Cochez : Poste Vacant [ X] Poste Vacant d'un membre [ ] Personnage inventé [ ]
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Nom: Elle l‘ignore
Prénom(s):elle l‘ignore aussi mais on la surnomme Laa ou Belinda
Age: 4000 ans
Lieu de résidence: Volterra
Statut: Vampire
Classe sociale: aisée
Emploi: aucun
Famille: Laa est l’âme sœur de Santiago, ils se complètent, se comprennent, ils sont les premiers amoureux vampiriques au monde, et les plus vieux. Laa créa trois femmes dont il ne reste plus qu’une, Elisabeth Bathory. Elle-même créatrice de Dracula.
Caractère: Laa peut se montrer douce comme le lait, la seconde d'après, agressive comme un chat furieux. Elle est capable de la générosité la plus exquise et de l'égoïsme le plus détestable. Elle partage avec ses pairs le goût du sang, boisson dont elle n'hésite pas à se baigner dedans et à en rechercher les plus pures saveurs, mais répugne à tuer les animaux et voue une haine profonde envers les humains qui les maltraitent. Elle a un cœur sensible, beaucoup d'affection à offrir, et souffre d'un fantôme qu'elle a compris trop tard pouvoir aimer - mais ce coeur est recroquevillé, protégé par une épaisse coque de glace, de mépris, de cruauté. C'est un mystère dont on ne peut jamais prévoir la réaction. A l'instar de Santiago, sa mémoire est trop riche pour qu'Aro puisse supporter de la toucher. Tant mieux pour lui. Aucun doute qu'il se perdrait dans les méandres de velours, d'hiver et de violence contenue qui dorment derrière les prunelles mauves...
Description physique: Laa est magnifique, mais plutôt captivante. D'abord parce que son aura maintient la plupart des gens à l'écart, écrasés par la prestance qu'elle dégage. On dirait rien qu'à passer à côté d'elle qu'on rétrécit, qu'on est tout à coup minuscule et insignifiant, et malmené par cette impression, on fuit. Cela est réservé aux humain, bien sûr, inconscients de l'origine de ce sentiment. L'âge, bien sûr, est responsable de cette aura. Un être si vieux et si beau ne peut qu'inspirer le respect, la fascination, non ? Ses yeux sont anormalement sombres, comme l'étaient tous ceux de sa génération. Santiago, même végétarien, avait les yeux or foncé. Mais ses prunelles ne sont ni or, ni rouge. Elles sont violettes.
D'un pourpre magnifique, légèrement teinté de rouge à ses heures affamées ou après un repas. Couleur qu'elle a transmis à ses trois créations, et que ses créations ont transmis à leurs propres fruits. Couleur rarissime et troublante... Couleur qui hante depuis des milliers d'années l'âme torturée d'un certain Volturi. Elle possède des cheveux d'un noir d'ébène, lisses et soyeux, qui autrefois lui tombaient jusqu'au bas du dos. Aujourd'hui, ils lui arrivent au-dessous des épaules. Son visage, sculptural, ses sourires, hypnotiques, sa grâce, nymphe de glace, contribuent à son charme... Une violette prisonnière de la neige.
Loisirs: Laa passe tout sont temps à chercher Santiago…
Aime: Elle aime se sentir regarder, admirer et respecter cela lui donne une certaine estime d‘elle-même…
N’aime pas: elle n‘aime pas Aro car il la enfermée au fond de volterra et lui a fait du chantage pendant très longtemps
Caractère accentué: Laa est un être compliqué, pleine d'oxymores, de paradoxes, d'ombres et de lumière entremêlées. Mettons que vous ayez une liste de défauts dans votre tête. Et bien attribuez-les tous à cette sublime démone, à cet ange délicat, et toutes les qualités qui vont avec.
{L’histoire de votre personnage: L’histoire de Laa remonte a Treés longtemps… elle ne se souvient pas de sa vie humaine… ces seul souvenir commence ici et sont raconté par Santiago:
"Et puis nous rencontrâmes cinq autres vampires. Trois mâles, deux
femelles. Plus un autre mâle, qui en sentant notre odeur nous rejoignit
un peu plus tard. Ce fut un grand moment de trouble, de brutalité et de
désarroi ; étaient réunis là, au grand complet, tous les vampires du
monde, sauf un - notre créateur, invisible à jamais. Cela se passa,
bien sûr, très mal. Des heures durant, nous nous sommes battus avec une
brutalité inégalée ; beaucoup gardèrent des cicatrices de cette
entrevue. Ce n'est qu'après deux nuits et deux jours d'affrontement
acharné que nous avons consenti à nous apaiser : nous étions les seuls
membres de notre espèce, huit vampires violents, amnésiques et
ignorants de leur propre identité. D'un commun accord, nous avons
décidé de voyager ensemble. C'est alors que l'envie d'organisation, le désir de communication me poussèrent à instaurer une langue. Notre langue. Entreprise qui me prit de longues, longues années mais qui finit par donner ses fruits ; c'est en de nombreuses langues occidentales telles que l'espagnol ou le français que je retrouve la première idiome des vampires : le latin.
C'est par évidence que nous reçumes presque tous des noms à consonnance latine. Je me plaisais à nommer mes compagnons, qui, chose étonnante, l'acceptaient toujours sans discuter. Ma première rencontre devint Julia. La grande femelle aux longs cheveux bruns, silencieuse et
mystérieuse devint Laa. J'ignore pourquoi, mais c'était ce que ses
surprenants yeux mauves m'inspiraient. Ce fut elle la seule et unique
porteuse de cette couleur étonnante, qui ne changeait que de reflets,
même lorsqu'elle mangeait autre chose. Fait intéressant, tous ceux
qu'elle a créé et qui furent créés à sa suite par ces nouveaux-nés
eurent tous les yeux mauves..."
"Quant à Laa... Nous ne découvrîmes son don que bien tard. A l'époque, nous étions déscendus au Sud, où des terres dorées et odorantes nous avaient attirées jusqu'à elles. La jeune femme avait voulu serrer notre ami
dans ses bras pour lui témoigner son amitié, un jour de déprime. Le
hurlement strident qu'il avait poussé à la seconde l'avait bien sûr
interpellée. Lorsque, atterrée, elle me toucha à mon tour, je ressentis
une violente attirance, un désir si puissant que la tête me tourna un
moment. J'ignore comment je résistai à cette folie qu'un contact
physique déclenchait en moi. Nous comprîmes alors que selon la
personne, Laa pouvait créer chez lui une répulsion frénétique de peur
et de dégoût ou une folie de désir physique et moral qui durait le
temps du contact. C'était la première fois qu'elle nous touchait, et ce
fut la dernière. Aujourd'hui encore j'ignore pourquoi j'ai ressenti
cette ivresse, et pas Ciaro. Peut-être parce qu'il n'était pas...
Compatible ?"
"Nous prîmes un jour une grande décision : nous nous ennuyions, nous étions curieux. Nous nous sommes mêlés aux humains. Un village portuaire,
modeste, peuplé d'incultes et de barbares. On nous accueillit comme des
dieux - et ce que nous étions. Immortels, magnifiques, puissants,
imprévisibles. Nous avons perfectionné leur langue, nous avons
improvisé une écriture, nous avons perfectionné leurs outils et guidé
leurs réflexions. Très vite, le village devint ville, les barbares
devinrent des hommes. Une école. Un temple. Deux temples. Le port
agrandi. Nous nous plaisions dans notre rôle de guides, d'aides, ce qui
nous soulageait après toutes ces années d'égoïsme. Laa avait du mal à
ne pas toucher les humains, et par conséquent repoussait très durement
les conquêtes. A votre avis, pourquoi est-ce que Athéna est réputée
chaste et terrible ?... J'étais amusé de voir que les filous, les
commerçants, les tendancieux venaient me demander conseil. Hermès, vous connaissez ? Ciaro, lui, avec sa bouille d'ange et sa patience, aidait
les femmes en détresse et les couples défaillants. Ah, Eros... N'est-il
pas blond et beau comme un ange, celui-là ?
Et oui, la Grèce... Athènes me plaisait beaucoup. Elle me plait encore..."
"Laa, Ciaro et moi croisâmes la route de trois nouveaux-nés qui allaient
changer le monde... Nous avons fait notre possible pour le pas les
effrayer. Ils étaient seuls, abandonnés là par leurs créateurs. Nous
leur demandâmes depuis quand ils étaient "nés" : et quelle stupeur de
découvrir qu'ils gardaient des souvenirs très flous de leur humanité !
Ils se souvenaient avoir été humains. Nous, pas. C'était peu, et
c'était énorme à la fois. Laa était d'avis de les emmener quelque part
et de les laisser se débrouiller, Ciaro proposait de les laisser tomber
mais je ne fis ni l'un ni l'autre. Je voulais les instruire, les aider.
Laa s'énerva, Ciaro soupira. Nous nous séparâmes après plus de trois
cents ans passés tous les trois."
(les nouveaux-nés sont Aro, Marcus et Caïus, Laa le découvrira plus tard)
"Les frères avaient à leur compte plusieurs centaines d'années, et
approchaient des 1000 ans - je doublai les miens avec insouciance.
C'est en descendant le long de la côte que nous les avons croisés.
Julia, Setus, mais aussi trois femelles et trois mâles. Une colère
sourde me secoua, sentiment enfoui depuis longtemps. Ils avaient osé !
Et l'une des femelles était atrocement défigurée. Comme si on l'avait
remontée à la hâte, que les pièces avaient du mal à s'unir... Mon
estomac me remonta dans la gorge. Pandore ! Entière. Son regard en
disait long sur ce qu'elle avait pensé de son séjour en boîte...
Nous étions quatre contre huit. Je ne vous cache pas que nous eûmes beaucoup de mal à nous en sortir ; je me demande même si nous n'aurions pas été tout simplement rayés de la surface de la terre, si deux petites
silhouettes blanches n'avaient pas surgi du néant. J'étais en train de
sauver ma peau face à deux nouveaux-nés hystériques quand deux bras de marbre les ont serrés doucement - comme pour leur faire un câlin. Ils
ont poussé un hurlement strident, tremblé d'une horrible façon et se
sont enfuis en courant. Voyant ça, les autres ont hésité quelques
secondes, ce qui a suffi à une faille pour s'ouvrir sous leurs pieds et
les engloutir jusqu'au menton. Ne restèrent que les créateurs ;
reconnaissant là leurs anciens compagnons de route, ils prirent la
poudre d'escampette. Je les vis à peine. Tous mes sens étaient
obnubilés par celle qui courrait après eux. Ses longs cheveux noirs
flottaient derrière elle. L'enfant, lui, prit le temps de s'arrêter et
de me crier quelque chose.
- Pyro, souffla-t-il, et il disparut à sa suite.
Les trois frères ne surent pas qui étaient ces deux vampires, malgré leurs
incessantes questions et la tentative d'Aro de me toucher. Je grondai
d'un air menaçant. Cela sidéra mes compagnons, habitué à un calme
presque impersonnel et un sang-froid révoltant. Ils n'insistèrent pas,
je crus qu'ils avaient oublié. Je n'avais pas envie de parler de Ciaro,
encore moins de Laa. Les revoir sans leur parler, ne pas croiser ces
sombres améthystes m'avaient poignardé d'une drôle de façon. C'était
nouveau pour moi. Auparavant, je ne m'étais pas attaché aux autres. Ce
n'était pas dans mon caractère."
Santiago apprend plus tard que Laa se fera brûler une partie de ses cheveux en fuyant les deux vampires, Ciaro perdant la vie au combat. Il ne la revoit pas depuis et la croit sûrement morte...
Il y a une période de trois cents ans, aux alentours du Moyen Age, où monsieur part en Amérique du Sud. C'est à ce moment-là que des gardes Volturi capturent (non sans mal) la divine Laa, et l'apportent à Aro...
Sentant l'aubaine, le vampire enferme la femelle au fin fond de Volterra comme on cache un beau trésor ; il est aux anges, il possède une femme dont Santi n'a jamais voulu lui parler - donc, de très grande valeur - et surtout elle est à ses ordres. Ben oui, c'est simple : si elle essaie de s'enfuir, il fait tuer Santiago. Il ignore son vrai nom, l'appelle Belinda, en est jaloux comme d'un collectionneur. Il n'a parlé à personne de son existence, parce que sa paranoïa compte s'en servir comme monnaie d'échange le jour où, peut-être, son ennemi essaiera de le renverser...
Seulement, les secrets sont faits pour être partagés. Aro en parle à une seule personne, Marcus.
Cette personne, curieuse, cherche et trouve Laa. Touchée par son sort, elle la libère très discrètement. La vampire est libre... Libre et elle sait que Santi est quelque part, en vie.
Depuis Laa cherche désespérément Santiago en vain elle n’abandonne pas et espère le retrouver un jour…
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Avatar pris: monica cruz
Votre âge IRL: 14
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