Kaily June [ Terminée !]

Invité

Au début j’ai commencé la fiche à la troisième personne du singulier car je trouvais que pour les descriptions physique et caractérielle, c’était assez difficile et les descriptions ne seraient pas complètes, en ce cas.

Nom :

June

Prénom(s):

Kaily Camille Ilea, mais Kaily suffira ^^

Age:

Une vingtaine d’années (20 ans pour être exacte^^) en apparence mais 87 ans en réalité…

Lieu de résidence :

Vagabonde

Statut :

Buveuse de Sang Humain….

Classe sociale :

Lorsqu’elle était humaine, Kayli était marié à un richemédecin qui gagnait assez sa vie pour satisfaire sa femme. Depuis sa transformation, Kaily vole ses victimes…

Famille :

Kaily était la femme d’un médecin de campagne, il ya pas mal d’années, ils n’avaient cependant ni enfant ni parents (voir Histoire) Elle n’a ni attaches ni famille et voyage seule.

Caractère :

Kaily est une jeune vampire constamment en recherche d’équilibre, d’harmonie, et fuit les conflits. C’est son désir de vivre qui la pousse à continuer son chemin sanglant. Actives, franche, c’est une personne droite, généreuse et en qui ont peut avoir confiance. Son coté rêveur la fait passer parfois pour un poisson rouge sans cervelle, mais détrompez-vous. Kaily est débrouillarde, indépendante, sagace (Na !:p). Et avec tout ça, la jeune femme cultive aussi ses défauts ! Elle est possessive, fougueuse (trop d’où le classement dans les défauts), ne peut s’empêcher de toujours avoir des regrets ou exprimer sa révolte, ainsi que trop éprise de liberté. Tout devient une cage, elle se sent oppressée et aurait grand besoin de se calmer ! Elle est sacrément entêtée, bref têtue comme une mule et est une vrai tigresse. Sesetits moments de déprimes passagers fotn partis de son charme comme le reste de ses attributs... Une jolie rose avec des épines quoi… (Pas très originale comme comparaison…)

Description physique :

Une peau blanche comme la neige, des yeux écarlates. un corps svelte et mince, la peau douce comme celle d’un pêche mais plus froide que la glace. Jusque là, c’est classique pour un vampire. Kaily a les cheveux bruns, aux reflets noisette et aux sublimes boucles. Ses yeux fins dégagent une expression d’infime douceur et ses pommettes l’espièglerie. Elle est belle à couper le souffle, la transformation de vampire l’a magnifiée. Elle subjugue souvent les humains par cette beauté (encore tout à fait normal pour un vampire), elle-même est consicente que son éclat naturel ne laisse aucun humain mais sait aussi que pour un vampire, cela n'a rien d'exceptionnel, de toute façon cela l'indiffère au point de la laisser froide comme la glace [ Scusez' mon mauvais humour...]... Elle n'est pas vraiment grande, mais sa silhouette élancée pourrait laisser croire qu'elle l'est. [et mes maladresses...]. Niveau poids, Kaily est un petit gabarit, elle ne s'est pas pesé depuis sa transformation mais lorsqu'elle était humaine, elle pesait 58 kilos... Elle ne pense pas que ça ait changé depuis. Elle ne sourit pas souvent, en tout cas pas à ceux qu'elle ne fat que croiser.

Loisirs :

Kaily adore la lecture, la musique (surtout Queen^^), elle sait jouer du violon, pianoter les quelques notes de Bohemian Rhapsody (de Queen XD). Mais sa véritable passion, c’est le dessin. Elle passe des heures à dessiner ce qui lui passe par la tête, garde toujours sa petite pochette à dessin sur elle, oui même lorsqu’elle chasse ! Ce qui ne la gène absolument pas (niveau phisyque)…. Parfois il lui arrive de dessiner ses victimes avant de les tuer, non par plaisir pervers, mais pour se souvenir de leur visage… Pour ne pas perdre son humanité. Elle vient de découvrir internet et l’informatique et essaie d’en apprendre le plus possible. Les sites humains notamment la fascine, surtout ceux des adolescents… Elle se retrouve parfois dans leurs propos et dans des rares moments, elle parvient à penser qu’elle n’est pas totalement un monstre. La chasse aux humains occupe le reste de son temps, mais elle essaie de ne pas trop en chasser…

Aime :

Les lieux où coule une rivière, histoire de laisser couler ses pensées au fil de l’eau, les voyages, tout ce qui est beau, racé l’attire plus que tout. L’art fait partie de savie, depuis toute petite, des dessins d’enfants de ses petits cousins jusqu’au tableau des grands maîtres, tant que ça « dégage » quelque chose, ça lui plaît ! Niveau musique, elle adore les vieux (ou récents) groupes et artistes anglais ou chantant en anglais, comme les Beatles, Queen (son préféré ^^) , Les Fools Garden, Supertramp, Coldplay, The Hoosiers…. Sa chanson préféré est Bohemian Rhapsody, la première qu’elle a écouté en tant que vampire, Son livre préféré : « To kill a mocking bird » de Harper Lee, son tableau préféré : « la liberté guidant le peuple » de Delacroix…

N’aime pas :

Kaily hait les grenouilles ! Oui, elle sait, c’est parfaitement absurde, mais elle déteste ça ! Elle trouve les grenouilles répugnantes et laides… Des Quasimodos en force, sans l’agréable caractère ! « Kya Kya que c’est moche ! » En général, elle crie ça quand elle en voit une ^^. Non pas qu’elle ne s’intéresse de l’apparence, mais on peut supposer que tout ses sentiments de rejets sont concentrés sur les grenouilles de façon à ne pas s’étendre sur d’autres choses, comme le fait qu’elle soit vampire. Oui cela aussi cela la répugne, certes moins que les grenouilles, mais bon… Surtout le fait de tuer des humains pour se nourrir ! En fait, elle n’a pas encore eu l’idée de se servir des animaux pour éviter d’assassiner les humains. A part ce que je viens d’énoncer, il y a peu de choses qu’elle n’aime pas. Soit elle aime, soit elle est indifférente au reste.. Pas difficile ! XD

HJ :

Votre âge IRL (dans la vraie vie) :

15 ans, je commence seulement à « écrire », et je suis consciente de toutes les fautes et les bizarreries (surtout tenir mon histoire, je trouve que c’est le plus dur) que j’ai fait ou risque de faire ^^

Avatar : Alyssa Milano

Faudra qu'on m'explqiue un truc, d'après le message de Bienvenue, le groupe des sang-froid est fermé, mais là il est ouvert..PS: Critiquez moi !

Invité

Bienvenuuue! x)

Pas encore lu ta fiche, mais je le fais dès que possible!^^

Invité

Bienvenue, future coupine vampire =D

J'ai juste lu le début de ta fiche, je finirai une autre fois... j'ai toujours la flemme de lire les histoires en fait. Mais j'ai aimé lire ce que j'ai lu de ta fiche ^^

(Et si tu sais vraiment plus quoi écrire pour la description physique tu peux dire un truc du genre ce qu'elle pense de sa beauté corporelle, des nombreux regards admiratifs qu'elle reçoit, tout ça... Ou indiquer son poids, sa taille, etc Very Happy

)

Invité

Merci beaucoup pour votre accueil =) !

*Pour la fiche, ça va être difficile, je n'ai pas le droit de mettre plus de lignes.. Je vais devoir morceller... La flemme !XD Je dois d'abord lire Mindight Sun...^^*

Invité

L’histoire de votre personnage :

« J’ai commencé ma vie humaine, par le meurtre. En naissant, j’ai tué ma mère.
Le sang que je lui avais fait perdre, en entraînant dans mon sillage quelques bouts de son organe, l’avait vidé et elle avait vue partir sa jeune vie en même temps que je venait au monde. Un sentiment d’intense tristesse mélangé à celui de la douleur. Une preuve que j’étais déjà destinée à tuer des humains ? Sûrement, si l’on croit au destin… On était en 1920, aux Etats-Unis, et mon père avait d’abord hésité à me garder, comme il me le rappelait souvent plus tard : « Tu étais si jolie, si mignonne, mais tu étais couverte du sang de ta mère, et ça j’ai failli ne pas le supporter... ». Il ne me reprochait cependant rien, il n’allait tout de même pas perdre sa fille alors qu’il venait de perdre sa femme. Non il m’avait gardé, s’était occupé de moi, changeant mes langes, me berçant, chauffant mes biberons. Il avait aussi décidé que j’étais là « pour expier mon premier péché » et me donna une éducation stricte, malheureusement chargée de l’affection d’un homme blessé mais fort comme le chêne, tenant pour sa famille.
Il était médecin, le médecin Gordon Lee, pour vous servir, travaillait à l’hôpital de Chicago, où il avait rencontré une jeune femme, Rachel ; à peine 19 ans, accompagnant son père qui s’était planté un drôel de pieu dans le pied droit : Les circonstances dans lesquelles il avait rencontré ma mère. Deux ans plus tard, ils étaient mariés, et Rachel devenait une parfaite femme au foyer, elle qui avait été si sauvageonne durant ses années vécues en tant que jeune fille. Et encore un an après, Rachel tombait enceinte. Elle était heureuse d’avoir procréé, et avait déjà choisi ses prénoms préférés : « Arthur c’est charmant ! Camille, aussi, et il parait que c’est un devenu un prénom mixte, au moins on n’aura pas à se soucier du sexe du bébé… Et je suis sûre que ça irais bien à notre enfant… » Et elle babillait des heures ainsi… Elle était allée jusqu'à apprendre à tricoter ! Les mois passaient, jusqu'à ce que les douleurs de l’enfantement l’entraînent à l’hosto…
La religion a pris un grande part dans mon enfance… Mon père était devenu pieux à la mort de sa femme, et ce qui semblait son souhait le plus cher, c’était que je sois une parfait petite catholique. Je priais le matin en me levant, puis avant de manger, au déjeuner, au goûter, au diner et enfin avant de me coucher ! Le matin, j’apprenais à lire et à écrire (et ce dès mes 5 ans), l’après-midi, j’allais visiter les hospitalisés, et je comprends maintenant pourquoi il était si… soulagé lorsque j’étais là, surtout lorsque je les touchait.. J’étais souvent avec mon père. J’avais une amie qui était dans le même cas que moi, enfin je veux dire que son père était médecin lui aussi et qu’il l’emmenait avec elle. Tous les jours nous nous retrouvions à l’hôpital. Becky était une toute petite fille brune, aux cheveux fins et aux doigts diaphanes. Nous faisions tourner en bourrique les infirmières, visitions les malades ensembles. Nous étions libres et cela nous convenais très bien.
Vers nos douze ans, nous fûmes séparés. Il était temps que nous devenions des dames et que nous apprenions tout ce que la meilleure des femmes doit savoir –pour l’époque-… Les tâches ménagères, la cuisine, savoir s’occuper des enfants (ce que j’appris avec les enfants de ma tante), tout ce qui était avant incombé à la cuisinière de la maison me revint et je continuais toujours de faire plaisir à mon père en devenant une parfaite femme au foyer, à l’image de ma mère. Pas une fois je ne me rebellais, je restai sage comme une image, veillant à ne dépasser aucune limite, entrant de le moule de cette société américaine des années trente.
Je fus mariée jeune, l’été 1939. Un mariage arrangé avec un jeune- et riche- médecin qui faisait la fierté de mon père. « Son gendre » était le fils qu’il avait toujours voulu, et qu’il aurait sûrement eu si sa femme n’était pas morte. Il était également fier que sa fille ait eu un si beau mariage et clamait que l’amour que John, mon mari et moi-même nous nous portions était au-delà des limites. C’est à ce moment que je me suis sentie oppressée. Je n’avais rien choisi dans ma vie, et l’ennui me guettait. Je ne voyais pas passer le restant de mes jours en jouant le rôle que ma famille m’avait imposé. J’étais une femme, une femme qui avait des capacités, qui pouvait apprendre vite.
La seconde guerre mondiale se déclencha en Europe. Les Etats-Unis avaient auparavant déjà beaucoup accueillis des Européens juifs ou intellectuels qui fuyaient Hitler. Beaucoup avaient besoin d’un toit, de quoi se nourrir, de quoi trouver du travail… Dans le journal, une entreprise recrutait des secrétaires pour s’occuper de la paperasse nécessaire pour s’occuper d’eux. Sans prévenir mon mari, je postulai. Deux semaines plus tard, je venais d’obtenir mon premier emploi et m’y rendait discrètement. Mon salaire était en liquide, et j’avais vraiment de la veine ! Je n’aurais pas besoin de mensonges pour l’argent, mais seulement d’une bonne cachette.
Mon secret ne tins pas longtemps. John était rentré plus tôt que d’habitude et je n’étais pas là… L’idiot… Il avait cru alors que je l’avais trompé pour de l’argent… Les billets que je tenais à la main en rentrant l’avaient amené à cette conclusion :
« Pourtant, nous ne sommes pas pauvres !! Mais tu fais tout de même la p**e…Pourquoi ? Réponds !! Pourquoi ! »
Il avait hurlé les derniers mots et s’était jetés sur moi pour me gifler. Je tombais à terre, ma tête heurtait e mur. J’étais sonné. Cela ne l’empêcha pas de continuer à me battre. Bien que je sois dans les vapes, mes larmes coulaient toute seule, j’avais mal. Mes membres étaient atrocement douloureux et mon visage me brulait. Je sombrai... Lorsque que je me réveillais, le tapis du salon était trempé de sang… Je me rendis compte que ce n’étais pas le mien. J’ouvrais les yeux avec horreur : un homme était penché sur John ! On aurait dit qu’il l’embrassait… Dans ma panique, j’entendis un bruis de déglutition… Je poussais un faible cri…Erreur… L’homme se retourna sur moi, ses yeux étaient de la couleur du rubis, il était d’une beauté à couper le souffle, dieu au milieu d’un décor pauvre de beauté… Tout était terne sur son passage, même la couleur du sang… J’avançais un bras, comme pour m’offrir à cet être divin, et fermais les yeux. De nouveau, la douleur. Le feu qui irradiait mes veines et passait dans tout mon corps me tourmenta pendant trois jours. Ma voix était rauque à force de hurler, mes yeux desséchés à force de verser des larmes, mes joues marbrés.
J’ai oublié ces trois jours d’agonie. Mon cœur s’était arrêté de battre, dans ma détresse je l’avais senti.
Tout fut fini. Un mot m’accueillait dans ma nouvelle nuit. Nuit éternelle. Il était mon créateur. Il me disait de me regarder dans un miroir, me conseillait de prendre une nouvelle identité, ne plus revoir mes proches, ainsi qu’une multitude de chose, comme la chasse ou trouver les autres. Il m’avait laissé seule. Je me levais. J’étais sur un lit qui je ne connaissais pas. Dans une chambre que je ne connaissais pas, composé d’un lit, d’une table de nuit, et d’une coiffeuse. Pas compliqué. Je me dirigeais vers cette dernière et là, je me redécouvris. La peau plus blanche que neige, le corps dur, comme formé de marbre, et les mêmes yeux que l’inconnu : Rouge sang et, par-dessus tout : Incroyablement belle... Que devais-je faire ?
Ca me prit d’un coup. Ma gorge me brûlait. J’avais soif ! Je sortais de la chambre et me retrouvais dans un long couloir, où des gens se pressaient, ouvrant les portes qui parsemait la pièce... Pas de doute j’étais dans un hôtel. Leur odeur était appétissante, leur gorge aussi. Je me contenais… Avec beaucoup de difficultés, mais l’envie de les boire restait. Les images du dernier soir où j’étais consciente me revinrent. Qu’est ce qui buvait du sang et avait l’air humain ? Je me jetais sur un garçon d’hôtel et lui demandait d’une voix subjuguante de venir dans ma chambre. Il me suivit sans broncher. J’attendis qu’il ait fermé la porte et, prise d’une pulsion, je lui sautai dessus. Je le vidai de son sang sans qu’il s’en rende même compte. Ce nectar était si merveilleux ! Je n’avais rien bu d’aussi délicieux, d’aussi… divin !
Après mon festin, j’étais calme. Ce fut ce moment que l’inconnu choisit de revenir. Il s’appelait Arold. Il resta avec moi les deux ans qui suivirent ma transformation, puis partis. Il ne m’expliqua jamais pourquoi il m’avait transformée et me laissa seule encore une fois. J’étais débrouillarde et il comptait sur moi pour ne pas être trop monstrueuse avec les humains. Il avait aussi remarqué que les humains ne souffraient pas quand je les attaquais, bien que j’utilise les mêmes méthodes que lui. Il avait compris que mon pouvoir était d’anesthésier ou de « pomper » la douleur du corps des autres. Il m’avait aidé à le développer, mais il restait encore embryonnaire, et même maintenant j’ai du mal à m’en servir lorsque c’est une trop grande douleur.
Je vagabondais, sans but précis. Je sortais la nuit. Une de mes victimes changeait ma nuit. Elle portait un carton à dessin sur elle. Je n’avais rien à faire dans mon éternité. Je me le suis approprié sans problèmes. Elle n’en avait plus besoin. J’avais le temps d’apprendre. Et sans me vanter je ne me débrouille pas trop mal. Mon existence de vampire commença et continua ainsi jusqu’au milieu des années 80. Je découvrais un groupe : Queen. Je n’avais pas couté de musique depuis si longtemps… Bohemian Rhapsody devint MA chanson. Je commençais à me ré intéresser au monde des humains et découvrais les groupes anglais. Les Beatles n’étais plus un groupe mais j’avais investi dans les technologies du moment et je les découvrais 30 ans après le grand public. Je reprenais goût au monde humain, par la musique l’informatique et le dessin. Je renie mon identité de vampire pendant que je ne me nourris pas. Mais je ne me mélange pas à eux. Je suis là. C’est tout…"

Désolée pour le double-post

Invité

Bienvenue ^^

Bien à part quelques fautes que tu pourrais facilement corriger, je n'ai rie à te reprocher. Ta fiche est très bien.

Après je te conseillerais de vraiment jouer sur le côté instable qu'elle a. Le fait qu'elle recherche toujours un certain équilibre, qui change constamment vu qu'elle est vagabonde et seule. Et aussi de vraiment jouer avec le fait qu'elle boive du sang humain sans plaisir particulier (est ce exact ? ) mais sans répugnance non plus. c'est un personnage fait de paradoxe, et le plus intéressant sera de jouer avec.

Bon eh bien je n'ai plus qu'à te souhaiter de bien t'amuser ici.

Au moindre problème ou question envoie moi un mp Wink

Invité

Kyyaaa !!
Marchi, tu as vraiment cerné mon perso ^^

Aaah franchement ça fait plaisir, parce que je l'ai travaillé ^^

Je sens que je vais suivre tes conseils si judicieux !

Invité

Félicitation toupine vampire Teuplaiiii