’aime l’adrénaline. J’aime la voir montée. Je suis la sueur froide de Jack. Je suis tout. Je ne suis rien.
Vous l’aurez compris, je suis tout ce qu’on ne veut pas être. J’ai passé ma vie à chercher qui seraient ma prochaine victime, lequel aura le droit de goûter à ma vengeance et à mon arme. Je traque, à chaque instant les profanateurs qui auront laissé le mal s’installé en eux. Je ne peux pas combatte le sang, je ne peux pas combattre ce que je suis. Je suis un vengeur, je tue les méchants, ceux qui méritent de souffrir pour le mal qu’ils ont fait, ceux qui auraient brûlé dans les flammes de l’enfer. Caleb, mon héros, mon frère, est parti depuis longtemps. J’ai pris le relais de ces actions, je tue le mal par le mal. Houston, j’y habite toujours. Houston, j’y tue toujours. Seulement les mauvais. Je suis l’abomination de ce monde.
Dernière édition par Kaël Stymet le Mar 13 Oct - 20:25, édité 4 fois |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: Kaël Stymet - & The innocence of the monster [TERMINEE] Mar 6 Oct - 16:20 | |
| Je voulais juste savoir, si ta fiche est terminée, ou si tu nous rajoute encore quelques charmants chapitres ? |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: Kaël Stymet - & The innocence of the monster [TERMINEE] Mar 6 Oct - 20:58 | |
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| | | | Un fantôme
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| | Sujet: Re: Kaël Stymet - & The innocence of the monster [TERMINEE] Mer 14 Oct - 17:17 | |
| AAH ! Superbe fiche ! Bon ok y'a des fautes (xD), mais sinon c'est très bien écrit *-* T'as des tournures de phrase très poétiques, ah j'aime beaucoup oui oui x)
Bref, t'es validée hein xD
BIENVENUUE ! =p
[ah et j'aime beaucoup la localisation de ton perso xDD (profil)] | |
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| | Sujet: Re: Kaël Stymet - & The innocence of the monster [TERMINEE] | |
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| | | | | | Kaël Stymet - & The innocence of the monster [TERMINEE] | |
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